Urtica
Janus, toi qui fus mon amante
Tu ne montres plus que ton visage distant
D'amie
Tes mains ne s'enroulent plus autour de mon
Corps chaud
Et les souvenirs, ô Dieu, comme leur piqûre est
Douloureuse
Déconnexion entre avant et maintenant
Les sentiments se cachent à l'ombre d'une pierre plate
Et grouillent lorsqu'illuminés
S'agrippent aux doigts, mordent
S'infiltrent dans la doublure des vêtements
Et jusque dans le fond des placards
Nid
Ô Janus, je ne verrai donc plus qu'une seule de tes faces
Toujours la même tournée vers moi
Soleil éblouissant qui me suit tout le long de la journée
Et inonde mes yeux
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