It's just the end of the world
Riz basmati serti d'écureuils
La mère ne sort plus seule dans les rues peuplées d'ombres
Regarde ton néant, ton fils, ta couleur se dissoudre
Oh ! ... Des bulles...
Il ne reste plus rien, même Écho est partie
Le jeu se termine, la partie est finie
Cruelle, crois en moi, jusqu'à l'exsangue matin
Le sang et le sens aussi, ont fui
Désert de poussière
Priez, criez, l'air est irrespirable !
Le vent s'est endormi ce soir, il ne bouge plus
Regarde-moi...
Je suis là...
Tout contre toi...
Chaleur, douceur...
La dernière mer, je ne m'évapore pas.
Lovée au fond d'une cuve de fonte
J'attends.
Qui connaît mieux le silence que les morts ?
Je susurre à ton oreille des rêves acres mais pimentés
Tu es vivant, tu ne vois plus, mais tu vis un jour
Lointain comme le crissement de la neige dans tes souvenirs
Qui tu es ne comptes plus.
À qui pourrais-tu dire ''Je m'appelle...''
À moi. Et ça n'a pas d'importance à mes yeux.
Tu es beau. Tu me suffis.
Tu apprécies la caresse de mes vaguelettes ?
Je ne te comprends pas.
Tes yeux sont un voile opaque ; je ne vois pas tes pensées
Tu restes tourné vers l'horizon comme statufié
Tu apprécies ma voix ?
Je suis née petite goutte et suis mer à présent
Je ne sais pas ce que j'ai fait entre temps
Pourquoi tout est si sombre tout à coup ?
Oh, je vois.
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