Pdv Grégoire

Passer les fêtes de fin d'année aux pays Basque c'était plutôt une bonne idée. Enfin jusqu'à ce que mon copain veille faire du vélo alors que le temps et pourri et qu'il risque de neiger dans les prochaines heures.

Bixente : aller Greg dépêche toi!

Je soupire et le rejoint avec mon vélo. Il est déjà prêt à partir pour je ne sais combien de kilomètres de route sinueuse et sûrement pourri.

Moi : on ne peut pas rester au chaud.

Bixente : mais non regarde c'est un temps idéal pour une petite promenade de 20 kilomètres à vélo.

Moi : 20 kilomètres ?!! Non mais tu as vu le ciel ?! Dans 1 heure tout au plus il neige ou il pleut.

Bixente : il va neiger. Mais tu sais que l'on serait déjà parti si tu arrêté de râler. Aller vien ça va te faire du bien. Et tu vera les paysages son magnifique.

Moi : si je suis mort avant je ne pourrais pas les voir tes si joli paysage.

Bixente : mais viens aller gregounet s'il te plaît.

Je froncé des sourcils en l'entendant m'appeler comme ça.

Moi : arrête avec se surnom débile !

Bixente : j'arrêterai que si tu viens.

Je soupire et cede une nouvelle fois à ses caprices. Je monte sur le vélo et le suis alors qu'il est déjà à 2 mètres devant moi. Comment un homme avec une carrière de footballeur professionnel dans les pattes peut pédalé aussi vite ?

Après un bon quart d'heure à pédalé dans une des nombreuse côte je descend du vélo. Bixente s'arrête et me regarde.

Bixente : tu fais quoi là ?

Moi : ça se voit bien non ? Je marche à côté du vélo parce que j'en ai marre de pédale pour rien.

Bixente : tu exagéré un peu là chéri.

Moi : ah non mais pas du tout. Moi je n'est pas était un grand footballeur comme toi qui avais l'habitude de faire tout les jours du sport.

Bixente : c'est pas une question d'habitude.

Moi : ah si mais excuse moi t'es sacrément en forme après la grosse carrière que tu as eu.

Bixente : si je garde la forme c'est pour mon corps. Pour qu'il se sentent bien. Et aussi pour plaire à mon compagnon.

Je me sens rougir d'un coup. Lui il rit m'embrasse chastement et remonte en selle. Je fais pareil après avoir soupiré et on arrive enfin au sommet de cette côte où se trouve une sorte de hameau perché au milieu de nul part.

Moi : dit donc c'est drôlement jolie ici.

Bixente : je te l'avais bien dit. Allez suis moi.

Il pose son vélo contre la rembarde de l'une des maisons et me prend la main. Il toque et une dame d'un certain âge nous ouvre.

Elle : ah messieur Lizarazu vous êtes enfin là.

Bixente : excusez nous mais la Côte était dur à monter pour certain.

Je lui lance un regard noir et lui me sourit.

Elle : bien. Votre frère a amener vos affaires se matin. Je les ai mise dans la chambre. Il as aussi rempli le frigo. Vous serez tranquille le temps de votre séjour.

Bixente : je vous remercie.

Elle : voilà les clés et bon séjours.

Bixente : merci beaucoup.

Elle sort et je lance un regard rempli d'incompréhension à mon copain.

Moi : séjour ???

Bixente : tu n'a toujours pas compris.

Moi : compris quoi ?

Bixente : je t'es fait faire tant d'effort pour qu'on passe le réveillon de Noël tout les deux en amoureux dans un Airbnb aux milieu de mes chère montagne du pays Basque.

Moi : c'est vrai ?

Bixente : bien sur que c'est vrai. On na ce chalet pour nous tout seul pendant 2 jours.

Moi : oh merci beaucoup mon amour.

Je l'embrasse et colle nos front ensembles.

Bixente : je te propose une chose on se lave, on va dans le jacuzzi et ensuite on va dîner tout les deux aux chandelles pour se magnifique réveillon à deux.

Moi : oh oui j'adore ce programme. Mais et demain ?

Bixente : ça on vera bien le jour même ton état.

Moi : comment ça mon état ?

Bixente : tu vera bien.

Il me lance un sourire charmeur et se dirige vers une pièce sûrement notre chambre. Je le suis alors qui ente dans la salle de bain pour se doucher. Je fais de même et le rejoins sous l'eau chaude.

Bixente : je croyais que l'on devais se doucher un par un.

Moi : la flemme d'attendre mon tour. Tu met une heure à te doucher.

Bixente : même pas vrai.

Je rit et ensuite on va se détendre dans le jacuzzi qui donne sur un vue panoramique des montagnes Basque.  Nous restons la 1 heure puis l'on va se préparer pour notre repas de réveillon à deux. On s'installe à table et Bixente pose les toasts.

Moi : ouah. C'est toi qui as fait ça pour moi ?

Bixente : oui. Je m'y du temps alors j'espère que se sera bon.

Moi : de simple toast ça doit être délicieux.

Ou pas des la première bouché d'un toast à la truite fumé un fort goût de piquant met le feu à ma bouche.

Moi : a la vache c'est fort !

Bixente : merde j'ai du mettre de la sauce au piment d'Espelette.

Le piment d'Espelette.... Génial. Je ne supporte pas ça. Une fois le goût passer je retire les toasts.

Moi : je crois que l'on va les mettre de cotés.

Bixente : oui. Bon passons au plat. Une bonne dinde farci.

Moi : pas au piment d'Espelette j'espère.

Bixente : promis chéri.

Il ramène le plat et ça sent bon et ça a l'air bon. On se sert chacun un morceau et après quelque bouché je sens un goût sucré.

Moi : amour je crois que tu as confondu le sel et le sucre.

Bixente : oh non le boulet ! Mais alors la bûche va être salé ! Oh non non !

Moi : et calme toi ce n'est rien. Ce n'est pas grave.

Bixente : si c'est grave. Je voulais te faire un bon dîner de réveillon moi même pour te faire plaisir et j'ai tout foiré !

Moi : c'est l'attention qui compte. Tu sais je suis très touché qye tu est fait ça pour moi.

Il me sourit et le prend la main.

Bixente : en faite je voulais aussi te faire se dîner parce que c'est une parti de ton cadeau de Noël.

Moi : comment ça?

Il se lève, se met en face de moi et pose un genoux à terre. Il plonge la main dans son costume et en sort un écrin qu'il ouvre devant et dans lequel se trouve une magnifique bague.

Bixente : Grégoire Margotton veut tu m'épouser?

Je reste figé sur place ayant du mal à réaliser qu'il vient de me demander en mariage. Aucun son ne veut sortir de ma gorge pour lui répondre. Alors je hoche la tête de haut en bas pour lui signifier que c'est oui.

Il me saute sur les lèvres pour m'embrasser passionnément. Il glisse la bague à mon doigts et je sourit.

Moi : je suis désolé mon cœur mais ton cadeau est resté à la maison.

Bixente : au contraire il est là devant moi mon plus beau cadeau.

Nous nous embrassons de nouveau et il me tire vers notre chambre alors que dehors la neige c'est mise à tomber. Maintenant je comprends mieu le sens de sa phrase sur mon état de santé demain.

End