Jour 5 (OS seul 2)
Une alarme retentissait. Une alarme que nous n'avions jamais entendu était entrain de nous rendre fou. Elle continuait inlassablement, ne voulant pas s'arrêter. Les professeurs commençaient eux aussi a s'inquiéter. Ils ne comprenaient pas ce qu'il se passait, personne n'avait été prévenus. Ils commencèrent enfin a agir lorsque l'on entendis une voix retentirent dans les hauts-parleurs.
<<-Ceci n'est pas un exercice. Un cyclone a été détecté a l'est. Il se rapproche de plus en plus. Veuillez vous rendre dans les bunkers prévus a cette effet et attendre les instructions. Je répète, ceci n'est pas un exercice. Un cyclone a été détecté a l'est. Il se rapproche de plus en plus. Veuillez vous rendre dans les bunkers prévus a cette effet et attendre les instructions. >>
Les professeurs commencèrent à nous mettre en rang pour que l'on aillent dans les endroits indiqués. les élèves commençaient a paniquer. Certains d'entre eux faisaient même des crises d'angoisses. Moi ? Je regardais ce spectacle tout en marchant doucement vers le sous-sol. J'aurais aimé me rendre a l'extérieur mais malheureusement, je ne le pouvais pas. Je ressentais une énergie étrange dehors qui m'attirait, telle un aimant. Je me retrouvais très vite seul dans ces long couloirs, entendant les personnes hurler en rejoignant les bunkers.
Mon esprit me disait de les suivre, de courir pour m'enfoncer le plus possible dans les abysses du bâtiment et continuer de vivre ma petite vie tranquille. Mais mon corps ne ressentais visiblement pas la même chose. Mes jambes s'actionnèrent d'elles-mêmes. Je marchait doucement vers la sortie, vers la liberté. Dehors. tout était désert. La ville semblait être morte
Le vent soufflait de plus en plus fort et l'on pouvais commencer à distinguer le cyclone qui se rapprochait de plus en plus. Je ne répondais plus de rien et m'avançai vers cette "chose" qui effrayait tant les habitants. Puis, lorsqu'elle fut a environ 1km, je m'arrêtai et avançai mon bras en avant. La tornade ne m'aspira pas, comme on pouvait le voir dans les films. Ma main rencontra enfin la chose et le temps fut comme arrêté. Je ressentais toute l'énergie dont elle disposais m'envahir.
La tornade fut comme aspiré par moi et elle n'exista bientôt plus. Je me sentais changé. Plus glacer
Je distingua une silhouette qui s'avança vers moi. Un garçon d'environ mon âge.
<<-Alors, c'est toi le vent ? Me demanda-t-il.
-Comment sa c'est moi le vent ?
-Tu viens d'aspirer le cyclone. Je suppose que tu as donc les pouvoirs du vent. >>
Je me mis à rire aux éclats, pour une raison inconnue. Il me regarda en se demandant pourquoi je riais tant.
<<-Désolé. Mais les pouvoirs magiques et compagnie sa n'existe pas. Ce sont des histoires d'enfant. Mais après, c'est ton choix d'y croire encore ou non. >>
Il me regarda d'un regard noir qui est censé vous glacer le sang. Mais moi sa m'amusais.
Il avança sa main vers moi et des grains de sable en sortirent. Ils continuaient à sortir, de plus en plus nombreux. Bientôt, se fût une mini tempête de sable qui bougeait dans ces mains.
<<-Tu as déjà pensé à auditionné comme magicien ou illusionniste ? Tu es vraiment doué. >>
Il baissa sa main en soupirant et en roulant des yeux.
<<-Tu crois vraiment que je serais resté dehors avec ce cyclone juste pour te faire ce tour ?
-Tu sais, il y a des gens bizarres dans ce monde. >>
Il commençait visiblement à perdre son sang froid. Il allais s'énerver mais un autre garçon arriva.
<<-Que se passe-t-il ?
-Ce crétin ne veux pas me croire ! S'exclama mon premier interlocuteur. Il croit que je suis un magicien ou un illusionniste.
-Et il est vraiment doué, renchéris-je. >>
L'illusionniste roula des yeux et le deuxième garçon se mit a pouffer de rire. Nous le regardâmes tout les deux, voulant dire : Pourquoi tu te marres toi ?
Il se calma un peu et nous regarda.
<<-Désolé mais vous êtes vraiment drôle tout les deux.
-Bon. Reprenais-je. Merci beaucoup pour ce petit tour, c'était vraiment sympa mais maintenant je dois rentrer au lycée. A plus. >>
Et sur ces mots, je commença a faire machine arrière, lorsqu'une mains me retiens par l'épaule. C'était le garçon qui étais arrivé en dernier.
<<-Tu ne vas nulle part.>>
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