- KACCHAN !

"Deku ?!"

Puis plus rien...

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- Midorya ?

Le petit vert ne prit pas la peine de se retourner vers son ami le bicolore. Il était bien trop triste pour sa.

- Midorya, va dormir un peut et manger. Je sais que tu veux veiller sur Katsuki, mais tu te fais du mal la.

Le petit lycéen renifla bruyamment. Ses jolies yeux vert étaient soulignés par de gros cernes noirs. Shoto tenta de nouveau.

- Katsuki n'aimerait pas te voir comme sa.

- Ce n'est pas sa le problème Sho.

Le bicolore soupira. Oui, il savait pertinemment quel était le problème. Cela faisait cinq jours que le blond était hospitalier ici et dans un semblable coma.

Tout sa à cause des nombreuse brûlures, plaies et ématomes prennent sur tout le corp de Katsuki.

Deku, lui, s'en tenait pour l'unique responsable. Celon lui, si il serrait arriver plus tôt, l'explosif n'aurait pas autant souffert.

Certes il avait raison, mais ce n'était pas de sa faute à lui. Ce n'était celle de personne.

Shoto décida de sortir, Midorya ne quittera pas si facilement le cheval du blond et sa, le bicolore en connaissais la raison.

De son côté, le petit vert prit la main du blond dans la sienne, inquiet.

- Kacchan...

La fête de Noël était dans une semaine et Midorya se voyait mal la passer sans son ami d'enfance.

D'ailleurs, le petit brocolis avait découvert il y a peur et grâce à Shoto, des sentiments naissant pour le cendré.

Il ne savait pas dire quoi, mais quelque chose avait changé chez l'explosif depuis la reprise des cours.

- Kacchan... Je suis désolé pour tout.

Des larmes roulement le long des joues parsemé de taches de rousseurs du petit vert.

- Je ne te mérite pas...

- Mais tu vas arrêter de beuglé stupide nerd...

- Kacchan...

Le vert octa de surprise en redressant vivement la tête, les yeux rougient et enflés.

- Kacchan ?!

- Tait toi ! J'ai une horrible migraine !

Le brocolis serra son camarade dans ses bras, comme si sa vie en dépendait.

- AIE !

- D-désoler Kacchan...

- TAIT TOI DEKU !

Le petit vert rigola légèrement sous le regard agacé du cendré. Ce dernier lui agrippa le col du T-shirt.

- TU TE FOUS DE MOI ?!

- Non Kacchan, je suis heureux. Ton caractère m'avait beaucoup manqué.

- TA GUEULE !

À suivre...