Histoire d'un rêve fait le lundi 17 février 2020

Au début je me retrouvais avec d'autre enfants qui avaient mon âge comme une grande colonie ou une grande collocation. On ne vivaient pas en ville. Je pense qu'on livraient tous dans une grande maison ou un manoir mais je n'en n'ai aucun souvenir

Plus tard, un ami a moi, un peu plus petit que moi, cheveux noir et peau métissé (il ressemblait à Axel de ma colo en Grèce) m'a demande de la protégé chez lui. Il est l'un des seuls à avoir encore une famille et à vivre avec mais il savait que sa sœur voulait le tuer. Il en ignorait le motif mais il le savait, allant jusqu'à s'arracher l'ongle de l'index de sa main gauche.

Jour 1 : J' étais allé chez eux faire la vaisselle (C'était mon tour) et il ne s'est rien passé. J'ai fait la connaissance de son père, sa grande sœur et ses deux petites sœurs. La mère est morte il y a bien longtemps, et la grande sœur avait l'aire très attaché à celle ci.

Jour 2 : je refaisais la vaisselle. Il y a une bonne ambiance ici. La maison n'est pas très grande (ressemblant d'avantage à un bungalow) mais l'ambiance y est chaleureuse. Je baisse le son de la musique dans mon casque pour entendre leur discussion sans qu'ils ne s'en aperçoive. Puis je le retire finalement car j'ai fini d'espioner, parlant avec eux de tout et de rien.

La grande sœur commence à se lever. Le petit homme, que j'ai renommé Yanis car je me souvient plus du nom de ce petit être, est pas très loin derrière moi et a relâché sa vigilance. Je n'ai rien pour me défendre alors après qu'elle soit passé derrière moi, je me baisse lentement, attrape les pieds du canapé qui me paraît bien léger et l'utilise comme bélier pour plaquer la grande sœur que je vais appeler Sis parce que ça me fait chier contre le mur avant qu'elle n'atteigne son frère. Je crie un COURS ! A Yanis qui a reprit ces esprits et qui va se cacher un peu plus loin. Je commence à dialoguer avec sa sœur qui m'avoua que Yanis était responsable de la mort de sa mère.

Elle recule, menacé par le petit canapé, tape le mur de son dos faisant bougé une poupée gonflable d'environ 1m30

" Attention ! La poupée de ta mère !"

Elle se retourna rapidement, apeuré de perdre encore plus quelque chose de sa mère. La poupée trembla sous nos yeux et ceux de sa famille mais resta finalement sur la plaque de bois collé au mur.

Elle se retourne à nouveau vers moi, essayant de m'avoir sans risquer de se prendre un coup de canapé.

Yanis s'approche à pas de loup derrière elle, couteau en main. Celle ci ne l'entends.

Yanis regarde bien le dos de sa grande sœur, et plante d'un coup sec son couteau entre ses deux omoplates.

" Non Non NON ! T'ÉTAIS PAS OBLIGÉ DE LA TUER PUTAIN !!"

Je lâche le canapé et fond vers elle, regardant son dos se vider de son sang.

Fin du rêve.
A la fois beau et atroce.

J'ai repensé à mamie après ce rêve, peut être parce que maman a dit qu'elle n'était pas éternelle...