Chapitre 34 - La Petite Robe Noire
Chapitre Trente-Quatrième
On frappait à la porte, Maxima se leva de son fauteuil et alla ouvrir la porte d'entrée.
« Bonsoir, Martijn.
-Bonsoir Maxima. Magda est prête ?
-Pas du tout, elle est encore dans sa salle de bain. Ça doit bien faire deux heures qu'elle s'y est enfermée.
-Elle panique alors que, vraiment, y a pas de quoi. Je vais aller la voir.
-Bonne idée, oui. »
Martijn emprunta les escaliers qui descendaient vers la chambre de Magda. Il frappa quelques coups à la porte, mais n'entendant pas de réponse, il entrouvrit la porte ; juste de quoi passer sa tête.
« Magda ? C'est moi.
-Je suis dans la salle de bain, entendit-il. Qu'est-ce que tu fais là ?»
Martijn entra dans la pièce et referma la porte derrière lui et alla vers la salle de bain.
« J'étais chez Louis. Je peux entrer ?
-Ouais, bien sûr. »
Il trouva Magdalena enveloppée dans une serviette, debout face au miroir. Elle tourna lentement la tête vers lui.
« Non, mais en fait c'est pas une bonne idée, Martijn. Je te jure. En plus avec mon accent, ils vont pas comprendre ce que je dis et ça va être très gênant pour tout le monde.
-Depuis quand tu complexes sur ton accent ?
-Depuis vingt bonnes minutes.
-Je comprends très bien ce que tu dis quand tu parles. Tout le monde comprend très bien ce que tu dis quand tu parles. Alors arrête de réfléchir. Et sois juste toi, je te jure que ça va suffire.
-Je sais pas quoi me mettre. J'ai que des trucs beaucoup trop simples. Ils vont penser que je m'en fous alors que non. »
Martijn se dirigea alors vers l'armoire de Magda. Il était persuadé que lui, allait trouver quelque chose. Alors qu'il cherchait parmi les cintres, il tomba sur une petite robe noire qu'il n'avait jamais vue sur Magda.
« Pourquoi tu ne mets pas cette robe ? Je suis sûr qu'elle te va super bien. »
Magda sortit de la salle de bain pour voir de quoi Martijn parlait.
« Oh... Ouais, non. Pas ça.
-Pourquoi ? C'est exactement ce que tu cherches.
-Non, Martijn. Vraiment. Pas cette robe. C'est lui qui me l'a offerte, reprit Magda devant le regard intrigué de Martijn.
-Pourquoi tu la gardes ? Tu devrais la donner.
-Je sais pas pourquoi je la garde. Mais j'ai pas envie que quelqu'un porte un truc qui vient de lui.
-Tu veux qu'on la découpe ? Ou qu'on la brûle ?
-Elle doit coûter une fortune, en vrai.
-On s'en fout, répondit Martijn en allant chercher une paire de ciseaux sur le bureau de Magda. »
Il lui tendit les ciseaux alors qu'il tendait la robe devant elle.
« Vas-y.
-Non, mais je peux pas faire ça.
-Bien sûr que si tu peux. Allez vas-y. Ça va te faire du bien, tu vas voir. »
Magda hésita encore un peu mais finit par donner un premier petit coup de ciseau dans le tissu.
« Encore un autre.
-Non mais je peux pas faire ça... »
Martijn prit alors les ciseaux et se mit, lui-même, à donner de grands coups dans le tissu. Une fois que la robe fut entièrement perforée de toute part, il la tendit à Magda.
« Vas-y déchire-là. »
Magda prit ce qui restait de la robe entre ses doigts et tira de toutes ses forces. Avec les coups de ciseaux de Martijn, le tissu se déchirait tout seul. Magda n'aurait jamais pensé que faire ça allait lui faire autant de bien. Elle tira sur le tissu encore et encore jusqu'à ce qu'il ne reste plus que des lambeaux sur le sol.
« Bon, bah ça, c'est fait. Alors pour ce soir..., fit Martijn en se retournant vers l'armoire.
-Non, mais tu sais quoi, t'as raison. Ça va se voir si j'en fais trop. Faut que je sois comme d'habitude. Mon jean et une chemise, ça sera bien non ?
-Ça sera très bien, confirma Martijn. »
Magda s'était habillée rapidement, elle avait prévenu Max qu'elle ne savait pas à quelle heure elle rentrerait et qu'elles ne se verraient que le lendemain. Puis Martijn et elle étaient partis en direction de la maison des Gelderman. Sur le trajet, Martijn avait été un vrai gamin à faire des zigzags au beau milieu de la route, à chanter dans la rue, à chanter faux bien entendu. Ça faisait rire Magda qui restait derrière lui, elle avait bien compris qu'il faisait ça pour qu'elle pense à autre chose, qu'elle se détende avant d'arriver et elle appréciait l'attention. Ils avaient fini par arriver dans la rue de chez Martijn cinq minutes avant l'heure prévue. Cette fois-ci Magda prit le temps de poser son vélo contre le muret à côté du portail. Elle avait cette boule dans le ventre qu'elle n'aimait pas du tout. Martijn était venu vers elle pour le prendre dans ses bras.
« Je t'aime et ça va aller, ok ?
-Ça va aller, avait répondu Magda sans vraiment y croire. »
Martijn l'avait embrassée et avait saisi sa main pour aller vers la porte d'entrée. La porte s'était ouverte avant qu'ils ne soient devant. Magda reconnut la sœur de Martijn juste avant que Suzanne l'attire dans ses bras. Surprise, la française ne réagit pas tout de suite.
« Salut ! Moi, c'est Suzanne.
-Salut...
-Entrez, maman a fait un canard à l'orange et ça sent super bon depuis le milieu d'après-midi. J'ai trop faim. »
Suzanne s'écarta pour qu'ils puissent entrer. Magda sentit la main de Martijn, dans le bas de son dos, la pousser un peu en avant. Suzanne pris la veste de Magda pour l'accrocher avec les autres manteaux de la famille. Le jeune française avança alors vers la salle à manger où la table avait été joliment dressée. Un homme avec des cheveux blancs et bien plus grand qu'elle s'avança dans sa direction. Magda l'identifia comme Gregor, le père de Martijn. Par réflexe, elle lui tendit la main pour le saluer et se présenter, mais l'homme lui sourit et la prit également dans ses bras. Puis ce fut au tour d'Anouk de la saluer, elle avait un tablier noué autour de la taille, un torchon qui dépassait de la poche avant, signe qu'elle avait dû passer pas mal de temps derrière les fourneaux cet après-midi. Très naturellement, Anouk posa des questions, aux deux nouveaux arrivants, sur leur journée en les invitant à aller s'assoir.
Le dîner s'était bien passé. Le dîner s'était même très bien passé. Au début Magda était assez réservée, mais tous les membres de la famille l'avaient rapidement mise à l'aise. Et au bout d'une bonne heure à table, Magda était enfin détendue et heureuse. A côté d'elle, Martijn la regardait en souriant. Pour le dîner, Anouk l'avait prévenu, elle avait préparé des plats français ; et elle espérait que ça serait bon. Magda l'avait rassurée, c'était délicieux. Tout le repas avait été délicieux.
« Ta mère cuisine vraiment bien, dit Magda en se glissant sous la couette du lit de Martijn.
-Ouais, beaucoup mieux que moi. Je sais.
-Oh... Grogne pas, mon Marty, rit Magda en pinçant doucement sa joue. Tu fais de très bons œufs brouillés.
-Super..., répondit-il en essayant de réprimer un sourire. »
Un petit rire s'échappa de la bouche de Magda, elle posa un baiser sur la joue de Martijn et finit par se reposer contre son torse.
« J'ai pas trop parlé ?, finit par demander Magda.
-Quoi ?
-J'ai l'impression d'avoir parlé pendant tout le dîner. C'était pas un peu trop ? Je crois que c'était un peu trop.
-Non, c'était pas trop. C'était toi. Quand tu te sens bien, tu parles. Beaucoup. Mais c'était pas gênant, t'as beaucoup fait rire mon père. Ils t'ont bien aimée. Si ça n'avait pas été le cas, ma mère t'aurait jamais proposé de rester dormir ici.
-Mouais... Ou peut-être qu'elle est juste polie.
-Ou peut-être que tu réfléchis juste trop.
-Mais non je réfléchis pas trop. Je veux juste ne pas déplaire à ta famille. T'imagine s'ils me détestent et qu'ils te demandent de me quitter et...
-Je t'enlèverais et on partirait en cavale dans toute l'Europe. On échapperait à nos deux familles pendant des mois et on finirait notre course folle en Islande où personne ne nous retrouverait. On resterait là-bas. Et on vivrait heureux. Gelés mais heureux.
-T'es bête.
-Non, mais t'écoute ce que tu me dis ? C'est tout aussi bête. Jamais mes parents me demanderont ça. Ma soeur peut-être, mais pas mes parents. Ça va pas bien, toi. Je crois qu'il faut que tu dormes.
-Arrête ta soeur est trop sympa. Avec tout ce que tu me racontait sur elle, je m'attendais à voir une fille en pleine crise d'adolescence qui ne veut pas se terminer, mais pas du tout. Elle est trop sympa.
-Ouais... C'est bien ce que je dis, ça va pas bien. Faut que tu dormes. »
Magda ne répondit pas mais bougea sa tête pour se mettre plus à l'aise. Elle ne dit plus rien et repensa à la soirée qui venait de se passer. Martijn avait raison et elle le savait. Elle réfléchissait beaucoup trop à ce que sa famille pouvait penser d'elle. Le dîner s'était très bien passé et il n'y avait aucune raison pour que les Gelderman la détestent. Absolument aucune raison. Elle devait arrêter de se poser des questions et écouter ce que Martijn lui disait. Elle ferma ses yeux et tenta d'arrêter ses réflexions en se concentrant sur la main de Martijn qui caressait ses cheveux et sur les battements de son cœur.
« Tu t'es endormie ?
-Non. J'écoute ton cœur battre.
-C'est intéressant ?
-C'est reposant et rassurant aussi.
-Je le laisse te rassurer alors... »
X+X+X+X+X
Magdalena ne dormait plus, mais elle n'était pas pleinement réveillée non plus. Elle était juste entre les deux. Elle entendit la porte de la chambre s'ouvrir.
« Magda ?, murmura la voix de Martijn. T'es réveillée ?
-Pas tellement..., répondit-elle sans ouvrir les yeux. »
Elle sentit les doigts de Martijn caresser sa joue.
« Mes parents sont partis au marché et ma sœur fait rien devant la télé. Moi, je vais peindre un peu. Alors prends le temps qu'il te faut pour te réveiller. Je t'ai laissé de quoi te faire un petit déjeuner dans la cuisine mais tu peux venir me chercher quand tu voudras descendre.
-Tu veux pas rester avec moi ?, demanda Magda en attrapant le t-shirt de Martijn.
-Faut que je bosse sur mon tableau, j'ai plein d'idées dans la tête.
-Reste avec moi...
-Non... Magda arrête... Lâche mon t-shirt, s'il te plait. Arrête. Y a ma sœur qui est en bas.
-Ça te dérange pas quand y a Max, chez moi.
-Ouais mais y a deux étages de différence entre la chambre de Max et la tienne. Et puis Max prend des somnifères pour dormir. Alors, s'il te plait rend-moi mon t-shirt.
-Je te le rends si tu m'embrasses. »
Martijn céda à sa requête en souriant:
« Y a un moment où tu comptes ouvrir les yeux ?
-Je sais pas encore, répondit Magda en se retournant dans le lit. »
Elle traina encore un long moment sous la couette avant de daigner descendre dans la cuisine. Elle n'alla pas chercher Martijn, il travaillait dans son atelier et elle ne voulait pas le déranger. Pour aller dans la cuisine, Magda devait passer par le salon ; elle y trouva Suzanne toujours dans le canapé.
« Salut.
-Salut, Magda ! Bien dormi ?
-Oui, oui. Parfait.
-Martijn t'a laissé un petit dèj' dans la cuisine. Mais tu peux venir le prendre ici si tu veux.
-J'arrive alors, répondit Magda en allant dans la cuisine.
-Y a un plateau dans le placard en bas à gauche de l'évier. »
Magda se permit d'ouvrir le placard indiqué et prépara le plateau pour rejoindre Suzanne dans le salon. Elle posa le plateau sur la table basse et s'assit en tailleur sur le sol.
« Tu regardes cette série ? Jane the Virgin ?, lui demanda Suzanne
-Non. Je connais juste de nom.
-Tu veux que je mette autre chose ?
-Non, non. Laisse. »
Suzanne laissa la série mais prenait le temps d'expliquer l'intrigue dans les grandes lignes à Magda pour qu'elle puisse comprendre. Elle finit par rejoindre Magdalena sur le sol du salon, et les deux filles regardèrent deux épisodes entier en se moquant de tous les personnages.
« Je vais aller m'habiller, parce que si je suis encore en pyjama quand mes parents vont rentrer...
-Ouais, j'ai les mêmes chez moi, rit Magda devant la grimace de Suzanne.
-Je te laisse la télécommande. Fais comme chez toi. »
Magda la remercia mais éteignit la télévision et alla ranger la vaisselle de son petit déjeuner. Elle se resservit un peu de café et pris une seconde tasse qu'elle remplit également de café. Elle gravit l'escalier et alla toquer à la porte de l'atelier de Martijn.
« Oui ? »
Magdalena entrouvrit la porte et vit Martijn qui était face à son chevalet.
« J'ai pris mon petit déjeuner avec ta sœur.
-Je t'avais dit de venir me chercher...
-Je ne voulais pas te déranger et on a bien ri avec ta sœur. C'était cool. Tiens, je t'ai fait un café. »
Magda alla déposer la tasse sur le bureau de la pièce, à côté de l'autre tasse qui trainait. Puis elle repartit vers la porte.
« Tu vas où ?
-Je vais trainer dans ta chambre en attendant que ta sœur ait fini pour prendre une douche.
-Reste, lui demanda Martijn en désignant le vieux fauteuil qui faisait l'angle de la pièce. Ça ne me dérange pas que tu sois là.
-Je vais chercher mon bouquin. Je reviens. »
Magda fit rapidement l'aller-retour entre la chambre et l'atelier et retourna s'assoir dans le fauteuil. Martijn se remit au travail et Magda l'observa en silence sans ouvrir son livre.
« Si tu lis pas, tu peux mettre de la musique si tu veux.
-Non, c'est bon.
-Tu préfères me matter en silence ?, dit Martijn en remuant ses fesses devant Magda. »
Devant le silence de la jeune fille, Martijn se retourna vers elle. Magda avait rivé son regard par la fenêtre pour tenter de cacher son visage rouge, ce qui le fit beaucoup rire.
« Marty ?, repris la jeune fille après être certaine que son visage n'était plus trop rouge.
-Yep ?
-T'as du talent. Tu le sais ?
-Pour remuer mes fesses ? C'est pas très compliqué, je peux te montrer si tu veux.
-Pour peindre. C'est vraiment bien ce que tu fais.
-C'est gentil, merci.
-Est-ce que tu as déjà pensé à...
-Okay !, coupa Martijn. Je vois où tu veux en venir ; et c'est non.
-Tu sais même pas ce que j'allais dire.
-Si. T'allais me demander si j'avais déjà pensé à exposer. Et c'est non.
-Mais pourquoi ?
-Mais parce que tous ceux qui me le disent n'ont pas de regard objectif sur mon travail. Toi, encore moins.
-Et le prof qui voulait te présenter un galeriste. Lui non plus, il n'est pas objectif ? C'est son boulot d'être objectif.
-C'est Louis qui t'en a parlé ?
-Oui. »
Martijn posa son pinceau, s'assit sur son tabouret et le fit rouler pour se retrouver face à Magdalena.
« C'est pas aussi simple que ça.
-Si. C'est aussi simple que ça, Marty, répondit la jeune fille en se penchant vers lui. T'as du talent et tu devrais le montrer. Toutes ces toiles qui ne font que regarder un mur, c'est triste. On devrait pouvoir les voir. Je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines.
-Parce que. Je te l'ai dit, aucun de ceux qui ont vu mon travail n'est objectif. Mes parents trouvaient formidables les dessins que je faisais à deux ans... Ma sœur, elle s'en fout. Toi, je suis sûr que quoi que je te montre tu vas me dire que c'est très bien, parce que tu veux me soutenir dans ce que je fais et m'encourager. Et mes potes, bah c'est mes potes.
-Parce que tu crois que si ce que tu faisais c'était moche, tes parents accepteraient de mettre tes toiles dans toute leur maison ? Non. Ils en auraient mis une dans un coin que personne ne verrait, pour faire genre ; et certainement pas dans le salon, dans la salle à manger, dans le couloir. Partout. Et tu crois que Louis ne t'aurais pas dit si ce que tu faisais c'était nul. Bien sûr qu'il te l'aurait dit. Tu penses sincèrement, si ces gens disaient tout ça pour ne pas te blesser ils te parleraient d'exposer et t'enverraient droit dans le mur ? Non. Ils t'en parlent parce qu'ils savent que tu n'iras pas dans le mur.
-Mais c'est pas parce que ça plait à quelques-uns d'entre vous que ça va plaire à tout le monde.
-C'est ça qui te fait peur ? T'as peur que personne n'aime ton boulot. Mais Marty, heureusement que ça ne va pas plaire à tout le monde. Tu fais des peintures. Ça ne peut pas plaire à tout le monde. Aucune œuvre ne plait à tout le monde. C'est impossible et il faut que tu fasses avec la critique. Et puis pour ceux à qui ça ne plait pas, tu t'en fous. C'est pas important. Ce qui est important, c'est les gens à qui ton travail plaît. Les autres, vraiment, on s'en fout. Tu sais ce que tu devrais faire ? Tu devrais rappeler ton prof.
-C'est trop tard maintenant, et puis j'ai pas changé d'avis.
-Mais qu'est-ce que tu peux être borné parfois... On dirait moi. Martijn, appelle-le. Ça ne te coûte rien et ça peut peut-être te rapporter, ne serait-ce que de la fierté personnelle. Et la mienne aussi, parce que je serais super fière de toi, si t'y arrives.
-Je vais y réfléchir.
-Vraiment ? De toute façon, je vais pas te lâcher avec ça. Jusqu'à ce que tu l'appelles. »
--- NDA ---
Coucous les pioupious !!!
J'espère que vous allez bien. J'espère que vous êtes content parce qu'aujourd'hui, c'est vendredi ! Et le vendredi, c'est raviolis (NB: j'adore les raviolis.)
Bon passons... J'ai deux trois trucs à vous demander... ^^
Je participe de nouveau à un concours et si vous pouviez allez voter pour ce roman (si vous l'aimez) vous seriez des anges. Pour voter, il suffit d'allez dans la partie ROMANCE (oui parce qu'on parle d'amour ici ^^), ensuite il faut mettre un petit commentaire associé au titre du roman ? Est-ce que c'est tout clair ? Si non, vous pouvez me poser des questions. Et vous pouvez aussi allez voire ce que c'est que ce concours. Le profil qui organise ça, c'est ChantillyAwards .
Ensuite... Pour un livre de critique, j'ai répondu à une petite interview. Alors si vous voulez savoir comment Magda et Martijn sont arrivés dans ma tête vous pouvez passer voir :) C'est sur le profil de -nebuleuse Le livre "Quel livre vas-tu lire aujourd'hui ?". Je la remercie aussi de sa critique qui est trop chou (❤️ Sur toi).
Dans cette interview, vous apprendrez que je travaille également sur le tome 2 (pour ceux qui n'étaient pas au courant ^^). Et d'ailleurs pour ce tome 2, je suis à la recherche de prénoms alors si vous voulez un petite rôle dans le tome 2 vous pouvez balancer votre prénom (ou votre surnom ou un prénom que vous aimez bien) en commentaire (vous avez aussi le droit de dire si vous êtes plus #TeamPaysBas ou #TeamFrance).
Je vous avoue que votre aide est vraiment la bienvenue parce que j'ai vu défiler tellement de prénoms que je vomis des prénoms... Alors l'aide de tout les lecteurs est la bienvenue. De tous, et même de toi petit lecteur qui n'a jamais laissé de commentaire mais que je vois passer quand même. Parce que toi aussi, je t'aime et que toi aussi, tu as le droit à ton personnage.
Voilà, ça sera tout les pioupious.
Je vous fait plein de poutou
A vendredi,
Uthopie.
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