19 | You're real
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Chapitre particulier! Ça m'ennuie un peu de prévenir car je voulais que ce soit une surprise mais il y a une présence de Lemon dans cette partie. On m'a tout de même fait remarquer qu'une alerte est nécessaire pour tout ceux qui n'aiment pas forcément le Lemon. Dans ce cas, vous comprendrez bien par vous même quand ça commencera! Enjoy!
Alec Bradwell.
Le bruit des vagues me parvient comme une douce caresse. Je ferme les yeux et inspire un grand coup en souriant. C'est comme une renaissance, je me sens si bien que je pourrais disparaitre sur le coup, sans rien regretter, tant la béatitude s'empare de moi avec intensité. Je me sens bien. Si bien...
Quand j'ouvre les yeux pour voir l'océan, la vue me fait encore sourire encore plus, si seulement c'est possible. Le soleil couchant qui se reflète sur la surface de la mer... Pourquoi ne puis-je pas vivre ça chaque jour? Pourquoi ne puis-je pas tout laisser tomber et venir vivre dans ce petit coin de paradis, loin de ma ville, de mon université? Je pourrais venir sur la plage tous les jours et m'asseoir seul dans le sable, je regarderais les vagues s'avancer vers moi sans jamais m'atteindre et seul le bruit du vent, des clapotis de l'eau et des oiseaux perturberaient ce calme si parfait. Mais où suis-je? Cette pensée me frappe, je regarde autour de moi et constate que je suis debout sur une falaise; derrière moi s'étend à l'infini une immense étendue verte, on ne voit rien à l'horizon. Pourtant, cette falaise, je la connais. Cette plage aussi. C'est celle de notre villa... Où est l'escalier qui mène à la piscine? Et surtout, où est la maison? Mon coeur se sert, je n'ai aucune envie de paniquer, j'étais si bien! En baissant les yeux, je remarque un escalier qui descend vers la plage. Comment ai-je fais pour ne pas le remarquer avant? Sans un mot, je laisse mes angoisses de côté et descends l'escalier pour rejoindre le sable; il semble m'inviter à passer par là. Une fois arrivé là où je voulais aller, ma vision descend vers mes pieds, je sens le sable chaud me caresser et pourtant j'aurais juré porter des chaussures quelques instants plus tôt. Quand je regarde à nouveau vers l'horizon, du mouvement attire mon attention; une silhouette. C'est une fine silhouette noire qui se découpe dans le couché du soleil. Elle s'avance entre les vagues et tient à la main ce qui me semble être une planche de surf. Je cligne plusieurs fois des yeux pour être sûr que mon esprit ne me joue pas des tours. Je suis si confu! Petit à petit la silhouette prend des couleurs et arrive vers moi à une vitesse hallucinante. Elle a un sourire chaleureux, c'est une jeune femme, ses cheveux mouillés gouttent le long de sa poitrine et son regard... Son regard est d'une profondeur, d'une intensité que je ne peux décrire. Quand enfin elle se place devant moi en tenant toujours sa planche, je peux enfin la reconnaitre.
-Je t'attendais! Tu viens? me dit Noa en posant une main sur mon torse.
Je ne portais pas un t-shirt avant? Il faut croire que non. Le contact de sa peau refroidie par l'eau gelée reste un instant imprimé sur mon torse. Je ne peux m'empêcher de lui sourire, elle attrape doucement ma main et m'entraine vers l'eau, je vois sa planche tomber sur le sable, nous allons de plus en plus vite, elle court, elle me regarde, elle rit. Je ris avec elle, la voire si pétillante me réchauffe le coeur et ne peut que me rendre heureux moi aussi. Je sens que je m'engouffre dans quelque chose de froid, en effet, l'eau m'arrive à présent à la taille. Quand je la regarde, elle me semble si bleue, si étincellante que cela semble presque irréel. La luminosité rend le paysage féerique, mystique. Le rire de la blonde résonne encore autour de moi, je me retourne dans l'eau pour la chercher mais ne la vois plus. Où est-elle? La mer infinie s'étend tout autour de ma petite personne mais aucun signe de Noa. Mon coeur s'emballe.
-Alec!
Je me retourne et la vois juste là, devant moi. Ses cheveux mouillés sont plaqués sur son crâne et ondulent sur ses épaules. Son sourire est magnifique et sincère, ses yeux sont envoûtants. Elle aussi, semble irréelle. Elle approche et enroule ses bras autour de mon cou, je me laisse faire en ne m'attendant pas à ça, nos nez ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre, elle colle son front au mien; l'eau ne me semble plus aussi fraiche autour de moi, c'est comme si elle prenait de la consistance et devenait tiède. C'est agréable. À nouveau je retrouve ce sentiment de paix et de bien-être. J'enveloppe sa taille dénudée de mes bras et l'attire contre moi. Son souffle caresse mon visage, elle a les yeux fermés. Je souris. Ses lèvres... C'est comme un gros manque qui se fait ressentir au plus profond de moi. Je voudrais me pencher encore plus pour l'embrasser mais quelque chose m'en empêche, une force invisible qui me retient. Je la sers contre moi encore plus comme pour m'assurer qu'elle est toujours bien avec moi mais mes bras s'enfoncent lentement dans sa peau. Je la détaille et remarque qu'elle devient de plus en plus floue, transparente.
-Noa? j'articule sans comprendre.
Mes mes bras reviennent à moi, je la transperce littéralement. Elle n'est plus solide, elle n'est qu'une brume à la forme humaine. Ses traits restent pourtant tout aussi authentiques.
-Noa! dis-je plus fort en sentant la panique me gagner.
Elle me regarde une dernière fois en souriant avant de disparaitre. Je cris son nom et pourtant, je suis bel et bien seul au milieu de cet océan. La plage a disparue, je suis livré à moi-même dans cette vaste étendue d'eau. Peut-être suis-je perdu à jamais. Ce sentiment de manque persiste au fond de moi. Je cris, je ne sais pas ce qu'il m'arrive et je...
Je me relève brusquement dans mon lit en respirant bruyamment. Mon coeur bat fort et sur mon front perlent quelques gouttes de sueur qui ruissellent le long de mes tempes. Je pose une main sur ma poitrine pour essayer de me calmer alors que chaque vision de mon rêve me parviennent, aussi réalistes que possible. C'est comme si je sentais encore le contact de la main froide de Noa sur mon torse.
Noa.
Je regarde autour de moi; Spencer est étendu en étoile de mer sur son lit et a repoussé sa couette au bout du sommier tandis que Nate est roulé en boule au dessus de sa couverture. C'est vrai qu'il fait étonnement chaud. Seule la lune visible par la grande fenêtre de notre chambre illumine la pièce est c'est bien suffisant. Notre chambre est la seule à posséder un balcon; ressentant un besoin pressant de prendre l'air, je n'hésite pas à ouvrir la porte-fenêtre avec le plus de discrétion possible et me rends sur le balcon. L'air bien plus frais de la nuit m'accueille avec douceur. J'inspire longuement et expire tout autant en m'étirant. Le sentiment angoissant que m'a procuré la fin de ce rêve me laisse perplexe. Pourtant, je ne peux que me souvenir de cette impression de bien-être que j'ai ressentie plus d'une fois. L'air nocturne me fait du bien, pourtant... Il y a toujours quelque chose qui na va pas. C'est comme durant mon sommeil, ce sentiment de manque au creux de mon estomac. Non, je n'ai pas faim. Non... C'est autre chose. Je me retourne vers la villa et quelque chose attire mon attention; une lampe allumée. Elle provient de l'étage et la lumière filtre à travers les rideaux.
La chambre de Noa.
Je sursaute en comprenant; c'est ça! Cette impression de manque... J'ai du mal à l'admettre mais j'ai le sentiment que ce dont j'ai besoin, là, tout de suite, c'est d'elle. L'ignorer toute la journée, prévoir des stratégies pour éviter de croiser son chemin... C'était peut-être encore pire que d'aller vers elle et de certainement briser le coeur de mon frère. Je l'avoue, je me suis fais du mal. Et peut-être lui en ai-je fais aussi. Sans hésitation, j'entre à nouveau dans la chambre, enfile un t-shirt et sors dans le couloir pour rejoindre l'étage.
Une minute... Qu'est-ce que je fiche?
Débarquer en plein milieu de la nuit chez quelqu'un sans aucune raison, c'est mal vu, non? Peu importe, c'est mon instinct qui me guide; j'ai besoin de la voir. De l'avoir en face de moi, en chair et en os. De la toucher pour être certain qu'elle soit réelle et qu'elle ne disparaitra pas sous mes yeux. Planté devant sa porte, je prends une grand inspiration et frappe trois coups.
Silence.
Je me mordille la lèvre et tappe nerveusement du pied. Je m'apprête à toquer à nouveau quand la porte s'ouvre doucement et me dévoile Noa qui semble plus que surprise. Elle ne dit rien et me toise avec de grands yeux. Je soupire de soulagement en posant une main sur ma poitrine, son expression change en se transformant en incompréhension.
-Alec...? dit-elle finalement dans un murmure, les sourcils froncés.
-Noa. Il faut... Il faut que je te parle.
Elle hoche la tête et me laisse l'accès libre dans sa chambre. La porte se referme sur nous, elle essaye de faire le moins de bruit possible. Je me retourne vers elle qui est adossée contre la porte, vêtue d'un short de sport et d'un débardeur à fines bretelles.
-Hm, moi aussi il faut que je te parle, dit-elle finalement en plongeant son regard dans le mien.
J'approche d'elle, presque ému de la voir. Elle pince ses lèvres sans me quitter des yeux, automatiquement je prends son visage à deux mains et fais la seule chose qui puisse me détendre immédiatement; je l'embrasse à pleine bouche. Elle ne répond pas tout de suite, prenant le temps d'assimiler le tout pour finalement répondre au baiser en posant ses mains sur les miennes au niveau de son visage. Le baiser se fait de plus en plus fougueux, je la pousse un peu plus contre la porte pour que nos deux corps se retrouvent collés l'un à l'autre. J'entre-ouvre les lèvres pour laisser nos langues se rencontrer et se caresser avec fougue. Une vague d'émotion me submerge, je me sens à nouveau flotter dans un nuage de bonheur.
Quand à bout de souffle nous nous écartons, nos respirations sont saccadées et nos coeurs battent certainement bien plus vite que la normale. Son regard encré dans le mien est différent de tous les regards qu'elle ai pu m'accorder; ses deux mains glissent le long de mon torse en me faisant frissonner légèrement.
-On parlera plus tard, tu crois pas? dis-je dans un murmure rauque.
Elle hoche la tête alors que je l'attire vers moi en capturant ses lèvres. Je recule sur quelques pas quand les arrières de mes genoux rencontrent le bord du lit. Je m'assieds dessus et la soulève légèrement pour qu'elle se retrouve assise sur mes cuisses, face à moi, ses jambes s'enroulant autour de ma taille. J'enroule mes bras autour de la sienne pour que nos corps soient pressés l'un contre l'autre, le visage au niveau de sa poitrine. Mes lèvres effleurent son cou, je dégage les cheveux de sa nuque pour y avoir l'accès libre et mordille sa peau tout en sentant son souffle carresser mon crâne. Elle soupire, ce qui me fait me sentir tout drôle. Je continue, laissant mes mains se balader sur son dos puis enfin sous son débardeur. Je passe sous l'élastique de sa brassière de sport qu'elle semble porter pour dormir et enfin m'aventure plus bas en venant caresser le haut de sa taille au niveau de son short. Elle soupire de plus belle quand je continue mes baisers, quand je lèche doucement la peau de sa nuque en la mordillant avec sensualité. Je sens son bassin onduler légèrement contre le miens ce qui provoque immédiatement chez moi une onde de chaleur irréversible. Je grogne en revenant trouver sa bouche. Tout en l'embrassant, je l'allonge sur le lit pour me retrouver au-dessus d'elle. Je ne m'allonge pas sur son corps pour éviter de l'écraser et reste appuyé sur mes coudes. Dans un état d'esprit tout à fait différent de d'habitude, je me prends au jeu de lui voler quelques baisers, elle relève la tête pour essayer de rattraper mes lèvres quand je me retire, sans succès, elle lâche un petit rire amusé alors que je me dirige de nouveau vers son cou pour y déposer de légers baisers chauds. Elle balance la tête vers l'arrière, j'embrasse son cou, le haut de sa poitrine et descends lentement vers ses seins en m'y arrêtant à cause du débardeur. Je me redresses sur les genoux, une jambe de chaque côté de son corps et mes mains entreprennent de soulever l'ourlet de son haut, elle se laisse faire en m'aidant par la suite à le faire passer au-dessus de sa tête. À mon tour de retirer le mien, cette distance entre nos corps me semble de plus en plus insoutenable.
Noa Sparks.
Les sentiments contradictoires qui m'envahissent en ce moment sont tout à fait indescriptibles. Une fois mon haut passé à la trappe, gisant à présent sur le sol, je sens ses lèvres parcourir de nouvelles zones de mon corps. Elles passent sur ma poitrine en me laissant s'échapper un soupire bien plus audible que précédemment. Ses lèvres sont chaudes, elles laissent à chaque passage sur ma peau une impression de pétillement. Alors que son visage séloigne de plus en plus du mien, je pose mes mains sur le haut de son crâne en aggrippant ses cheveux noirs toujours aussi beaux qui me font craquer quand ils sont ébouriffés. Je tire légèrement dessus et l'entends pousser un grognement de satisfaction comme la dernière fois dans le couloir. Ses lèvres arrivent au niveau de mon ventre, une boule se forme au creux de mon estomac alors que je frissonne à chacun de ses contacts. Dans un geste automatique, j'enroule mes jambes autour de sa taille. Après un petit instant d'attente, il revient à moi tandis que je me sens rougir, ma respiration est saccadée. Je l'embrasse sans cesser de parcourire ses cheveux avec mes doigts et lève mon genoux, me sentant d'humeur joueuse. Je n'ai en aucun cas envie qu'il pense que je vais en rester là à le laisser faire le travail. J'exerce une légère pression à l'aide de mon genoux contre son entre-jambe, il semble surpris et met un terme au baiser à cause du gémissement rauque qui sort d'entre ses lèvres. Je mordille les miennes en le voyant ainsi, ses joues prennent feu; j'ai réussi à le déstabiliser.
-Je... Noa? dit-il entre deux soupire.
Je passe une main sur sa joue en souriant d'un air narquois tout en continuant d'exercer la pression. Je sens une bosse se former sous mon genoux.
-Il y a un problème? dis-je d'une voix plus suave que d'habitude.
Il me regarde et capte mon sourire joueur.
-Bordel, tu me rends fou.
Je ris doucement en sentant mes joues chauffer de plus belle, déposant un baiser humide et doux sur sa joue.
-Je tiens plus, Noa... dit-il dans un murmure rauque en laissant tomber son visage au creux de mon cou.
Sa voix grave résonne dans mon oreille, je ferme les yeux et accentue les pressions. D'une main je caresse sa nuque, d'une autre sa joue. Sentir sa peau contre la mienne est un délice auquel je n'aurais jamais pensé goûter. Ma main jusque là dans sa nuque glisse dans son dos, je ne peux m'empêcher de constater une énième fois à quel point il est musclé. Je sens sa main venir caresser ma poitrine et glisser vers mon intimité. Son geste inattendu me fait hoqueter, j'arrête mon jeu du genoux alors qu'il entame le sien. Un gémissement que j'étouffe en plaquant une main sur ma bouche me surprend, je soupire en sentant mon coeur s'emballer.
-Alec... C'est bon, c'est bon, j'arrête, dis-je à bout de souffle en ne pouvant m'empêcher de rire.
Il sourit et grogne de satisfaction en se redressant pour venir planter son regard dans le mien, une main sur ma joue.
-Est-ce que tu veux...?
Je hoche la tête et lui volant un baiser alors qu'il se redressse et regarde autour de lui.
-Merde.
Je comprends qu'il se demande où trouver des préservatifs, alors je rougis et me redresse sous son corps pour essayer de me lever. Une fois dégagée de son étreinte, j'entreprends de fouiller dans ma trousse de pharmacie et sors le sachet aux couleurs métalliques.
-Hm, ma mère avait insisté pour que je...
-Ta mère est géniale, me coupe-t-il.
Je souris, je n'aurais pas pensé devoir réellement les utiliser. De plus que quand elle les a fourré dans ma trousse, devant mes yeux... C'était, comment dire? Extrêmement gênant?
Je me replace en dessous de lui alors qu'il passe la couverture au-dessus de nous il se débarrasse de son short de sport alors que je me débarrasse du mien. Ses mains chaudes viennent dégrafer mon soutien-gorge, je me retrouve avec la poitrine dénudée en face de lui. Le rouge me remonte brusquement aux joues, je détourne le regard mais il soupire en soulignant mes courbes d'un doigt.
-Tu es magnifique, chuchote-t-il.
Je me modille la lèvre en souriant et perds mon regard dans ses yeux tandis qu'il enfile le préservatif, je retire mon bas en vitesse et enroule mes bras autour de sa nuque alors que ses mains son placées de chaque côté de ma tête. Je le sens doucement entrer en moi en me faisant hoqueter. Je ferme les yeux et ouvre légèrement la bouche en essayant de retenir ces cris que la vague de plaisir qui me submerge manque de me faire pousser. Il ondule du bassin, je fais de même en suivant son rythme tout en soupirant le moins bruyamment possible, il pousse des soupires rauque qui ne font qu'accentuer tous ces sentiment qui me parcourent, je dois plaquer une main sur ma bouche au bout de plusieurs coups de bassin. Ma main tire sur ses cheveux, une boule grossit dans mon bas ventre; je sens que le plaisir arrive à son summum. Ses coups de bassin deviennent de plus en plus rapides et moins doux, je sers les dents et pousse un longs gémissement un peu plus rauque en sentant mon corps tout entier se détendre. C'est comme si une masse de papillon s'envolait dans l'entièreté de mon corps en me libérant; le soulagement est immense. Il donne un dernier coup de bassin et un long gémissement qu'il essaye d'atténuer s'échappe de ses lèvres. Il se retire et s'écroule à mes côtés sur le matelas. Nos respirations sont bruyantes, trop bruyantes alors qu'elles essayent de revenir à la normale. Je ferme les yeux, lui aussi alors que nous sommes totalement épuisés.
Je m'en fiche d'être nue à présent et je m'en fiche qu'il le soit aussi. Nous avons partagé notre intimité, nous n'avons fais plus qu'un ce soir.
Je me blottis dans ses bras, il m'accueille sans hésiter et dépose un baiser sur le haut de mon crâne. Je sens ses doigts dégager mes cheveux de mon visage et il tire ma joue. Je ne comprends pas tout de suite et le regarde en fronçant les sourcils.
-T'es réelle... T'es vraiment là.
Je le regarde avec insistance sans comprendre mais il ferme les yeux en souriant.
-T'es vraiment là, répète-t-il dans un souffle.
Et puis plus rien. Je sens sa respiration redevenir régulière; il s'endort. Je ris doucement et pose ma tête sur son torse en fermant les yeux à mon tour, me laissant entraîner dans les bras de Morphée.
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Hey! Ça va? Comment avez-vous trouvé ce chapitre? Je le dédie à @-CloPotter- ! Merci pour tes commentaires!
Si vous lisez mais ne commentez pas, c'est l'occasion car je me base sur qui commente pour faire des dédicaces à chaque fois (C'est plus simple de checker les commentaires que les votes). 😄 Montrez que vous suivez la fiction et si elle vous plaît ! :3
Je suis rentrée de Amsterdam, désolé de poster si tard! J'espère que le Lemon vous a plu (si vous avez lu, y a pas de honte bordel de kk), j'ai fais du mieux que j'ai pu x)
Le rêve de Alec?
Son PDV?
Le PDV de Noa?
L'attraction entre ces deux là?
Peut-être quelque chose qui nait entre eux?
Évidemment, une prédiction?
VOILA VOUS AVEZ UNE DOSE DE "ROMANTISME" POUR AUJOURD'HUI? 😂
Bis! Et à dimanche! ❤️
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