Jour 3 (OS Seul)

|Petit conseil de l'auteur : ne lisez pas la petite partie avant la fin si vous êtes un esprit sensible, pour tout ce qui est meurtre.(Je previens le moment) Oui nous sommes à Noël mais les prochains seront bien plus doux et mignon, je vous le garantie|

Je courais encore et encore, sans m'arrêter. La neige qui tombait abondamment était entrain de me recouvrir partiellement. Dans la rue, il n'y avait personne mis a part quelques enfants qui tirés des luges pour aller jouer. Je continuais ma course pour atteindre un endroit bien précis.
L'endroit où tout avait commencé.

Je nous revoient encore le jour où l'on s'est rencontrés, le jour où je suis tombée amoureuse de lui quand nos regards ce sont croisés. Il avait le regard vide et semblait porter sur ces épaules toute la misère du monde. Il était assis sur le banc devant l'entrée du zoo. Il voulait entrait, cela se voyait a son regard, mais il ne le faisait pas, pour une raison que j'ignorais encore. Alors je me suis approché de lui et me suis assise a ces côtés. Nous étions en juillet et il faisait très beau. Au début il continuait de fixer le vide avec son regard si triste. A cette instant, j'aurais tout donnée pour le voir sourire, bien que je ne connaissais pas son sourire. Il avait une grâce naturelle qui m'avait directement fait tomber sous son charme. Il n'était pas l'un de ces ados avec une beauté telle que toute les filles tombaient a ces pieds. Mais il était beau, a sa manière. Il était beau a sa manière de sourire, il était beau a sa manière de parler, il était beau a sa manière d'être lui-même. Mais a cette instant je ne savais pas encore qu'il était si beau.
Il deigna enfin lever les yeux vers moi et lorsqu'il vit que je le regardai intensément, il me fit un faible sourire. Je ne le savais pas encore mais sa voix était magnifique. Il n'avait pas une voix douce digne d'un ange. Elle était grave, mais lorsqu'il parlait, ces paroles était pleine de sagesse et je me perdait dans la contemplation de ces lèvres. Il avait des lèvres parfaitement bien dessiné qui me donnée l'envie irrésistible de l'embrasser.
Sa voix était faible, comme s'il se retenait de pleurer.

<<-Qui es-tu >>

Mais alors que je ne le connaissais que depuis 2 min, je compris que j'étais tombée amoureuse de lui. Je le compris a la manière dont mon coeur se mit a battre lorsqu'il me parla, je le comprit a la manière dont je me sentais si faible a côté de lui. Je le comprit a ma manière d'être a cette instant.

<<-Heu...je...je ne suis personne. C'est juste que je t'ai vue assis tout seul et tu avait l'air triste alors j'ai eu envie de...
-De venir me parler parce que je te faisais pitié ? >>

Il n'avait plus ce regard si triste, si perdu. Il avait un regard dur mais tendre a la fois qui me donnait l'impression que plus rien n'exister autour.

<<-Non ce n'est pas sa. Je n'aime pas voir les gens triste. >>

Instinctivement, je détourna mon regard. J'étais si faible devant lui. J'avais l'impression d'être une minuscule petite fourmi qu'il aurait pu détruire simplement par sa volonté.
Il pris mon menton entre ces longs doigts fins et me força a le regarder de nouveau. Cette fois-ci, il me fit un sourire, un vrai sourire, rien que pour moi et je crue que mon coeur allait s'arrêter de battre tellement il était beau a cette instant précis.

<<-Comment tu t'appelles ? >>

Il lâcha mon menton pour se remettre a sa place initial. C'est a dire contempler le sol de l'entrée du zoo.

<<-Sacha et toi ?
-Jordan >>

J'avais une sensation bizarre a cette instant précis. Je ressentais un vide immense en moi. Un vide qui semblait être la parce que de lui se dégageait une profonde tristesse.

J'arrivais enfin à cette endroit et je vis le banc sur lequelle ma vie avait changée. Je vis le banc sur lequelle je l'avais rencontrée.
Je baleyai de ma main la neige qui était tombé et m'installai dessus.

<<-Pourquoi semble-tu aussi triste ? Me risquais-je a demander.
-Ce ne sont pas tes affaires.>>

Il avait la machoire serrée en disant cela.

<<-Très bien. Mais si jamais tu te sens un peu seul, ou que tu veux parler, dit le moi.
-Tu veux mon numéro c'est sa ? Dit-il en me regardant dans les yeux.
-Heu...non...ce n'est...pas...>>

Il tendit sa main, tout en continuant de me regarder.

<<-Donne moi ton téléphone, dit-il après un moment. >>

Je beuguai un moment avant d'enfin accéder à sa requête. Je sortie mon téléphone de ma poche, le déverrouilla et lui mis dans la main. Il commença tout de suite à pianoter dessus, puis il me le rendit avec un sourire.

<<-Je viens de m'envoyer un message, alors si jamais j'ai besoin de toi, je t'envoie un message.
-C'est promis ? Demandais-je bêtement.
-Promis.>>

Et c'est ainsi qu'il parti, me laissant toute seule devant le zoo.

Depuis cette instant, 5 mois exactement était passé et nous étions actuellement en décembre. Il n'avait pas donne signe de vie avant aujourd'hui. J'avais reçue un message de lui, un peu plus tôt dans la journée, me disant qu'il était a bout, qu'il avait vraiment besoin de parler, même a une inconnue et que je devais donc le retrouver sur le banc devant le zoo à 16h00. Il était actuellement 16h15 et je crue qu'il ne viendrait jamais, lorsque je vie enfin une silhouette arriver doucement. Arrivé a ma hauteur, il releva la tête et je pue voir les marques de coup qu'il avait sur le visage, malgré sa capuche. Il passa sa main sur le banc afin d'enlever la neige puis, s'asseya à côté de moi.
Il ne parlait pas et le silence se faisait de plus en plus pesant.

<<-Qu'est ce qu'il s'est passé ? >>

Je pris son menton entre mes doigts et le força à me regarder. Je lui retirai sa capuche et continuai de le regarder dans les yeux, ne prenant pas compte de l'énorme brûlure qu'il avait sur tout le côté droit du visage. Je remarquai aussi qu'il avait un énorme oeil au beurre noire et je me forçai pour ne pas inspecter le reste de son visage. Je ne voulais pas le rendre mal à l'aise. 

<<-Tu peux. Dit-il en me regardant.>>

Je fus d'abord surprise. A quoi m'avait-il donné son autorisation ?
Lorsqu'il commença a regarder ma joue, je compris alors ce qu'il voulait dire.
Je ne me fis pas prier et inspectai son visage, ne lâchant pas son menton. Il avait la lèvre fendu et la joue violette. Je réitérai alors ma demande.

<<-Que s'est-il passé ? >>

Il commença alors a me raconter les horreurs qu'il lui était arrivé, après une profonde inspiration. Il me dit qu'il ne voulait plus vivre, que la vie ne voulait plus de lui.
Devant moi, j'avais actuellement un suicidaire qui avait subi énormément d'épreuve et cette situation me dépassait. Je ne savais pas comment réagir. Alors j'essayai, tant bien que mal de l'apaiser avec des mots.
Mes larmes coulèrent d'elle-même, même si je savais pertinemment que faire cela n'augmenterait que son mal être.

<<-Tu en as parlé a quelqu'un d'autre ? Me repris-je.
-Non. Tu es la première à qui j'ose en parler. >>

Il regarda le sol gêné. Je serra mes poings comme pour me donner de la force.

<<-Alors va te pleindre à la police. Il faut que tu agisses.
-Il a tout fait pour ne pas être suspecté. Si jamais je le disais a la police, se serait moi qui serais suspecté. >>

Ce jour la, comme tout les autres d'ailleurs, nous ne trouvâmes pas de solution a son problème.
Plus les jours passait, plus nous nous parlions et plus les violences qu'il subissait était atroce. Je voyais son état s'empirer de jour en jour et je ne pouvais supporter cela.
Un jour, alors que je savais qu'il n'était pas chez lui, je m'y aventurai. J'étais déjà venue chez lui un jour, pour le soigner alors qu'il s'était encore fais frapper. Je savais pertinemment que de tuer ces deux personnes qui lui faisait du mal me coûterait la prison a vie, mais j'étais prête a tout pour lui. Nous avions tout essayés, comme nous plaindre à la police. Mais rien n'avait marché. La porte n'était pas fermé a clé, alors je m'aventurai doucement mais sûrement vers la cuisine. J'entendais la voix de mes victimes dans le salon. Ces deux pièces n'était pas relié entre elle.

~Ame sensible, la sortie est par la ---> mais descendez plus bas pour la fin qui n'est pas horrible. Ce serait dommage de s'arrêter la~

J'ouvris le plus doucement possible les placards que je suspectait contenir les couteaux. Lorsque je trouva enfin ce tiroir, je pris les deux plus grands et m'aventurai doucement vers le salon. Mes deux victimes étaient tranquillement installés sur le canapé, entrain de discuter comme des personnes normale. Je m'approchai tout d'abord du grand-père de Jordan et lui tranchai la gorge à l'aide d'un de mes couteaux. Sa tête, a moitié tranchée tachée de sang le canapé couleur crème.
Le fils de la personne que je venais de tuer me regarda avec de grand yeux. Il avait peur. Extrêmement peur. Et cela ne faisait qu'augmenter mon désir de le tuer. Jordan aussi avait peur. Mais il continuer quand même de lui faire ingérer du poison ou de le battre, chaque fois un peu plus. Je m'approchai doucement de lui, mais il ne bougea pas. Peut-être qu'il en avait fini avec la vie, ou peut-être qu'il avait bien trop peur pour pouvoir bouger. Toujours est-il que je m'approchai de lui et découpa délicatement la peau et la chair autour du coeur pour pouvoir lui retirer. Lui planter un couteau dans le coeur n'aurait pas été un travail propre, selon moi. Et puis, sa mort aurait été trop lente. J'attendie quelque seconde, son coeur a vif. Et puis décidai de me montrer gentille en abrégeant ces souffrances.

~Ame sensible, la porte d'entrée est ici <--- Bonne fin~

Au lieu de partir comme j'aurais du le faire, je m'asseyai face a l'entrée et pleurai toute les larmes de mon corps. Je ne pleurais pas par ce que ce que j'avais fait été monstrueux ou que maintenant j'irais en prison, non. Je pleurais parce que désormais j'avais perdue Jordan. Même s'il n'allait plus souffrir, je venais quand même de tuer sauvagement la seule famille qui lui restait.
J'attendie plusieurs heures qu'ils veuillent bien dégner rentrer. Je n'avais pas changer de position et je pleurais toujours. Lorsqu'il posa un pied dans la demeure, il me regarda avec de gros yeux. Puis, me voyant taché de sang, me demanda :

«-Qu'est ce qu'il c'est passé ?
-Je vais te le dire. Mais promet moi de m'écouter jusqu'au bout avant d'appeler la police. »

Il ne dis rien, sûrement surpris par ma demande. Mais il l'accepta tout de même.

«-Promis. »

Et il s'installa tranquillement a mes côtés, malgré les couteaux ensanglantés qui se trouvait la.

«-La vérité c'est que le jour je me suis assise a côté de toi sur ce banc, je suis tombée folle amoureuse de toi. Je ne te connaissais pas mais je t'aimais déjà. Les 5 mois où tu ne m'as pas contacté mon semblés interminable. J'avais perdue espoir et je n'avais plus le goût a rien. Alors je te laisse deviner ma joie quand tu m'as enfin envoyé un message. Tu m'as parlé de tes problèmes et sa me rendait tellement furieuse d'être impuissante. On avait beau tout essayer, tu continuer de souffrir. Chaque jour je tombais un peu plus profondément amoureuse de toi, et chaque jour tu souffrais un peu plus. Je sais que c'était loin d'être la bonne méthode et que j'ai gâchée ma vie. Désormais je vais passer ma vie en prison, et je ne compte pas fuir pour aller contre sa. Désormais tu ne voudras plus me parler. Si je l'ai est tuée c'est pour que t'es souffrances s'arrête. Je suis prête a tout pour toi, je t'aime bien plus que ma propre vie. »

Mes larmes coulaient a flot. Je les ravalai difficilement et dit :

«-Maintenant tu peux appeler la police »

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