TykenaProduction.©

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Tarek - Effet surprise princesse, effet surprise.

Et il me fait un clin d'œil avant de rentrer aux toilettes.
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Tarek - TAYNARA DESCENDS !

On venait de sonner à la porte et il était descendu pour voir qui c'était.

- C'EST QUI ?

Tarek - NOTRE POTE EN COMMUN A QUI JE VAIS CASSER LA TÊTE D'ICI 10 MINUTES !

Orh ?

Je me lève et met mon peignoir et prends Rafaël qui ne voulait pas dormir.

Je descends les 10 000 marches d'escalier en marbre et me dirige vers le hall.

- Ohw..

Jeremiah - C'est une discussion en privé alors si tu peux dire à ton pseudo-mec de pa-

Tarek - Tu sais pourquoi je t'ai toujours détesté ? C'est parce que tu as un culot qui me dépasse.

- ...comment tu as su que j'étais ici ?

Jeremiah - J'ai surpris une discussion entre Kalyo et toi. Et il a prononcé le nom de Tarek et-

Tarek - Tarek le magnifique.

Il l'a mal regardé mais à un point.

Faut savoir qu'eux deux ne s'entendent pas car quand j'avais quitté Tarek bien avant nos fiançailles, c'était avec Jeremiah que je m'étais mis pour "narguer" Tarek, ce qui n'a pas plus à Makheida et depuis c'est la guérilla. Mais bon ça vous savez déjà.

Jeremiah - Et je suis venu te voir ici vu que ton numéro ne passe plus.

- Euh.. oui, la police a dû saisir toutes "preuves" sur place et mon ancien téléphone en faisait parti.

Jeremiah - Et tu vas bien ?

Tarek - Ouais merci.

Je le regarde en roulant des yeux.

- Ça va, merci..

Jeremiah - Parfait, c'est tout ce que je voulais savoir. Je vais te laisser avec ton énergumène, repose-toi bien.

J'ai lâché un rire juste pour l'impolitesse qu'il a.

- Merci.

Tarek - L'énergumène t'encule.

Jeremiah - Ouais ouais salut.

Tarek - Ciao princesse.

Jeremiah le regarde mal et je ferme la porte.

- *rire* Vous êtes vraiment des gamins. A ton âge tu te disputes encore comme ça ?

Tarek - C'est lui qui m'aime pas, moi je l'aime bien cet enfoiré.

Je rigole et regarde Rafaël après qu'il ai lâché un cri de bébé.

Tarek - Quand j'y pense Taynara, je ne t'ai jamais vu enceinte.

Je le regarde et rigole.

- Bah si, quand j'étais enceinte de Rafaël.

Tarek - Je ne t'ai vu qu'en photo, pas en face.

- Tu veux me voir enceinte ?

Tarek - Ouais. De moi.

Je lève ma main gauche.

- Tu vois quelque chose qui brille toi ?

Il rigole en croisant ses bras.

- Je me disais aussi. Ciao ciao.

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Je vous passe 2 petits jours..

Je vais bien, ma douleur à la côte à disparu et je me sens bien, très bien même.

J'ai essayé de retourner chez moi pour reprendre mes affaires mais.. je vous jure que cette maison.. elle est devenue ouf. Genre j'arrivais pas à avancer dans le salon. J'étais bloqué, j'avais mal à la tête soudainement, j'étais vraiment mal alors je suis sortie et je n'y ai plus jamais mis les pieds.

Mes copines que j'aime de tout mon putain de cœur ont donc vidé mon armoire et mes affaires personnelles pour me l'amener. Je ne sais pas ce que je ferais sans elles..

Je suis en convalescence donc interdiction de sortir mais obligation de se reposer.

Trop nul.

Aujourd'hui je sais pas mais tellement j'avais rien a faire, je suis parti dans un délire de maquillage.

Il est 19 heures et..

J'ai fait un makeup de malade mental.

Alors que je n'allais pas sortir bordel. 😩

Mais bref, j'ai aimé. J'ai bouclé mes cheveux et j'ai regardé Rafaël qui me regardait en mode "t'es conne ou quoi ?".

- *rire* Quoi ? Je peux pas me maquiller pour moi-même ?

Il continue à me regarder et je lui fais un bisou sur le front en souriant.

Je regarde mon téléphone et en même temps j'entends la porte d'entrée, a l'étage inférieur, s'ouvrir.

Ethaïm - OH FAIT VITE AVANT QUE JE DÉVALISE TA MAISON LÀ !

Je roule des yeux et me lève en prenant Rafaël pour ensuite descendre en prenant son sac.

- C'est la première et la dernière fois que je te donne la clé de chez moi, regarde le boucan que tu fais !

Ethaïm - C'est la gneugneu et la gneugneu que je te gneugneu, regarde le gneugneu que tu gneu. Ta petite tête là.

Je le regarde quelques secondes.

Je dépose le cosy et dépose Rafaël à l'intérieur.

Quand c'est trop c'est tropico.

Je prends ma claquette et m'approche de lui.

- Tu parles à qui comme ça toi ?

Ethaïm - Non non non pardon !

Je lui met un coup sur les fesses qu'il a contracté salement.

- Pardon qui ?!

Ethaïm - PARDON TAYNARA WESH PARDON !

Je lâche ma claquette que je remet au pied et attrape sa mâchoire.

- Fais-moi un bisou maintenant !

Je tend ma joue et il dépose un bisou sur la mienne. Je lâche sa mâchoire qu'il masse.

Ethaïm - Une vraie sauvage, t'es pas normale toi, purée !

- Ferme là.

Je m'accroupis et ferme la ceinture du cosy de Rafaël et le couvre.

- Au revoir mon amour.

Mes parents vont chez mes grand-parents et ma grand-mère a demandé à voir Rafaël.

Moi qui voulais passer une soirée avec mes deux hommes bah non, y'en a un qui part.

Ethaïm - Il est où ton rebeu ?

- Il me prépare une surprise.

Ethaïm - Et pourquoi tu le sais ta race ?

- Je sais pas en fait. Mais il était grave doux ce matin alors j'me suis dit qu'il y a une surprise derrière tout ça.

Je lâche un gros sourire et lui me tchip.

Ethaïm - L'amour est écœurant.

- Oh ta gueule.

Il prend le cosy et le sac, je lui fais un grooooos bisou, je reprends ma clé et il part.

Moi je souffle et remonte dans la chambre.

J'enlève mon peignoir en soufflant et me met devant ma coiffeuse à faire des photos de moi-même.

Quand je vous dis que la convalescence est la pire chose au monde.

T'es complètement enfermé chez toi frère.

Waaah.

Je me suis démaquillée.

Et me suis remaquillée.

Seigneur, vais-je bien ?

Mon deuxième makeup était très on fleek par contre, waouh.

J'avais fait mes yeux en rose pâle pour pouvoir être accordé à mes sous-vêtements.

On s'occupe comme on peut tu sais..

J'ai fait des photos et quelques play-back sur des chansons.

A un moment mon téléphone s'éteint soudainement et je souffle en le posant sur le plan du lavabo.

Et maintenant, je fais qu-

La porte s'ouvre, je tourne la tête et vois Tarek qui venait de rentrer sûrement.

- Je déteste la convalescence Tarek !

Il rigole et dénoue sa cravate.

Tarek - Déjà, bonjour omri..

- Non, pas bonjour ! Je me suis maquillée 1 million de fois aujourd'hui !

Juste 2 fois mais faut rendre le bail plus dramatique.

Tarek - Habille toi, on sort.

- Sérieux ?

Tarek - Ouais. Que tu sortes un peu d'ici.

Je sautille et il me regarde de haut en bas.

Tarek - Mais d'abord.. tu me dis bonjour.

Je me dirige vers lui et me met sur la pointe des pieds pour lui faire un doux baiser sur les lèvres en attrapant les deux bouts de sa cravate.

Je le regarde et pose mes mains sur son buste pour l'embrasser.

Ok, je vois.

J'envoie ma chevelure en arrière et passe mes doigts sur les boutons de sa chemise.

J'en déboutonne un et il sourit contre mes lèvres.

Le deuxième suit et Tarek se détache légèrement.

Tarek - T'as pas envie de sortir par hasard ?

Je regarde ses lèvres et le regarde ensuite avec mes yeux innocents.

Je hoche la tête négativement en frôlant sa bouche avec la mienne.

J'enlève sa cravate et la lance à terre.

- ...plus maintenant.

En plus demain il part donc hors de question qu'il parte sans souvenir.

Il m'attrape par la taille et recule vers la chambre tout en embrassant ma belle bouche.

Je déboutonne sa chemise et l'enlève.

Mh putain..

Je mords sa lèvre en détachant sa ceinture.

Il pose sa dure même main sur ma fesse tout en l'attrapant sauvagement. Il a décidé de la rendre rouge je crois.

- Je pensais que monsieur ne voulait pas me toucher ?

Je le regarde avec un sourire narquois en enlevant sa ceinture.

Il me met une fessée pour ensuite la reprendre entre sa main.

Tarek - Tout homme craque.

Je souris et le couche sur lit. Je monte sur lui en prenant soin de coller mon bassin au sien.

Son pantalon a cédé et j'ai posé ma main sur son entre-jambe histoire de faire monter davantage son engin.

- ..t'es sûr de vouloir partir demain ?

Tarek - Et toi t'es sûr de me laisser partir ?

Je remet ma main sur sa joue et je me cambre pour rapprocher mon visage au sien.

Je hoche la tête négativement et chuchote :

- Je ne veux pas que tu partes.. je veux que tu restes ici avec moi...

Je le regarde dans les yeux en mettant mes cheveux d'un côté pour faire le plus innocent possible.

J'approche ma bouche de sa joue et dépose une lignée de baiser dessus pour aller jusqu'à sa bouche.

Je lèche sa lèvre en le regardant dans les yeux. Il sait très bien à où je veux en venir.

Mon fessier, d'ailleurs, se mouvait tout seul contre son caleçon déjà bien dur.

Je mords sa lèvre légèrement et dépose un baiser très sensuel sur sa lèvre.

Il me regarde et m'embrasse fougueusement.

Il prends le drap qui était à nos pieds et nous couvre jusqu'à la taille tout en se redressant afin que je me mette à califourchon sur lui.

Je passe mes bras autour de son cou et il détache mon soutien. Pour une fois, sans aucune difficulté.

Je l'aide à l'enlever et il le balance je ne sais où.

Il tire sur mon string qui m'a fait lâcher un gémissement par surprise.

Il me fais basculer et se met sur moi en s'attaquant à mon cou.

Il aime trop cette position, je cite : "pour mieux te faire crier". Ce sont ses paroles hein. Il me l'a dit je ne sais plus quand mais en tout cas j'étais morte de rire.

Il commence toujours par cette position, je ne sais pas pourquoi.

C'est lui qui gère, c'est lui le boss.

Il m'a fait un bisou sur le cou et m'a fait un putain de suçon. Déjà que je viens de "faire disparaître" 1000 hématomes, lui il revient m'en remettre un autre.

Je souris en mordant ma lèvre en sentant sa main se positionner sur mon cou pour qu'il puisse dégager ce dernier afin de laisser l'accès à sa bouche pulpeuse.

Ugh, il sait comment me rendre dingue bordel, il le sait.

Il pose sa main sur mon entre-jambe histoire de.. me chauffer avant de passer à l'acte. Si vous voyez ce que je veux dire..

J'entrouvre ma bouche en gémissant dès que sa main s'est trouvé à l'intérieur de mon string sans le tissu bloquant le contact.

Décidément... il sait s'y prendre cet enfoiré.

Il sort sa main après quelques minutes de délire.

Il bloque mes mains avec les siennes et juste après avoir seulement déplacé mon string, il m'a pénétré. Il a même pas pris la peine d'enlever mon bas.

J'ai sorti un cri non-contrôlé en attrapant le drap dès qu'il a commencé ses va et vient.

Je réussi à détacher ma main que je pose sur sa nuque pour griffer, inconsciemment, le haut de son dos.

Plus je gémissais à son oreille, plus ses pulsions augmentaient et il ne faisait qu'accélérer.

Tout ce qu'il voulait c'était de me voir dans cet état.

Il aime me voir folle de ce qu'il me fait.

Il veut en être fier.

Et il peut en être fier.

A chaque moment où il tapait bien au fond, j'enfonçais mes ongles "dans" son dos. Il la cherché, il assume.

Pourtant j'avais l'impression que ça ne lui faisait pas de mal. Genre, il réagissait pas.

A un moment il a décéléré et a attrapé mon cou tout en y allant doucement, en prenant son temps.

Il met une de ses mains sur ma hanche et me met un coup puissant allant au-delà de mes limites.

J'ai lâché un fort gémissement en serrant le drap entre mes mains. Y'aura un trou dans ce putain de drap.

Putain putain putain !

Je lui murmurais de continuer mais il en faisait qu'à sa tête, il essayait de me faire craquer, il voulait me faire supplier, ce mec est un vrai sadique au lit, j'ai juré c'est un démon.

Démon - Ah non, cette fois-ci j'ai rien fait.

Tarek - Dis le que tu veux que je continue..

Démon - J'adore ce gars bordel 🍿

Je ne peux pas me montrer faible, je dois avoir la f-

Démon - Oh tu la veux ou pas cette partie de baise enflammée ?

Tarek - Mh ?

Je hoche la tête positivement en serrant mes lèvres entre elles pour ne pas gémir, je m'attendais déjà au coup surprise qu'il allait me mettre.

Tarek - Vas-y ? Dis-le.

Démon - Décidément, il se place dans mon top 1.

Je murmure, a voix très basse :

- ...continue.

Démon - 🍿

Tarek - J'ai pas entendu bébé..

Il m'administrait des lents va et viens qui ne me suffisait pas mais qui l'amusait.

- ...s'il te plaît, continue.

Il sourit de son sourire tellement sexy et là il a prit toute l'énergie qu'il a accumulé et à accéléré me faisant gémir de toutes mes forces.

Et ça a continué pendant des heures..

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Taynara P.