Prologue

Tous les journaux, les télés et les radios du monde entier diffusent cette atroce nouvelle : le Cannibale a disparu de nos radars ce qui veut dire qu'il peut être partout.

Aujourd'hui les écoles, les collèges, les lycées, les facultés et même les boutiques sont fermées, les familles se barricadent comme ils peuvent et certains ont accueilli des sans-abris chez eux. Dehors, la police et l'armée patrouillent dans les quartiers, dans les rues et dans les boulevards.

Paris dans un vieil immeuble dégradé d'un quartier pauvre et populaire de la capitale de la France

Jasmine pleure coller contre la poitrine et entourer dans les bras de sa mère. Les deux écoutes en tremblant le journaliste à la radio qui dit : « nous allons faire une minute de silence pour chaque victime du Cannibale qui sont Adélie, Damien, John, Yuan, Ankara, Lucien, Martin, Cassandre, Henry, Camille, Julie, Fabrice, Steve, Véronique, Jonathan, Valentin, Suzanne et tant d'autre tous morts de la même façon atroce et inhumaine. Nous allons accueillir dans quelques minutes quatre invités qui sont les deux plus connus spécialistes de la folie dans le monde, une historienne et une des rares survivantes du Cannibale et les voilà, bonjour et merci beaucoup d'avoir accepté mon invitation.

- Bonjour et merci pour votre invitation, répondit le spécialiste numéro un en essuyant ses lunettes avec son mouchoir brodé.

- Bonjour et merci de m'accueillir dans vos superbes studios, dit le spécialiste numéro deux avec un accent américain et mordit son cigare.

- Bonjour, susurre Saphira (l'historienne), merci de m'avoir accepté dans vos studios. »

Une jeune femme en fauteuil roulant s'avança jusqu'au microphone qui lui était destinée et déclare en pleurant : « qui était cet homme, que dis-je une bête sanguinaire qui m'a privé de mes jambes et vous voulez savoir pourquoi je suis là sur ce fauteuil roulant ?

- Oui, répondit le journaliste d'un triste sourire.

- Mon héros était mon chien, elle essuie ses larmes et repris, il s'est sacrifié pour moi et j'ai hurlé pour lui. »

Une page de publicité et une chanson gaie passe et enfin l'émission repris sur une dispute entre les deux spécialistes : « on ne peut pas juger ce genre d'homme car il doit être envoyer dans un asile d'aliénés.

- Non, non de non, s'égosille le spécialiste numéro deux, car cet homme doit mourir car si cette personne est laissée au milieu de n'importent qui il les dévore. »

La radio continue son ennuyeux blablas quand soudain on sonne à la porte...

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