🔯 Chapitre 4 🔯

À mon réveil je suis dans un lit au drap vert magnifique, il est très grand et il y a des rideau d'un rose très pale qui laisse passer la lumière. Je remarque tout de suite que je ne suis pas chez moi et la je la vois, une femme au long cheveux blond avec derrière elle les même ailes que les petits êtres mais elle, de taille humaine comme moi.

-Bonjour, dit-elle et je sais tout de suite qui elle est.

C'est ma mère sauf que j'ai l'impression qu'elle n'a à peine la trentaine.

-Qui êtes vous, je clame quand même.

-Tu le sais déjà.

-Oui c'est vrais, elle  sourie mais je reprends instantanément, mais je croyais que je n'étais pas digne de vous!

Elle m'envoit un regard triste.

-C'est plus compliqué.

-Je ne crois pas, vous ne m'aimez pas c'est tout et je suis adulte depuis maintenant trois ans je n'ai plus besoin de vous. Je suis reconstruis.

-Non tu ne l'es pas et ne le seras jamais.

Je lui lance un regard noir. J'ai peur de la vérité, c'est vrai.

-Car la Terre te tueras, cette espèce que l'on a nommé humain te tueras.

Je me sens d'espérer. Mais si c'était un piège pour que je me marie avec l'homme qu'il m'avait choisis.

-Anne, écoute moi, pitié.

Je me redresse et remarque que je suis en blouse d'hôpital, c'est vrai je suis malade, gravement malade mais pourtant je me sens plus que bien même si je sens le manque de Mattew.

-Tu as pris mon monde à moi quand tu es née et non celui de ton père donc si tu reste dans le monde humain.

-Je vais en mourir.

-Oui.

-Et Mattew ?

-Tu dois l'oublier, dit-elle sur un ton dur.

Je ne réagis pas, je sais que je ne pourrais pas.

-Nous allons te renvoyer dans le monde raté pour un jour, pour que tu puisse lui dire adieu. Tu y reviendras avant le moment où tu tombes malade, ils auront tout oublié de ce qui c'est passer entre temps.

-Je ne pourrais pas.

-Tu y seras obliger car il t'oublieras à la fin des 24 H.

Et je n'ai pas le temps de l'insulter que me revoilà avec Mattew me dirigeant vers le salon après avoir mangé une bonne blanquette de veau.

Nous asseyons l'un à côté de l'autre sur le canapé et nous nous donnons la main.

-J'ai envie de voyager, me dit-il d'un coup, j'ai envie d'aller à New York avec toi.

Il me regarde tendrement et soudain je me rappelle les paroles de cette mère qui est la mienne. Les larmes me viennent.

-Ce serais super, je réponds quand les larmes déferlent leurs torrents sur mes joues.

-Mais qui y'a t'il?

-Rien, juste embrasse moi.

Et c'est ce qu'il fait puis nous partons faire la chose qui fait partis de l'amour mais que je vais pourtant vite regretté.

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