160. La sorcière

La jeune femme aux pouvoirs si puissants,
Sous le feuillage et sur les branches mortes,
Allait à travers le monde et le vent.
L'oiseau la regardait de telle sorte
Qu'elle sentit sur elle son regard.

La jeune femme, et son oiseau hagard,
Sur la terre battue et dans les champs,
Avançait là où d'autres avant elle
Avaient avancé. Ses pouvoirs puissants
La guidaient à chaque battement d'ailes.

Et la jeune femme se tiendra droite
Quand sera venu le moment des hommes
Quand bien même ses mains deviennent moites,
Elle sourit sur son grand podium,
Quand de noir et gris se teinte sa robe
Blanche, de sorcière c'est ce qu'ils disent,
Elle rit, voit la fumée qui l'englobe,
Reste encore amusée de leur bêtise.

N.

La sorcière, écrit le 24/03/2023

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