Perdus dans le Moyen Âge | Doctor Who & Merlin | Partie 2 | 2012
Moi : Docteur... Il faut que vous teniez le coup d'accord ? On va trouver un moyen de vous sauver, je vous le promets.
Il tremblait de partout et je doutais qu'il m'ai entendue. J'avais mal pour lui...
Merlin : Je peut essayer de le soulager quelque instants mais je ne sais pas si ça marchera.
Je leva la tête vers lui et Arthur qui nous observait. Je recula. Les yeux du sorcier prirent leur lueur dorée et les tremblements se stoppèrent. Il m'aida ensuite à transporter le Docteur jusqu'au Tardis, qui était dans la même pièce que nous. Nous montâmes les escaliers jusque la chambre du Docteur. Je poussa doucement la porte avant d'installer le Seigneur du Temps dans son hamac. Je lui pris la main un instants avant de ressortir.
Moi : Il faut trouver un remède pour le sauver, lui et tous les autres.
Arthur hocha la tête et nous commençâmes à fouiller la pièce. La porte s'ouvrit soudain sur un homme et une femme, humains.
Moi : Docteur ?
L'homme se tourna vers nous.
Eleven : Je me disais bien que j'avais oublié quelque chose...
Moi : Vous allez pouvoir nous aider, on as des centaines de personnes en train de muter et le Docteur également, et s'il meurt...
Eleven : Je mourrai aussi...
? : Vous nous présentez Docteur.
Moi : Oh, pas besoin Amy, je sais déjà qui vous êtes. Euh... Voici Merlin et Arthur. Moi, c'est Oriane.
Un troisième homme, tout essoufflé entra dans la pièce.
? : Vous auriez pu m'attendre !
Moi : Rory Williams, l'homme qui... Oh... Désolé, trop tentant. Spoilers. Bon, la Pandorica vous l'avez faite ?
Eleven : Oui.
Moi : Hum... Melody Pond ?
Eleven : Qui ça ?
Moi : D'accord, avant... La chair ? Non visiblement, donc... Vous venez de faire les pirates !
Amy : Oui, comment le savez vous ?
Moi : Oh, je connais bien le Docteur c'est tout. Et rien qu'à voir vos têtes, vous venez de courir. Donc, j'en conclue que les Siluriens sont à vos trousses.
Tous me regardèrent étrangement. Je me tourna vers le Tardis et ferma la porte.
Moi : Comme ça, ça l'obligera à se reposer. Bon ! Allons-y.
Le Docteur eut un sourire et sortit son tournevis. La porte était secouée et ne tarderait pas à lâcher.
Moi : Ah, et par pitié, ne vous faites pas piquer, un Docteur malade c'est déjà fort mais deux...
Docteur : Tout va bien, je ne vais pas mourir !
Je regarda Amy. Son regard s'était assombri, elle avait vu le Docteur mourir sous ses yeux. Mais je ne devais rien lui dire, absolument rien.
Moi : Je l'espère bien Mister lesnoeudspapcestcool.
Docteur : Mais parce que c'est vrai.
Moi : Si on s'en sort vivant, je vous paye un fez.
Amy et Rory : Non, surtout pas !
J'éclata de rire. Je me tourna vers la porte qui tomba d'un coup. Des hommes-lézards arrivèrent de tous les côtés et nous encerclèrent.
Docteur : Ecoutez, j'ai dit que j'étais désolé !
Moi : Désolé de quoi ?
Amy : Oh, il a juste fait exploser leur Parlement.
Moi : Oh, c'est son habitude, il a fait explosé le magasin de Rose, a fait explosé la maison de Martha, puis le Creuset des Daleks, Gallifrey, il a détruit une partie de Venise, a fait explosé l'univers.
Docteur : Oui, c'est vrai, je suis désolé...
Amy : Rien que ça ?
Moi : Je ne veux pas le spoiler sur son avenir. Ah, et Rory, évites de mourir encore une fois...
Rory : Très drôle...
On se prépara à se battre. Le Docteur n'arrivait pas à les retenir. Un sourire apparut sur son visage, il leva son tournevis qui produit un son strident, nous étions tous à terre.
Moi : Allez ! Il faut courir !
Je me releva et attrapa la manche du Docteur. Je le tira vers la sortie avant que l'on devienne tous sourds. On partit dans les dédales de couloir. Arthur et Merlin essayait de suivre le rythme comme ils pouvaient.
Moi : Il faut trouver un remède pour sauver le Docteur, si il mute vous allez ressemblez à un gros lézard avec un nœud papillon.
Eleven : Les nœuds pap', c'est cool !
Moi : Yep !
On se retrouva coincés dans un cul-de-sac. Je vis une trappe à terre. J'appuya sur son centre et une porte s'ouvrit derrière nous.
Eleven : Mais où est ce que tu as appris à faire ça ?
Moi : Mais j'ai appris du meilleur des meilleurs bien sûr.
Le Docteur leva les yeux en l'air. Nous avançâmes dans cette nouvelle pièce, spacieuse. Une odeur étrange régnait, je me demandais bien ce que c'était... Il y avait des draps blancs, autour de nous, des centaines. Je m'en approcha et en souleva un. Une jeune femme blonde était allongée là, tranquille, bien trop tranquille. Elle ne se réveillera jamais, comme tout les corps en dessous de ces voiles blancs. Une morgue. C'était une morgue.
Merlin : Ils ont tous les mêmes traces que les autres.
Eleven : Ca doit être les cobayes qui n'ont pas survécut... Ils sont en train de lever une armée...
Amy : Oui, mais dans quel but ? Que vont-ils faire de mutants ?
Moi : Et s'ils envoyaient les mutants contaminer la population ?
Eleven : Je pense que c'est ce qu'ils comptent faire...
Je remarqua un flacon avec marquer antidote dessus.
Moi : Vous croyez qu'on peut sauver le Docteur avec ça ? Au pire il se régénérera.
Eleven : Amy, Oriane, allez-y, on reste ici. Merlin, Rory, Arthur, on va chercher quelque chose. Soyez prudentes.
On lui sourit avant de prendre la sortie. Pendant le trajet, on commença à faire connaissance.
Moi : Ne t'inquiètes pas, il est plus futé que tu ne le penses.
Amy : Je l'ai vu mourir devant moi. C'est dur de garder le secret.
Moi : Où que tu sois, le Docteur arrive et viendra te sauver.
Amy : Pourquoi tu me dis ça ?
Moi : Tu verras bientôt, et bats toi, pour Melody.
Je lui souris. On arriva au Tardis, j'ouvris la porte. Amy rentra.
Amy : Tiens, une autre décoration ?
Moi : C'est celle du dixième Docteur.
On monta vers la chambre du Seigneur du Temps. Je rentra, le flacon à la main. Amy me suivit, observant chaque détail. Je marcha vers le lit du Docteur. Il était encore plus pâle que tout à l'heure et brulant de fièvre. Je lui leva doucement la tête et lui fit boire le flacon. J'attendis un instant avant de le voir tirer une énorme grimace de dégoût.
Ten : C'est... C'est infect !
Nous éclatâmes de rire. Le Docteur s'était assis dans son lit et nous observaient, son sourcil levé. Il observa Amy.
Ten : Qui êtes vous ?
Moi : Amy Pond, votre... future compagne.
Ten : Bonjour. Attends, future ? Il y a mon futur moi qui est ici ?
Moi : Oui.
Il sauta sur ses jambes et partit en direction de la porte. Bon, il n'allait pas si mal que ça apparemment. On le suivit en direction de la porte du Tardis. On refit le chemin en marche arrière pour rejoindre les autres. Le Onzième Docteur était penché sur une table en train d'observer quelque chose. Il se tourna vers nous un grand sourire aux lèvres. Ten leva les yeux en l'air.
Ten : Toujours pas roux !
Eleven : Et non... On va y arriver.
Moi : Donc, Docteur, voici Amy, Rory et... euh... vous plus tard.
Je souris et sortit le flacon que j'avais utilisé pour sauver le Docteur.
Moi : Il en reste assez pour permettre au Tardis d'en reconstituer et de sauver les autres.
Ten : C'est une morgue...
Moi : Oui, des centaines et des centaines d'humains.
Je partis aider Eleven, toujours penché sur son objet. Il avait les doigts plein d'une poussière bleue bizarre.
Moi : Qu'est ce que c'est que ça ?
Eleven : A vrai dire... C'est... Techniquement... Je n'en sais rien.
Je tira sa veste et fouilla dans sa poche. J'en sortis une banane. Il me regarda un grand sourire aux lèvres.
Moi : Je sais, les bananes c'est bon et c'est plein de potassium...
Je refouilla et finis par trouver le tournevis sonique. Je le dirigea vers la poudre et l'actionna.
Moi : C'est du sulfate de cuivre idiot...
Eleven : Oh...
Il se leva et regarda autour de lui. Je chercha un grand récipient. Je trouva une espèce de marmite.
Moi : J'ai besoin d'un des deux Docteurs, les autres retenaient les Siluriens.
Ce fut Ten qui partit avec moi. Il partit devant en courant comme à son habitude... Je le suivit jusqu'au Tardis. On prépara une copie de la solution avant d'en mettre dans le récipient. Le Docteur actionna les mannettes du Tardis et nous fit remonter. Je sortis. Nous étions dans la salle des malades. J'attrapa un des médecins.
Moi : Tenez, ne posez pas de question. Donnez leur une cuillère chacun. C'est l'antidote.
Je fis demi tour, ramena le récipient, le déposa et retourna au Tardis. Le Docteur lança un « Allons-y » avant que nous retournions au sous sol. Je sortis.
Moi : Je sais ! Il faut lancer les vapeurs toxiques ! Où est votre Tardis ?
Tout le monde se tourna vers moi.
Eleven : Euh... Pas trop loin.
Moi : Préparez vous à courir alors ! Amy, Rory, c'était un plaisir, on se reverra je pense. Docteur, venez m'aider et vous, Mister nœud papillon, à la prochaine.
Eleven : Bien, on se reverra je l'espère.
Ten : Oh, pour moi ça ira, ne vous inquiétez pas. J'ai un futur de toute manière, c'est déjà pas mal.
Moi : Allons-y !
J'appuya sur le bouton et une alarme retentit.
Moi : Merlin, Arthur, allez, on y va !
On rentra dans le Tardis avant de remonter à la surface. Je regarda Merlin et Arthur.
Moi : Merci de nous avoir sauver. Arthur, vous allez marquer l'histoire, j'en suis certaine. Sur ce...
Ten : Nous allons continuer notre chemin. Un petit tour sur Mars, ça te dit ?
Moi : Pourquoi pas Barcelona ? Avec un peu de chance on vas y arriver !
Ten : Bien, allons-y !
Merlin : Docteur, prenez ça, ça vous sera utile.
Il nous tendit l'objet triangulaire, nous sourit avant de sortir, nous laissant seul. On se regarda un instant.
Moi : Docteur, il fa ut que je vous dise quelque chose. Si vous deviez faire confiance à quelqu'un plus que jamais, c'est maintenant. Vous ne devez jamais, jamais, jamais aller sur Mars. Jamais.
Ten : Pourquoi ?
Je lui souris et lui aussi, sachant pertinemment ce que j'allais dire.
Moi : Spoiler !
On éclata de rire. Le Docteur décida qu'on allait fêter Noël, il démarra le Tardis, en route vers chez moi.
The End.
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