chapitre I: chute libre
Il est sept heures du matin, aujourd'hui et un jour particulier je me lève pour l'opération de ma vie. Comme tous les matins en me réveillant, je bois mon café qui doit contenir du lait, bien évidemment. Catherine dort encore et Chris lui est déjà partie. Hank vient le chercher tous les jours à six heures et demie devant la maison. Il entame le boulot à sept heures et termine à dix huit heures. Ensuite, je m'habille tout en écoutant l'actualité, puis je me brosse les dents et je suis prêt à partir. Il se peut que je croise Catherine si elle vient de se réveiller, mais c'est assez rare. Je pars donc de la maison à huit heures une fois grimper dans la voiture, je me prépare physiologiquement, aujourd'hui plus que les autres fois. Je descends de la voiture, je jette un rapide coup d'œil sur ma montre, il est huit heures cinquante, mon patient se fait opérer à neuf heures ce qui me laisse le temps d'aller saluer mon personnel, mettre ma blouse, et mes équipements. Le patient est un homme très fortuné qui vient tout droit du Mexique là-bas unetelle opération est trop risqué, mais chez nous le danger n'est pas nul.
Il est maintenant l'heure de passer au bloc, je rencontre mon patient, puis discute un peu avec lui. Je lui explique ce qui va se passer durant l'opération. Le patient doit subir une opération du cœur, elle est très risquée, mais faisable. Avec mon personnel, nous venons donc à endormir le Mexicain. Je commence d'abord par prendre un scalpel qui est posé sur ma droite puis-je l'incise . Un de mes collègues vient à mettre la radio, il faut dire qu'écouter une émission matinale nous détend beaucoup, même si c'est normalement interdit. Et puis viens le moment ou le scalpel passe à Rat du cœur, le moment fatidique de l'opération, quand soudains, mais collègues et moi entendons la porte m'ouvrir. Il est bien sur interdit de venir nous rendre visite pendant l'opération, mais c'est pourtant ce que fait le docteur wood . Cet abruti de docteur vient me voir, à croire qu'il n'a pas digéré le fait que j'ai été augmenter. En effet une augmentation allée lui être donnée et aux derniers moments celle-ci mon été verser. Il demande donc à mon staff de sortir, ce qu'ils sont obligés de faire, je me retrouve donc face à face avec cet homme qui me regardait comme si l'a regardé la mort. Je lui demandai alors ce qu'il fout là, puis il m'a gentiment expliqué que c'était la fin. Je n'ai pas percuté de quoi il parler. Alors il m'a dit, ta carrière et terminer. Ce salaud avait tout prévu, je me retrouvais donc au cœur d'un coup monté.
la tactique de Frank,alias docteur Wood pour me faire perdre ma notoriété et par la même occasion mon job était très simple . Il m'explique droit dans les yeux qu'elle était son plan diabolique à croire que ce Frank n'est pas si débile. Pendant que j'étais occupé à opérer l'un de mes patients cette semaine, il a sagement profité de cette occasion pour faire un double de mes clefs et venir la nuit dernière à cinq heures du matin verser dans mon café un médicament qui allait me faire perdre connaissance. Quand il m'a expliqué ceux-ci, je ne sais pas ce qui m'a retenu, de lui mettre ma main dans la gueule. Je me sentais indolent, je m'en guerre peu à peu d'énergie son médicament était en train d'agir, je le fixe dans les yeux et commencer à somnoler. Deux ou trois heures après je me réveillais en ayant toujours dans la tette cette discussion, j'observais le bloc opératoire, le Mexicain était allongé sur la table d'opération, ses mains pendant le long de son corps, je me suis relevé du coin où j'étais endormi pour m'approcher du corps.Le cœur du Mexicain était entaillé, son corps nagé dans une mare de sang et mes mains elle aussi en était remplie. Sur le côté de la table d'opération se trouver l'arme du crime, le scalpel , j'ai donc compris que c'est menace n'était pas bidon ce fou était vraiment passé à l'acte et la personne responsable de cet accident n'était autre que moi pour le public.
tant sous le choc de ce qui vient de se passer, je décide de prendre un grand bol d'air pour respirer. J'ouvre donc les rideaux de la salle et les fenêtres, mais l'information, c'était déjà relayer, devant l'hôpital des centaines de cameramen des journalistes avec leur micro et leur perche, ou encore des photographes. J'étais ébloui par les flash les gens crier le voilà, il est la regarder, en l'espace de quelque heures je suis devenu une bête de foire.Oppressé par la presse, je décide de fermer la fenêtre et de partir promptement du bloc. Là, je me dirige vers l'accueil, saisis la télécommande posé sur le bureau, et allume la télévision. Je fais l'un des journaux, Alain Wright loupe son opération le client décède.
Bref, il était impossible de ne pas avoir entendu cette affaire, puis dans le couloir, je croise mon patron qui me dit sèchement, prend, tu es affaire et dégages-tu est viré. Le docteur Wood quant à lui a bien réussi, j'étais emmerdé jusqu'au coup ! Je suis donc parti dans mon cabinet puis j'ai pris mes affaires en regardant une dernière fois les lieux, et je suis partie en quitter la clinique. Les gens me hurlaient dessus, me bousculer. Puis voilà le moment le plus redouté, je ferme le contact descend de la voiture et me dirige vers la maison en ouvrant la porte, Catherine était en larmes on aller devoir dédommager la famille du Mexicain, et quitter Paris pour partir en province heureusement que ma belle-sœur et agent immobilier.
Julia avait réussi à nous trouver une petite maison en banlieue près de Paris, cela nous plaît pas trop avec Catherine, il faut dire que notre petite vie parisienne nous manquer et Chris aussi, il était resté avec Hank,mon beau-frère et ma belle-sœur, c'était proposer de l'héberger le temps quel puisse trouver un appartement dans le coin: quant à moi plus personne ne voulait de ma présence dans les cabinets, j'étais rejeté partout, mais il fallait bien que je trouve un lieu ou bosser si on ne voulait pas terminer à la rue ;c'est vrai que c'était le choc, car de tout, on passait à rien, mais il fallait garder la tête haute ; âpres de multiples recherches une personne à accepter que je travaille chez lui, ce Messieurs était bizarre et son cabinet aussi, les clients étaient tous des défoncés, ou des délinquants ; un soir lors de ma dernière consultation j'ai eu la chance de revoir un ancien patient, Arnaud il est très souvent en survêtements ce qui lui donne ce côté agace ça on s'en fout un peu à prédire, le truc le plus important c'est qu-on se recroisse ici je lui avais tendu la main à l'époque ; enfin, j'avais plutôt tendu la main à sa mère elle était vachement malade et devait se faire opérer à Paris dans les plus brefs délais ; l'opération coûtée une blinde et je voyais très bien qu'il n'avait pas les moyens, or, j'ai bien reçu le montant indiqué ; il m'avait toujours dit qu'il me devait beaucoup, ce soir-là nous avons donc discuté pendant un bon moment d'homme à homme, et puis nous avons évoqué nos problèmes ; j'étais un peu gêné de lui parler de mon problème financier, alors quand je lui ai annoncé, je n'étais pas très à l'aise ; cependant, il m'a confié le pouvoir remédié à cela, une longue réflexion s'imposait...
car sa proposition était assez surprenante, j'avais toujours vu en lui quelqu'un de différent et ça me le prouver bien ; à l'époque je m'étais demandé d'où lui venait tout cet argent, des sommes monstrueuses et tout ça en liquide, ma théorie de l'argent sale n'était pas bidon ; Arnaud me proposer de collaborait avec lui,cela ne me déranger pas, mais de collaborait à quel sujet ? Il me proposait de le suivre dans le trafic, le trafic d'organe, cela me paressait impossible de basculait dû coter sombre, car à la base, je ne suis pas quelqu'un qui aime défier l'autorité, mais je n'était pas sûr d'avoir le choix en une semaine, on pouvait se faire jusqu'à cinquante mille euros ; et pour une personne comme moi avec des problèmes financiers cela pouvait être très attractive, mais j'avais besoin de réfléchir ; toute la nuit, j'ai réfléchi, mais cela ne me préoccupait pas trop car durant la nuit la douleurs'est invitée j'avais extrêmement mal au rein gauche, je l'avoue, je suis un peu hypocondriaque alors je me suis rendu chez le médecin et là j'ai eu un double choc, on venait de m'annoncer que mon rein gauche était défectueux et qu'aucun donneur n'était compatible, énorme coup de massue ; en rentrant à la maison le soir, je n'ai rien dit à Catherine de peur de l'inquiéter ; la questionne se poser plus désormais je n'avais plus rien à perdre, je de vais annoncer à Arnaud que je me lancer dans le trafic d'organe.
Voila j'espère que ce premier chapitre vous a plus . La suite va arrivé très prochainement j'ai hâte d'avoir vos retours les amis !
Littlefinger .
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