Tome 1 - Chapitre 43

C'est quand que ça s'arrête ?

*******

Tristan

Plus on parle et plus je me demande, si tout cela s'arrêtera à temps. Vu l'épée de Damoclès qu'elle a au-dessus de la tête, forcément ses derniers moments sont comptés. Mais va-t-elle avoir le temps de mettre en place ce dernier piège avant que Don, ne lui retire la vie ? Car, je n'ai aucun doute sur le fait que Don va lui faire payer cher son intrusion sur son territoire. Don deale depuis des années, il est connu de tous comme étant le plus redoutable, tout le monde le craint, il fait ses propres lois et rien ne l'arrête. Et de tous, elle s'attaque à lui ! Mais qu'est-ce qui a bien pu lui passer par la tête ? Déjà, pour se mettre à dealer et ensuite pour s'attaquer à Don. Si elle avait des envies suicidaires, il aurait été plus simple de s'ouvrir les veines, direct, que de faire ça. Car Don, ne fera pas dans le sentiment parce que c'est une femme. Au contraire, il va prendre son pied avant de la tuer. Je n'ose même pas imaginer ce qu'il va lui faire subir. Alors j'espère qu'elle va écouter Dimi et s'enfuir. C'est la seule façon qu'elle a, de s'en sortir.

Par contre, j'ai beau chercher, je ne vois pas qui pourrait encore l'aider à nous faire du mal ? Jimmy n'a pas fait allusion à ce nouveau piège, lors de la visite des mecs ce matin, donc on pense bien, qu'il n'est pas au courant et même pas impliqué. Reste Bev... Est-ce que ça serait-elle l'interlocutrice de Cerise ? J'en doute, car Cerise ne la craint pas, au contraire, elle l'a toujours écrasé, dirigé et fait ce qu'elle en voulait du temps où on était ensemble ! Cette fille est juste une suiveuse et n'a pas la carrure pour tenir tête ou même impressionner Cerise. Alors qui ? J'ai beau tourner toute cette histoire dans ma tête, plus rien ne veut en sortir et encore moins ce nom. Je me prends la tête entre les mains et culpabilise de faire subir tout ça à ma petite femme. Je sais qu'elle ne veut pas que je lâche la partie. Qu'elle refuse que je dise oui à Cerise. Mais pourtant, je ne vois que cette solution...

Thomas s'approche de moi et me demande de le suivre à l'écart des autres.

- Tu penses à quoi ? Car je te connais assez, pour savoir que tu t'apprêtes à faire une connerie.

- J'essaye de trouver une solution pour protéger Orphélia et...

- Et quoi ?

- Et je n'en vois qu'une. Putain de vie de merde !

- Calme-toi et explique-moi ta solution.

- Si je dis oui à Cerise et que je laisse Orphélia, elle arrêtera tout ça, dis-je effondré.

- Tu y crois ?

- Ben oui, c'est ce qu'elle veut, me récupérer. Mais merde, pourquoi je lui ai fait cette promesse, tirant sur mes cheveux.

- Parce que sur le moment, elle était appropriée, tu te sentais redevable. Mais penses-tu qu'elle n'aurait pas agi de la même façon, même sans ta promesse ?

- Peut-être !

- Ce n'est pas peut-être mec, c'est sûr. Cerise n'est plus celle que l'on connaissait. Celle avec qui tu as grandi. Et avec ou sans promesse de ta part, elle aurait agi de la même façon. Elle essaye juste, de te faire encore plus culpabiliser et ça marche.

- Je fais quoi alors ? J'attends qu'elle s'en prenne à ma Princesse en croisant les bras sans rien faire ?

- Je n'ai pas dit ça !

- Alors, on fait quoi ?

- En tout cas, tu ne retournes pas avec Cerise. Surtout, en sachant que les mecs de Don sont sur sa trace. Ça servirait à quoi que tu te sacrifies ?

- Je m'en fous de moi, tout ce qui compte c'est elle. Tu peux comprendre que je veuille la protéger, tu ne le ferais pas pour Elena ?

- Bien sûr que si et tu le sais, mais on doit réfléchir avant d'agir. Toi, tu fonces tête baissée sans réfléchir aux conséquences.

- Je le sais tout ça, mais je ne suis pas comme toi Thomas.

- C'est pour ça que tu as besoin de mon aide et de celles des autres. On est une famille, on se serre les coudes, on se soutient et on n'agit pas en soliste, ok !

- Ok, Thomas, mais j'ai tellement peur pour elle.

- Je sais mec, d'ailleurs en parlant de famille, je pense que ses parents devraient être au courant.

- Mais ça ne va pas non ! Tu as complètement perdu la tête !

- Non au contraire, son père est quelqu'un d'influent, il a des relations et qui sait, si lui, ne pourrait pas nous aider.

- Qui pourrait nous aider ? demande ma petite femme qui s'est approchée, sans que je m'en rende compte.

Je fais les gros yeux à Thomas pour qu'il la ferme, mais il est têtu comme une mule.

- Ton père ! lui répond cash Thomas.

- Pourquoi, tu veux qu'on parle de tout ça à mon père ?

- Parce qu'il a des connaissances que nous, nous n'avons pas et que là, on ne trouve pas de solution ou même, qui sont de mèche avec Cerise.

- Mais mon père ne la connaît que très peu. Comment il pourrait savoir avec qui elle est de mèche ?

- Comme tu veux Orphélia, on va donc suivre le plan de Tristan !

- Tu as un plan mon amour ?

Je fusille Thomas sachant très bien ce qu'il est en train de faire.

- Pas vraiment, c'était une réflexion que je me faisais, c'est tout !

J'essaie de ne pas lui dévoiler mon plan, mais Thomas ne lâche rien.

- Pourtant quand tu m'en as parlé, tout était bien clair dans ta tête Tristan.

- Oui et bien j'écoute tes conseils.

- Bon, arrête de me prendre pour une idiote, je vois bien que tu essaies de me cacher quelque chose. Et je te préviens Tristan, que si c'est encore cette idée de me laisser pour retourner avec Cerise, je te fais enfermer dans la remise.

- Tu vois, elle n'est pas d'accord non plus ! dit fièrement Thomas.

- C'était ça ton plan ?

Je ne réponds pas.

- Je vais finir par croire que tu tiens à elle plus que tu ne le laisses entendre, me balance-t-elle ironiquement.

- Tu dis n'importe quoi mon cœur, il n'y a que toi que j'aime et tu le sais très bien.

- Alors, on est d'accord, tu laisses tomber cette idée. Je ne veux plus en entendre parler, tu m'entends ?

- Je t'entends... Nous voilà revenus à la case départ ! Super !

- Peut-être pas. Ton idée de parler à mon père vient de me faire penser à quelque chose.

- À oui ? À quoi ? me demande Thomas.

- Suivez-moi, il doit être à son bureau.

*******

Orphélia

Je toque à la porte de son bureau en espérant qu'il soit là. L'idée de Thomas n'est pas bête, peut-être que mon père pourrait nous aider en faisant appel à son détective privé.

- Entrez.

Nous avançons tous les trois et mon père se lève pour m'embrasser et serrer la main aux garçons.

- Que me vaut une visite dans mon bureau ?

- Nous devons te parler d'un problème auquel nous ne trouvons pas de solution.

- Tu as des soucis avec les tables ou l'estrade ?

_ Non papa, il ne s'agit pas de la mise en place pour mon anniversaire. Tout a été livré et est déjà en place !

- Alors en quoi puis-je vous aider ?

On se regarde tous les trois, sans savoir trop par où commencer ou quoi lui demander. Alors je me lance :

- Papa, est-il est possible que tu contactes ton détective privé ?

- Maintenant ?

- Oui !

- Oui, bien sûr je peux, il est à mon service vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Mais pourquoi tu me demandes ça ? C'est à cause de Charles ?

- Non papa, d'ailleurs, tu as de ses nouvelles ?

- Oui, il est toujours interné, mais il va mieux. Alors dis-moi tout, ma fille.

On prend place dans le petit salon tenant à son bureau et on commence à lui raconter tout ce qui s'est passé avec Cerise. Je vois mon père bouillonner tout le long du récit mais il ne nous interrompt pas. Tristan est tendu au possible, car il se sent coupable de la situation.

- Donc si je comprends bien, Cerise a essayé de s'en prendre à ma fille et ce n'est que maintenant que vous venez m'en parler ?

- Je suis désolé, on ne pensait pas que ça prendrait ces proportions-là, jusqu'à cette nuit, durant laquelle elle a saboté ma moto, explique Tristan.

- On pensait juste que c'était de la jalousie et on n'allait pas venir vous embêter avec ça, ajoute Thomas, mais avec ce que l'on a appris ce matin...

- Qu'avez-vous donc appris de plus ?

Thomas prend la parole et explique calmement son entrevue avec Jimmy et ce qu'il a appris sur Cerise, son trafic et le contrat qui plane sur sa tête. À mon tour, je lui parle de la discussion que j'ai surprise entre Cerise et cet interlocuteur inconnu.

- Papa, on ne sait pas avec qui elle parlait, tout ce que je peux te dire, c'est que Cerise était tendue et vouvoyait cette personne.

- Mais tu ne nous as pas dit tout à l'heure qu'elle la vouvoyait, me dit Thomas.

- Je viens de m'en souvenir en me repassant la discussion, je suis désolée.

- Ne sois pas désolée mon cœur, on est tous sous pression avec cette histoire. C'est juste que de savoir ça, écarte forcément pas mal de monde.

- En effet, dit mon père. Bon, laissez-moi un peu de temps, je vais voir avec mon privé ce qu'il en pense. En attendant, allez vous détendre, c'est ton anniversaire, alors profites-en ma puce. Je vais m'occuper de tout, ne t'inquiète pas.

- Merci papa.

Je le prends dans mes bras puis il m'embrasse le front.

- Allez vous amuser et je compte sur vous les garçons pour la protéger.

Ils acquiescent avant de sortir du bureau. Je n'ai pas refermé la porte que mon père est déjà au téléphone en train de donner des directives.

- Ma puce !

- Oui papa.

- Ne t'inquiète pas si tu vois des gardes du corps. À partir de maintenant, ils ne te lâcheront plus.

- Mais papa...

- Ce n'est pas négociable et en attendant leurs arrivées, je vais demander à Alexandre de te rejoindre.

- Si tu penses que c'est nécessaire, dis-je tristement.

- Je serais plus tranquille, tu comprends.

- Oui papa, je comprends, même si ça me déplaît.

- Tu verras, ils seront très discrets. Mais à partir de maintenant, tu ne sors plus sans eux.

Je sors du bureau complètement dépitée après avoir eu cette nouvelle. Tristan s'approche et me demande :

- Qu'est-ce qu'il y a mon cœur ?

- Mon père m'a assigné des gardes du corps, ils vont nous suivre partout et je ne pourrais pas me déplacer sans eux. C'est pour ma sécurité.

- Il n'a pas tort, tu sais et ça doit le rassurer. N'oublie pas tu es la fille de Saint-Péone, ton père doit penser que Cerise n'est qu'un maillon du problème et à peur qu'on s'en prenne à toi ou qu'on t'enlève pour une rançon ou je ne sais quoi d'autre...

- Je n'avais pas pensé à tout ça, j'oublie tellement qui je suis à vos côtés. Allons retrouver les autres avant que je ne puisse plus rien faire sans surveillance. Mais avant, je dois me changer, je te rejoins mon amour.

- Ok, à de suite.

Il m'embrasse et je me dépêche de rejoindre ma chambre.

Une fois dans mon dressing, je prends un maillot de bain, un paréo et des claquettes quand mon téléphone sonne, je regarde et vois que j'ai reçu un SMS :

" Tic... Tac... "

Je regarde le numéro de téléphone mais il m'est inconnu. Je ne sais pas quoi faire, ni si je dois répondre. Je fixe mon téléphone sans pouvoir bouger. La peur me prend au ventre et je commence à trembler quand mon téléphone sonne à nouveau, je regarde le nouveau SMS :

" BANG"

Je sursaute quand j'entends ma porte claquer et m'accroupis en prenant ma tête entre les mains, j'essaye de me recroqueviller en attendant de savoir qui vient de rentrer. Je tremble comme une feuille en calant mon dos contre mon lit. Je n'ose pas lever les yeux de peur de voir qui est là. Je déverrouille mon téléphone tout en le cachant et appui sur le dernier appel quand j'entends des pas se rapprocher de moi, je le glisse sous le lit pour ne pas me faire repérer, pourvu que Lina décroche et entende ce qui va se passer dans ma chambre.

- Tu crois que tu peux te cacher derrière ton lit ?

Elle m'attrape par les cheveux et me tire la tête en arrière pour que je la regarde. Je retiens mon cri pour ne pas lui donner cette satisfaction.

- Qu'est-ce que tu veux Cerise ?

_ Je viens te souhaiter un bon anniversaire, voyons ma belle ! lance-t-elle en affichant un rire diabolique.

- Tu n'avais pas besoin de te déplacer pour ça, j'ai déjà eu ton cadeau, il me semble, essais je de parler le plus fort possible pour qu'on m'entende dans le téléphone.

- Voyons tu es mon amie et je n'allais pas me contenter de juste cette photo. Elle t'a plu au fait ? Parce que si elle t'a plu, tu vas adorer cette vidéo alors.

Elle prend son téléphone tout en me maintenant toujours par les cheveux et place son téléphone devant mes yeux.

Au départ, je ne comprends pas à quoi elle joue en me montrant ça, jusqu'au moment où je commence à entendre des bruits, des gémissements, j'essaye de détourner les yeux mais elle me force à regarder en resserrant sa prise dans mes cheveux.

- Regarde bien ce qu'aime Tristan, tu crois que tu vas pouvoir assouvir ça. Regarde comme il aime ce qu'on lui fait avec Bev.

Je ferme les yeux. Mais elle me hurle dessus :

- REGARDE ! Tu sais ce qu'il préfère ? C'est qu'on s'occupe de lui alors que Bev et moi on se caresse. Il aime regarder, il aime avoir le pouvoir, tu vois bien là, quand il me prend par-derrière, comme il se déchaîne et qu'il aime ça.

- ARRÊTE !

Je hurle, je me débats et la pousse pour m'échapper. Au moment de sortir, la porte s'ouvre sur Alexandre avec un pistolet à la main et le pointe sur Cerise qui m'a rattrapée par les cheveux.

- Lâche-la de suite ! lui crie un autre homme quand je vois mon père apparaître et m'attraper dans ses bras.

Je tremble de tout mon corps, je pleure à chaudes larmes quand j'entends Cerise me narguer encore alors qu'elle est menottée et tenue de chaque côté par deux gardes du corps je suppose.

- Alors tu as aimé cette vidéo j'espère ? Tiens Tristan tu tombes bien. Ta Princesse a apparemment découvert une nouvelle facette de toi.

- Qu'est ce que tu as encore fait ?

_ Dégagez-moi cette femme d'ici ! hurle mon père.

Il m'assoit sur le lit et me demande de me calmer. Je vois Tristan s'approcher de moi et s'accroupir face à moi.

- Mon amour, parle-moi. Qu'est ce qu'elle t'a fait ?

Je le regarde mais n'arrive pas à lui répondre. Les images de la vidéo n'arrêtent pas de passer devant mes yeux. Je revois Tristan, Cerise et Bev, dans le même lit. Ce lit dans lequel il m'a fait l'amour hier. J'ai reconnu sa chambre, sa table de nuit avec cette lampe dont le pied est une moto. Je ne pouvais que la reconnaître... Je ferme les yeux, mais ça ne suffit pas. Je place alors mes mains sur mes yeux pour ne plus les voir. Je sens des bras m'entourer, me consoler, me caresser le dos.

- Calme-toi mon cœur, je suis là. Tu ne crains plus rien. Cerise a été arrêtée.

J'ouvre les yeux, écarte mes doigts mais quand je vois que c'est Tristan qui me tient dans ses bras, je me débats et me recule sur mon lit, jusqu'à toucher le mur.

- Mon cœur, me dit-il en s'approchant.

Je le stoppe en tendant mon bras plaçant ma main devant lui.

- La vidéo, arrivé-je à dire.

- Quelle vidéo ? me demande mon père en prenant le téléphone de Cerise.

- Non papa, pose, le, et laisse-moi avec Tristan.

- Mais...

- S'il te plaît, papa.

- D'accord, je vous laisse.

J'attends qu'il sorte et ferme la porte. Je regarde le téléphone de Cerise et l'attrape.

- Tristan. Mon téléphone, sous le lit. Éteins-le, lui dis-je froidement.

Il l'éteint puis me le tend.

- Tiens mon cœur.

Je le récupère et vérifie qu'il est bien éteint.

- Regarde qu'il n'y ait personne dans le couloir.

- Mais tu vas m'expliquer ce qu'il t'arrive.

- Tu le sauras bien assez tôt. Fais ce que te demande, réponds-je d'un air toujours aussi détaché.

Il sort de ma chambre, va dans le couloir puis reviens et ferme la porte.

- Il n'y a personne, dit-il en s'approchant de moi.

- Assieds-toi.

- Mais enfin mon cœur pourquoi es-tu aussi froide. Qu'est ce qu'elle a encore fait ou dit ?

Je lui tends le téléphone de Cerise et lui ordonne :

- Regarde la vidéo.

Tristan prend le téléphone, le débloque en tapant le code.

- Et en plus tu connais son code, dis-je ironiquement.

Il ne me répond pas, je le vois blêmir devant mes yeux en voyant l'image fixe sur laquelle la vidéo s'est arrêtée.

- Tu te reconnais ?

Silence.

Je m'avance vers lui et appuie sur l'écran pour relancer la vidéo. Il m'en empêche en arrêtant mon geste.

- Arrête mon cœur, me supplie-t-il.

- Oh non, tu vas toi aussi, voir ce spectacle comme moi j'ai été obligé de le regarder et de le subir. À part que tu la connaisses déjà ?

- Non, je te jure que je n'avais pas connaissance de cette vidéo.

- Ah donc, tu ne sais pas ce que tu y fais. Tu vas voir c'est très instructif.

Et j'appuie sur l'écran. La vidéo démarre et Tristan détourne les yeux.

- Oh non, c'est trop facile. Tu vas assumer ce que tu fais et qui tu es. Regarde et ose me dire que tu ne prends pas ton pied.

Son regard me broie le cœur, mais je n'arrive pas à arrêter la vidéo.

- Mon cœur, tu te tortures pour rien.

- Pour rien ?

- Non ce n'est pas dans ce sens-là, que je voulais le dire.

- Ah et tu voulais dire quoi alors ?

_ Tu le sais très bien.

- Non, tu sais bien que je suis qu'une idiote et que l'on doit tout m'expliquer. Alors dis-moi ? Qu'est ce qui n'est rien pour toi ? Le fait qu'elles se caressent devant toi ou bien la façon dont tu l'as baisée dans ton lit. Ou tu vas encore me dire que tout ça n'a aucune importance pour toi ? Ou que tu ne savais pas ce que tu faisais ? Hein, c'est quoi pour toi ?

Je le frappe à coups de poing sur le torse. Je pleure, je hurle, je crie de douleur, je craque complètement dans ses bras.

- Lâche toute ta colère mon cœur. Je suis là...

*******

Pensez-vous que soit une bonne idée que Tristan cède à Cerise ?

Est-ce que parler à son père est la bonne solution ?

Le détective privé va-t-il trouver quelque chose ?

Et si oui, il va trouver quoi ?

Cerise a encore frappé avec sa vidéo 😱

Et quelle vidéo... ⚠️♨️🔞

Comprenez-vous la réaction de Orphélia ?

Est-ce qu'elle va "encore" lui pardonner ?

*******

😘 Bisous les loulous 😘

❤ Kty ❤

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