12. Te faire mourir de plaisir (2)

Bien le bonjour mes chers lecteurs, mes chères lectrices. J'espère que vous allez bien. :)

De mon côté, ce chapitre me rend folle. Il ne cesse de s'allonger et pour ne pas trop m'absenter, j'ai décidé d'en faire trois parties. La prochaine est déjà bien avancée et j'ai hâte de pouvoir à nouveau plonger dans l'intrigue qui se trouve pour l'instant paralysée par ces ébats à n'en plus finir. ^^'

Encore une fois, un grand merci à vous pour votre patience, le temps passé à me lire et à me motiver à faire avancer cette histoire. Sur ce je vous souhaite une agréable lecture.

PS : Encore du Bouguereau pour le tableau (je vous assure que pourtant ce n'est pas mon peintre préféré ^^'). Il s'agit de « L'enlèvement de Psyché ». N'est-elle pas mignonne dans les bras de son mari, le Dieu Eros ? :)


12. Te faire mourir de plaisir (2)

Le délicieux petit corps de Gigi reposait désormais entre ses mains, et désespérément agrippée autour de son large cou, elle le parsemait de baiser, sans relâche. Giorno ne se lassait pas de cette habitude qu'elle commençait à prendre, et pour mieux s'en délecter, il prit tout son temps pour gravir les marches de marbre nervuré qui menaient au second étage. L'ascension jusqu'à sa chambre faisait incoerciblement monter son excitation et, il le savait, celle de sa partenaire entre ses bras. Il pouvait presque entendre résonner le cœur affolé de Gigi, battant à tout rompre contre son torse nu faisant se soulever le sien à l'unisson.

Le corps ardent, il s'efforçait pourtant de garder la tête froide. Et alors même qu'elle s'agitait faiblement contre lui, animée tant par la hâte que par une divine appréhension, lui, s'obligeait à réfréner sa propre impatience et ses violents transports. Maintenant que Gigi était prête à s'offrir pleinement, il devait se montrer à la hauteur, plus que jamais. Hors de question de se précipiter, d'avoir les mains tremblantes ou de laisser paraître son trouble et son émotion dans les inflexions de sa voix. Ce moment qu'il avait miroité depuis que ses yeux s'étaient posés sur elle, il le voulait parfait. Et pour cela, il devait s'astreindre à une parfaite maîtrise de ses sens et de son désir. S'il voulait que la situation réponde à ses fantasmes, s'il voulait que Gigi se soumette et s'abandonne, il devait d'abord s'en montrer digne. Le principe était simple, logique : Sois capable de te dominer toi-même pour être en mesure d'asservir autrui.

Patience, fermeté, rigueur et dévotion. Tels étaient les maîtres mots auxquels il devrait se soumettre s'il voulait faire d'elle une irrésistible demoiselle en détresse. Pour jouir du droit de la plonger dans la torpeur d'un plaisir sans nom, puis, pour être enfin celui qui la délivrerait du sensuel tourment qu'il allait lui infliger, il devait être à la fois implacable et irréprochable. Tantôt bourreau exécuteur, tantôt héros libérateur, telle était la dynamique qui l'animait et qui l'excitait dans l'acte de domination. Son désir pouvait sembler complexe, mais il se réduisait en fait à cette simple vérité : entraver la belle, l'enchaîner à lui, puis la libérer d'elle-même dans le plaisir.

De la pointe du pied, il poussa la lourde porte de son antre et avec précaution, il déposa Gigi au centre de la pièce. Ses petits doigts s'accrochèrent à lui et elle chancela. Il comprit qu'elle était déjà étourdie par le désir. Alors avec douceur, il lui attrapa les épaules, longea ses bras d'une caresse et prit ses petites mains entre les siennes. Une fois la jeune femme stabilisée par ses gestes et par son regard confiant, il lui commanda :

- Ne bouge pas. Attend-moi ici.

Son ton se voulait impérieux mais il y avait glissé assez de tendresse pour qu'elle se sente en confiance. Après s'être assuré qu'elle lui obéissait, il se déroba à sa vue pour se diriger vers l'un de ses tiroirs.

Les sens en perdition, Gigi ne calcula presque pas le cadre fastueux et l'ancien mobilier de la chambre dans laquelle elle se trouvait. Ses yeux troubles, rivés sur ses nouvelles chaussures rouges, ne voyaient plus qu'à travers le voile du désir. L'éclairage était faible, presque tamisé, ce qui altérait les couleurs vives des sublimes tapis persans qui recouvraient le sol revêtu d'un parquet clair et luisant. Contre le mur de droite, elle ne remarqua même pas ce qui d'ordinaire aurait immanquablement attiré son attention : une immense bibliothèque aux portes de verres, subtilement grillagée, renfermant de vieux livres d'une rareté inestimable. Et même en levant le nez, tout ce qu'elle parvint à percevoir, ce fut qu'il régnait dans ce lieu, une odeur propre et ancienne, mêlée à celle de Giorno. Face à elle, trônait un lit imposant à colonnes de bois sculpté, desquelles pendaient les lourdes volutes d'un baldaquin de soie pourpre. Son regard se perdit toutefois un instant sur ce lit somptueux, qui allait accueillir leurs ébats. Jusqu'à ce qu'elle sente soudain sur ses épaules la chaleur des mains de Giovanna.

Ce simple contact lui arracha une vague de frissons et par réflexe, elle voulut se retourner pour lui faire face, mais il l'en empêcha, raffermissant sa prise à la naissance de ses bras.

- Détends-toi Gigi. Ne bouge toujours pas. Je te veux aussi calme et immobile qu'une statue de chair.

Quand il lui avait dit cela, se penchant lentement sur elle, sa voix lourde et grave s'était abattue sur le haut de sa tête, de telle sorte qu'elle ne put faire autrement que de lui obéir. Elle était à ce point grisée, qu'elle n'avait même pas senti contre son épaule, l'étoffe de soie noire qu'il tenait dans la main. Et c'est avec surprise qu'elle vit la large bande de tissue se présenter devant son visage. Puis ce fut le noir complet. Tétanisée derrière ce rideau d'obscurité, elle senti les doigts déliés de Giorno s'appliquer à nouer le bandeau à l'arrière de son crâne.

Ce soir, elle serait comme Psyche, incapable de voir éros, son divin amant, pendant qu'il s'unirait à elle.

Sa respiration s'accéléra sous l'effet de cette cécité inattendue et elle fut comme prise de tournis. Son corps pencha légèrement en arrière, basculant contre la chaleur rassurante du torse de cet homme qui l'éblouissait, alors même qu'aveugle, elle ne pouvait plus le voir.

Le désir la dominait, mais l'inquiétude, bien que subtile, envahie soudain son esprit.

- G- Giovanna... On-on n'est pas censé... convenir d'un « safe-word » ? Fit-elle la voix hachée par l'émotion.

À défaut de pouvoir le regarder, elle tendit l'oreille, reposant sur lui sa tête à demie tournée, attendant sa réponse, non sans une certaine appréhension. Elle sentit alors l'étreinte de son bras et sa main se poser sur le haut de son ventre, y diffusant une intense chaleur, froissant la dentelle rouge entre ses doigts. Puis, sa voix se fit basse et douce quand il lui répondit :

- Ce ne sera ni extrême, ni douloureux... Crois-moi, tu n'en auras pas besoin. Comme je te l'ai dit, je ne te veux aucun mal. Mais si tu ne te sentais pas bien, dis-moi simplement d'arrêter et je le ferai. Ti voglio bene Gigi.

Chuchotées contre son oreille, ses paroles avaient suffi à la rassurer. Cependant, sa dernière phrase, qui jouait sur un double sens très certainement volontaire, l'avait immensément troublée. Traduite de manière littérale, en français, elle signifiait : « Je te veux du bien » mais Gigi savait que le plus souvent, les Italiens l'utilisaient pour dire simplement : « Je t'aime beaucoup ».

La sincérité de cette simple affirmation pénétra le cœur de la jeune femme et l'enveloppa d'une divine allégresse. Comme un baume apaisant et réparateur, la touchante honnêteté du vénitien venait de remplir les sillons creusés par le doute, comblant les moindres fêlures qui avaient meurtri le siège de ses sentiments. Et sans que cette révolution ne s'éveille à sa conscience, pour la première fois, son traître d'organe s'éveillait sans crainte à l'émotion amoureuse.

Giorno ignorait qu'à cet instant, le cœur de sa belle l'avait choisi pour unique souverain. Toujours est-il qu'il n'eut pas besoin de l'entendre répondre pour savoir qu'elle se sentait désormais en totale confiance. L'écoute attentive de son corps suffisait à le lui dire : de ses membres alanguis et détendus contre sa poitrine, au rythme lent et hypnotique de sa respiration. À partir de cet instant, il sut qu'elle était prête à le laisser mener la danse des plaisirs et qu'avec harmonie, elle suivrait la cadence qu'il lui imposerait.

Il fit un pas en arrière pour s'écarter et elle le suivit, craignant d'être soudain délaissée par son aura sécurisante. Comme si ce corps, irradiant de force et de vigueur, était devenu son seul repère parmi la ténébreuse exaltation de ses sens.

D'une simple pression sur son épaule nue, il lui fit comprendre de rester figée dans le sol pendant qu'il s'éloignait seulement de quelques centimètres.

Giorno était subjugué par la vision qu'il avait de Gigi. Même de dos, elle demeurait magnifique, parfaite. Contrainte au mutisme, muette, immobile et les yeux bandés, elle semblait si petite et si fragile devant lui. Ce qu'elle perdait en expressive grandeur, elle le gagnait en timide beauté. Seul Dieu savait à quel point il aimait la défiance et la langue acérée de sa bella rossa, mais en cet instant, elle rayonnait autrement. Non plus comme un feu incontrôlable mais comme un pâle et fugace rayon de lune perçant l'obscurité de sa chambre.

Les yeux du vénitien tombèrent lourdement sur sa peau diaphane et il constata avec déplaisir qu'elle n'était que trop mangée par ses cheveux et son ample robe rouge. Il ressentit soudain un impérieux besoin de la dépouiller, avide de découvrir chaque parcelle de cette peau blanche et de ce corps qu'il devinait tout aussi divin. Il observa un instant ses longs cheveux, défaits en une masse rousse et désordonnée, ondulant entre ses omoplates pour finir leur course aux creux de ses reins. Il les fit glisser sous ses doigts et après les avoir regroupés entre ses mains, il les enroula sans ménagement autour de son poing. Tirant vers lui la lourde chevelure, il la porta à son visage pour en inspirer l'essence subtilement ambrée. Appuyées contre cette texture aussi douce et dense qu'une soierie, ses lèvres s'étirèrent en un sourire mince et délicat quand il entendit la faible aspiration qui s'était échappée de sa belle avant de mourir dans sa gorge nouée.

Le menton relevé, la nuque tendue comme une biche aux aguets, Gigi ressentait dans chaque fibre de son crâne, qu'il la reliait à lui, obligeant son corps à s'incliner légèrement vers le sien.

Elle aimait la manière dont il disposait de sa chevelure. Elle aimait être surprise et dans l'attente du moindre de ses gestes. Et quand il retraça du bout de son doigt la ligne de sa colonne vertébrale, ce fut comme s'il gravait entre ses omoplates, le sceau du plaisir. Ses sens, comme chauffés à blanc, réclamaient encore plus, avides qu'il resserre sur elle son emprise. Mais, à l'encontre de ses attentes, la brûlure sur son dos prit fin quand il atteignit la fermeture éclair de sa robe qui céda sous sa main experte.

Comme une rose que l'on étreint de la paume, les pétales tombèrent au sol dans un léger bruissement pour ne laisser que le blanc bouton. Mais contrairement à la fleur, Gigi était encore plus radieuse sans ses artifices. Son dos, d'une souplesse immaculée avait une cambrure parfaite et ses fesses d'aspect tendre et ferme saillaient sous son collant noir et effilé. Lequel, largement déchiré entre ses jambes, lui donnait une allure débraillée proprement affolante.

Les flammes du désir se mirent à danser dans les yeux du vénitien et la fièvre de cette brûlante vision se répartit dans l'ensemble de ses membres. S'obligeant avec peine à la retenue, il relâcha les cheveux de sa belle et cala ses deux larges mains autour de sa taille, appréciant le contact de cette peau lisse et nue, dont la couleur lactée offrait un parfait contraste avec la sienne, plus sombre et satinée. Avec lenteur, il fit glisser l'étau de ses mains jusqu'aux hanches, agrippant au passage le fin nylon de son collant, et continua de longer les courbes de ses cuisses, puis de ses petites jambes tétanisées, emportant finalement cette seconde peau sur son sillage jusqu'à ses chevilles délicates.

- Demi-tour mia bella. Laisse-moi te découvrir pleinement...

Sous le commandement de ses mains et de sa lourde voix, il la fit tourner sur elle-même, veillant à ce qu'elle ne perdre pas l'équilibre ou ne s'empêtre dans les vêtements qui gisaient à ses pieds. Entremêlant ses doigts aux siens, il lui fit tendre les bras en croix pour mieux dévorer du regard ses petits seins d'albâtre qui se soulevaient gracieusement devant lui. Ils n'étaient pas gros mais d'une tenue parfaite, hauts et rebondis, à la pointe presque rouge et durcie. Avec une infinie précaution il en retraça le contour et captura leur rondeur voluptueuse sous un doigté délicat et appuyé.

Autant que de tenir cette poitrine blanche et tiède à pleine main, il se réjouissait de voir Gigi se mordre les lèvres pour étouffer un soupir. Il voulait que cette jolie bouche gémisse encore pour lui, qu'elle crie et ne se raccroche plus qu'à la seule réalité de son prénom.

Alors qu'il la savait dans l'attente, la respiration hâtive et les sens en éveil, exacerbés par l'impatience, il jugea qu'il était grand temps de passer à la vitesse supérieure. Il pointa donc son majeur et son index sur son sternum et sans crier gars, d'une simple impulsion, la fit basculer en arrière.

Dans un cri de surprise, Gigi alla s'écraser sur le lit, son dos rebondissant mollement contre le matelas de soie. Il était étonnant de voir comme la peur et l'expectative ajoutaient aux soubresauts qui soulevaient sans ménagement le bas de son ventre. Privée de toute vision, son seul réflexe fut d'aussitôt se redresser les bras tendus sur le vide, s'agitant désespérément pour retrouver le contact de Giovanna.

Son geste instinctif était proprement adorable et avant qu'elle ne tente de se relever, les mains de Giorno la saisirent par les épaules pour l'obliger à demeurer assise sur le bord du lit.

- Du calme Gigi. Laisse-moi venir à toi. Fit-il en posant un genou à terre devant elle.

Elle sentit alors qu'il s'affairait à dénouer les lanières de ses chaussures vernies pour la libérer de ses escarpins. Après l'avoir déchaussée, étreignant tour à tour un petit pied, puis l'autre, il déroula le collant qui était resté à ses chevilles. Posant un second genou à terre, il commença à caresser la peau nue de ses courtes jambes, à la fois fines et vigoureuses. Il parcourut toute leur pâle longueur, assouplissant le moindre des ses muscles jusqu'à ce qu'elle semble se désarticuler sous ses doigts. Et raffermissant sa prise sur ses deux membres, alourdis par ses caresses langoureuses, il les suréleva pour caler l'arrière de ses genoux sur ses solides épaules.

- C'est bien Gigi. Détends-toi complètement. L'entendit-elle murmurer, ses lèvres se mouvant tendrement contre l'intérieur de sa cuisse.

Sa large main glissa sur presque la moitié de son ventre pour l'inciter à s'étendre sur le matelas. Contre son dos, elle sentait la fraîcheur du drap de soie rouge et sur son abdomen, la chaleur de Giovanna. Entre ses jambes, le souffle rauque et brûlant du beau vénitien, sa voix et ses gestes, l'exhortaient au calme, la privant de ses forces et de sa volonté. Pourtant, elle se sentait bouillir de l'intérieur : son petit ventre tourmenté le réclamait en elle et son sexe, encore humide, hurlait d'impatience devant la trop lente approche de Giorno.

Sans même en avoir conscience, elle contractait ses petites fesses et ondulait faiblement du bassin, faisant imperceptiblement frotter le tissu imbibé de sa culotte sur le mont de ses lèvres. Les mouvements auxquels elle s'adonnait pour pallier à sa frustration, firent alors remonter les effluves de la lave qui s'écoulait de son entre jambes en éruption, jusque sous le nez de Giorno.

Les narines frémissantes, le beau vénitien se laissa emporter par son odeur délicate, musquée... Quand soudain, à pleines mains, il empoigna les anses de son sous-vêtement qui se déchirèrent sans peine sous la force de ses doigts. Gigi poussa alors un « Oh » désorienté, aussi troublée qu'admirative, et avant même qu'elle ne puisse sentir l'air rafraîchir son sexe nu et libéré, il l'emprisonna contre sa paume, tâtant ses chaires molles et trempées, les sentant se gonfler contre le renflement de sa main. À ce contact libérateur, tout le corps de sa bella s'arc-bouta. Et par nécessité, elle poussa sur ses jambes pour mieux lover son sexe contre sa large paume, ses talons s'enfonçant sans ménagement dans son dos alors qu'il la mettait au supplice.

Sans la ménager, toute la longueur de sa main frottait et appuyait contre son sexe pour lui arracher de doux soupirs, accélérant puis ralentissant le rythme à sa convenance, osant même parfois s'arrêter de donner du poignet pour rendre les va-et-vient intolérables, presque imperceptibles. Et les yeux rivés sur son corps tendu et son visage empourpré, il se délectait de mesurer les effets du plaisir qu'il lui donnait. Il ne lassait pas de lire sur ses traits la palette d'émotions contradictoires qui l'assaillaient sous cette douce torture : bien-être, tension, relâchement et frustration.

De belle dame sans merci, elle se métamorphosait en cette sublime demoiselle en détresse qu'il avait toujours voulu éveillait en elle.

Comme folle, elle tenait sa tête entre ses mains, ses petits doigts crispés dans ses longs cheveux roux. Et il crut qu'elle allait se les arracher quand il la feinta, crochetant un doigt épais entre ses lèvres, appuyant faiblement contre son entrée, avant de le retirer sournoisement, décollant sa paume dans la foulée, de manière à juste la frôler.

- Giovanna ! Pitié, ne t'arrête pas. Lui dit-elle précipitamment, resserrant ses cuisses autour de sa main et agrippant ses doigts autour de son poignet.

Il aimait sa réaction désespérée, mais il était surtout frustré de voir, qu'alors même qu'il tenait son plaisir en otage, dans le creux de sa main, elle s'évertuait à le tenir à distance en l'appelant ainsi. Comme pour la punir, il ôta soudain sa paume, délaissant la tendre moiteur de son intimité. Et alors qu'elle s'étranglait en un gémissement plaintif, il lui expliqua d'une voix sentencieuse :

- Je ne veux plus aucune barrière entre nous Gigi. Je ne te donnerais ce que tu réclames que quand tu te résoudras enfin à m'appeler par mon prénom... C'est compris ?

- O-oui. S'il te plaît... G-Giorno. Reviens... Lui demanda-t-elle haletante, prête à se plier à la moindre de ses demandes.



Voilà,voilà. J'espère que ça vous a plut et que j'ai bien réussi à donner le ton pour le début des ébats qui promettent d'être intenses. N'hésitez pas à me faire part de vos impressions ou à me signaler si j'ai fait des fautes ou des répétitions. ;)

Même si la référence au tableau d'Éros et Psyché est très peu creusée, je suis quand même contente d'avoir pu la faire. Pour celle qui ne connaîtrait pas le mythe, je me permet de vous l'expliquer. Psyché est marié au dieu Eros dont elle ignore l'identité. Toutes les nuits il vient s'unir à elle mais elle a interdiction de pouvoir le voir. Si les mythes vous intéresse, je vous conseille d'aller vous renseigner sur la suite de l'histoire (en plus c'est formidable elle se finit bien ! ^^'). Par la suite je compte bien mettre d'autres références aux amours du Dieu et de Psyché.

Prenez bien soin de vous et à bientôt (oui vraiment cette fois ^^') pour la suite ! <3

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