Cachez ce sein que j'érotiserais
À J.
Il faut bien que le corps vive
Rides, cernes, cheveux qui meurent
Sous les vêtements protecteurs
Et derrière les mains et doigts qui se croisent
Il y a des yeux qui rient et pleurent
Qui contemplent le vide de l'espace
Et le temps qui s'échappe
Et l'amour
Et se fixent sur la commissure d'une lèvre légèrement soulevée
Amusée
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