🎆76🎆END🎇
✳Salem Aleykûm,✳Bonne lecture.✳The last part.✳
PARTIE 76
Moi : -en le repoussant- je.. Karim arrête.
Karim : quoi arrête ?!
Moi : c'est pas bien ce qu'on fait et pui-
Karim : quoi ?! C'est ton mari c'est ça ? Je pense pas que tu te serais posé au calme sur mes jambes si t'avais pas tourné la page avec Zakaria.
Moi : mmh...
Karim : on se fait vieux wesh, on va pas rester célib' toute notre vie.
Moi : oui m-
Karim : laisse moi faire.
[...]
O M N I S C I E N T
Lyna : -une larme coule- je vais te frapper.
Karim : vas-y ! T'es une pédette ou pas ?! Hein ?! Tu m'as donné un coup là ? On dirait une caresse, tape fort.
Lyna commença à frapper de toutes ses forces Karim comme il lui avait apprit, il lui apprenait à se battre, comme un homme car comme il le dit, "personne te touchera et si quelqu'un te touche et que je suis pas là, tu lui nique sa mère et son arbre généalogique, sa plante généalogique même !"
Lyna : j'ai mal aux bras.
Karim : je m'en fiche.
Lyna : tchiip.
Karim : ALLEZ ! Sinon je te donne pas ce que tu veux !
En effet, Karim savait depuis des années, qui était le tueur de Zakaria, il le savait, car il était présent, c'était un passant qui a tout vu, sans manquer une seule miette.
Lyna : ta gueule on dirait tu parle à une chienne, -en se jetant sur le canapé- je suis épuisée.
Moi : Yanis.
Lyna : hein ?
Moi : c'est Yanis qui l'a tué.
Lyna : lui ? C'est IM-PO-SSI-BLE.
Moi : et pourquoi ?
Lyna : bah c'est son jumeau et.. bah ça se peux pas.
Moi : ose verser une larme et tu te bats avec le garde, je rigole même pas et je te promets que c'est lui.
Lyna : mais...
Lyna est restée 1 heure, 2 heures sans parler, Karim croyait qu'elle était triste, mais non, en tout cas elle le montrait pas. Elle réfléchissait.
L Y N A
Karim m'a vraiment aidé à tourner la page, et a oublier.
___
Dans ma tête, j'étais comme ça :
J'ai réfléchie à tout, TOUT TOUT TOUT !
J'avais tout imaginé et franchement j'étais trop fière de moi.
Moi : KAAAARRRIMMMM !
Sa mère : CRIE PAS IMBÉCILE !
Moi : SMEH !
Karim : quoi ?
Sa mère l'a attrapé par derrière d'une façon, j'étais ko. Elle a commencé à le frapper avec le balai mais comme il esquivait, bah khelti était encore plus énervée.
Ah oui, j'allais oublier, sa mère m'hébergeait car d'après elle, "tu seras ma belle fille, mon fils va se marier avec toi. En plus t'es belle."
Moi: -fou rire-
Moi : je vais partir.
Karim : pardon ?
Moi : quoi ?
Karim : tu pars nul part !
Moi : pourquoi ?!
Karim : parce que wesh ! Je te l'ai dis pour que tu le sache pas pour que t'ailles foutre le zbeul !
Moi : parle correctement, t'as 29 ans.
Karim : m'en fou tu pars nul part, t'es une ouf toi !
Moi : wAllah je pars, viens si tu veux mais wAllah je pars.
Karim : -il me toise- tfou.
Moi : tu viens ou pas ? Je pars demain.
Karim : azy je viens. Je préviens la madre.
Moi : ouais.
[...]
On était sur le chemin, en direction de Bondy.
Karim : tu compte reprendre tes enfants ?
Moi : bien sûr ! Ils me manquent tellement...
Karim : je te les prendrais !
Moi : et pourquoi ?
Karim : bah pour les garder. Nan je rigole, les enfants m'insupportent, je déteste les enfants.
Moi : mais mes enfants tu les aime pas tu vire mon frère.
Karim : tu m'as frèrezoné mais bon on s'adapte. Brotherzone.
Moi : hein ?
Karim : rien rien. J'espère au mois ils sont bien éduqués !
Moi : mes enfants sont parfaits.
Karim : on verra ça.
Moi : oui, on verra. AHHH J'VAIS REVOIR MES ENFANTS WESSSSHHHH !
Je l'ai pris dans mes bras j'avais des vers dans les fesses j'étais trop contente.
Karim : calme ton cul on est même pas arrivés.
Moi : ta gueule.
[...]
Moi : tu toque, et tu cours, vite hein !
Karim : t'as mis ta lingerie ?
Moi : la meilleure que j'ai.
Karim : Déshabille toi devant lui ou embrasse le, touche le même, regarde le et wAllah j'te nique ta race. Et pourquoi c'est moi qui toque ?
Moi : Mais je te jure que je rigolais ! Je vais pas toucher sa porte, pas envie d'avoir le Sida.
Karim allait toquer, mais je le retiens.
Moi : attends !
Karim : quoi ?
Moi : c'est l'heure de la prière, viens on y va déjà.
Karim : azy prends les tapis dans la voiture. -bisou- petite poupée.
Il aime trop m'appeler comme ça, mon pote à la compote.
Moi : oui.
Je suis partie prendre les tapis, j'ai pris de l'eau, j'ai fais mes ablutions et on a priés. Nous sommes retournés devant la porte de *****.
Karim a toqué et s'est caché derrière la voiture, ***** a ouvert.
Tout allait marcher, comme sur des roulettes, il est trop con.
?! : oui ? Ah Lyna !
Moi : tu vas bien ?
***** : euhh ouais tu fous quoi ici ?!
Moi : bah rien, je voulais te voir. Tu me laisse entrer.
Je suis entrée, j'ai laissé tomber mon manteau par terre.
***** : tu fous quoi ?
Moi : t'es tout seul ?
***** : ouais. Tu veux que je te frappe c'est ça sale pute ?
Moi : mmh non. -en le poussant sur le canapé-
Je me suis assise sur lui, il fallait qu'il soit sur une chaise pour que ce soit plus simple pour moi.
Moi : bébé ?
***** : hmmm -en me faisant un bisou dans le cou-
Il me répugne. Juste sentir ses mains sur moi, me donne envie de vomir.
Je l'ai emmené sur une chaise de son salon, puis je me suis assise sur lui. Il a commencé à caresser mes cuisses j'ai donc stressée.
Je l'ai pris par le menton, et je l'ai embrassé sur la joue.
***** : t'es une vraie pute toi enfaite. -rire-
Il a commencé à m'embrasser, cela me répugnait, puis quand le moment fut venu, je lui ai dit :
Moi : récite la chahada.
***** : hein ?
Moi : t'as 5 secondes.
Il l'a fait puis je l'ai embrassé, embrassé jusqu'à ce qu'il prenne ses aises, j'ai léchée mon poing très lentement pendant qu'il descendait sa braguette tout en ayant une main qui caressait mes fesses. Je lui ai donné un magnifique coup de poing et j'ai sorti mon couteau de ma cuisse, je lui ai planté le couteau à ma gauche, je lui ai bien enfoncé afin qu'il meurt. Sa mort était genre, trop sexy. En plus, mourir à mes côtés, il a de la chance le mec hein.
Moi : bisous *****. Tu rejoins Zakaria.
Je me suis levée de lui, et je suis partie.
Moi : Karim j'ai réussi !
Karim : -en me prenant par le bras- il est où son corps ? T'étais pas censé l'évanouir et l'enfermer dans une cave ?
Moi : bah... euh... hihi -grand sourire-
Karim : me dit pas que tu l'as tué ?
Moi : euh... bah... si.
Karim : T'ES SÉRIEUSE ?! MAIS T'ES MALADE OU QUOI DANS TON PAUV' CRÂNE ?
Moi : Mais c'est bon, c'est trop tard.
Karim : eh vas-y rentre toute seule. Viens pas me parler.
Moi : mais... Karim je...
J'ai pas pu finir ma phrase qu'il parti avec ma voiture. Nan mais je rêve. J'ai du prendre le bus. Mon jean il était trop serré, j'étais pas à l'aise en plus.
Tu vois Zakaria, je t'ai vengé.
J'ai su tourné la page, et meilleure amie avec Karim et ça continuera.... Si il me pardonne.
Je me sentais pas mal d'avoir tué quelqu'un, mais c'était étrange... Comme si, je sais pas enfaite, mais c'est une sensation bizarre, ma tête elle était vide genre.
Je suis arrivée chez moi, ou Karim logeait aussi, je me cachait de Driss et Younes, j'avais genre, trop peur d'aller les voir.
Mais bon, ma vie est un résumé de la malchance.
?! : Lyna ?!
Je me suis retournée, c'était Safa, avec un petit.
Moi : AHHHHH SAFAAAA J'SUIS TROP CONTENNTE !
Je me suis jetée dans ses bras, mais elle m'a repoussé. Quel bail ça.
Moi : qu'est ce qu'il y a ?
Safa : tu nous a tous abandonnées, t'es qu'une traitresse. T'as pas pensé à nous en partant. Tu sais quoi, je m'en fiche de toi, tu compte plus pour moi ! T'es partie, en laissant tout le quartier et les 2 quartiers voisins tristes de ton départ précipité.
Le petit : maman c'est qui ?
Moi : mais qu'est ce que tu dis ?
Safa : va voir papa N'amour ! Et toi n'ose plus m'adresser la parole, ingrate. J'ai toujours été là pour toi et tu m'as trahi.
Moi : mais nimpo-
Safa : tais toi !
J'ai baissé les yeux vers son ventre qui était bien arrondi.
Moi : t..t'es enceinte ?
Safa : ne me parle pas !
Moi : tu veux pas entendre la vérité, c'est ton pro-
Safa : ne me parle pas.
Moi : bonne continuation.
Je me suis retournée, et je suis rentrée à la maison où Karim m'ignorait.
Moi : tu comptes faire le gamin longtemps ?
Karim : donc te reprocher d'avoir tuer quelqu'un c'est faire le gamin ?
Moi : bien sûr. Tu savais très bien mes intentions et tu m'as accompagné.
Karim : je te pensais pas capable de faire ça.
Moi : bah je l'ai fait.
Karim : si tu m'aimais un minimum t'aurai pas fait ça.
Moi : tu confonds tout. Il y a aucun rapport.
Karim : si, tu te serais dis que ça me rendrait mal que t'ai ôté la vie de quelqu'un.
Moi : ...
Karim : je vais me laver.
[...]
2 mois et demi étaient passés et Karim me faisait la gueule. Il ne me parlait plus du tout du tout. Y'avais un froid pas possible dans la maison, c'était genre archi pesant.
J'allais partir me laver, mais ça sonne à la porte. Je vais ouvrir, et je vois
Rachid,
avec
mes
5
enfants.
Moi : AHHHHHH ! PUTAIN !
Je me suis mise à pleurer, je les ai tous pris dans mes bras, même Rachid. Comment il savait que j'étais ici ?
Moi : merci merci merci !
Rachid : t'as changéeeee !
Moi : -rire- KARIIIIIMMMM !
Karim : TU VEUX QUOI ?!
Moi : TA GUEULE ET VIENS.
Assia : t'es maman ?
Moi : oui mon cœur !
Zûhir : ah oui ? Mais on m'a dit que j'avais pas de maman !
Yûnus : Ma...Maman ?
Je l'ai regardé, et je le vois les yeux fermés en train de me chercher des mains. Il eest aveugle ? M..Mon bébé est aveugle ?
Ils ont tous sautés dans mes bras, Yûnus grâce à l'aide de sa soeur. Les jumelles elles, étaient en retrait et me regardait avec leur tétine dans leur bouche.
Assia : Sabah, Waliya venez ! C'est maman !
Elles se sont approchées timidement de moi, puis sont venus me faire un câlin.
Karim : c'est les enfants ?
Moi : oui. -sourire-
Rachid : tu devrais remercier Karim, c'est lui qui a envoyé quelqu'un les chercher.
Moi : ah oui ?
Karim : ouais.
Moi : merci mon gros.
Karim : -rire- ta gueule.
Rachid : bon j'y vais.
Moi : merci Rachid !
Rachid : au calme ! Azy selem !
Il est parti en faisant coucou aux petits, je faisais que sauter partout j'étais trop contente !
Moi : t'as vraiment fait ça ?
Karim : -oui de la tête-
Moi : -je me jette sur lui- merci merci merciiiii !
Karim : -il met sa main dans mes cheveux- t'inquiète ma grosse.
Moi : -pleurs- mon fils est aveugle...
Karim : c..C'est pas ça qui compte bébé. Ce qui compte c'est que tu les ai près de toi.
Moi : hmm...
J'ai pris les enfants, et on est partis manger au restaurant, tous ensemble.
Yûnus : m..maman ?
Moi : oui mon fils ?
Yûnus : pourquoi papa il a changé de voix ?
Karim : parce que je suis un nouveau papa.
Yûnus : -en touchant le visage de Karim- et pourquoi il a moins de barbe ? Et un plus petit nez, et lui ces joues elles sont toutes douces, alors que papa ces joues elles piquent.
Karim : -il le porte sur ces cuisses- tu sais, ton papa, eh bah Dieu l'a pris avec lui. Dieu a décidé qu'il ne doit plus être dans ce monde, donc il est parti dans un monde magique, et quand tu seras vieux, toi aussi tu ira dans un monde magique, et tu sera avec ton papa ! Mais pour l'instant, tu es avec moi, ton nouveau papa.
Yûnus : et c'est comment le monde magique ?
Karim : il y a deux monde magique, le mauvais, et le bon. Ton papa lui il est dans le bon monde magique ! Il se repose là-bas.
Yûnus : mon papa il était trop gentil ! Il nous achetait pleins de cadeaux et il jouait avec moi. Toi aussi tu joueras avec nous ?
Karim : oui, si tu veux. On jouera aux cars.
Yûnus : je suis trop grand pour jouer aux cars ! Je suis grand et fort moi !
Karim : -rire-
J'étais un peu triste, mon fils est aveugle, j'étais dans mes pensées.
J'étais un peu triste, mon fils est aveugle, j'étais dans mes pensées.
[...]
Assia : eh bah Karim, pourquoi tu te marie pas avec maman, comme ça, maman sera encore plus contente ! Et nous on aura un papa vu que notre papa il est parti au monde magique.
Karim : c'est pas comme ça que ça se passe. -rire-
Sabah : mais si ! Moi je vais faire un gâteau au chocolat, après maman elle met sa robe, la bleu même tu l'as essayé -rire- et après, je vais faire la dame qui dit que vous êtes mariés !
Moi : c'est pas comme ça les mariages Sabah.
Waliya : papaaa ?
Karim : -en la portant- qu'est ce qu'il y a princesse ?
Waliya : tu me fais prendre mon bain ?
Karim : euh vas-y, si tu veux !
Ils sont montés
Je suis sortie avec les triplés et Sabah, aller acheter des bonbons.
Au retour, j'ai croisé Younes avec deux enfants, il ne m'avait pas vu, je l'ai regardé un long moment, il avait embelit et était trop beau, encore plus qu'avant !
Younes senti sûrement mon regard appuyé sur lui et se retourna. Il me vit, et fronça les sourcils en venant vers moi. Ça sent vraiment les belles retrouvailles.
Younes : -en partant- bon vas-y je vois flou c'est même pas elle...
Moi : ATTENDS ! YOUNES !
Il s'est retourné et étant à présent à quelques centimètres de moi. Il me prit dans ses bras.
Younes : Sale conne, t'étais où ma vache ?
Safa passa avec deux femmes qui devaient être ses amis, elle me regardait avec un regard noir, elle dit quelque chose à ses amis, puis les trois rigolent.
Younes : EH T'ES REVENU WEEEESSSSHHH ! AYMAN SELIM !
Les deux garçons se rapproche.
Younes : c'est mes enfants, les 2 autres ils sont à la maison.
Je leur ai chacun fait un bisou.
Moi : Ayman, comme Ayman Serhani.
C'est un chanteur.
Ayman : maman elle écoute tout le temps ! Eh tu t'appelle comment ?
Assia : Assia.
Ayman : t'as vu nos deux prénoms commencent par A, et A comme Amour, c'est un signe du destin. Tu veux être ma femme ?
Assia : si t'es plus petit non. Moi j'ai 7 ans.
Ayman : moi aussi.
Assia : d'accord alors !
Yûnus : personnes touche à mes femmes ! Mes soeurs, c'est mes femmes. Elles sont déjà mariées.
Assia : t'es jaloueuhh !
Yûnus : ta bouche toi !
Selim : pourquoi tes yeux sont fermés ?
Yûnus : pour pas voir ta mouchetée.
Moi : YÛNUS !
Yûnus : je rigole, c'est bon maman !
[..]
Yûnus : -en touchant mon visage- ta peau est douuuce ! T'as les yeux quelle couleur ?
Moi : marrons.
Yûnus : je dois rejoindre papa, je vois rien du tout, je sers à rien... Il faut que j'aille avec papa.
Moi : mais non mon bébé.
J'hésitais, à voir avec un docteur, si je pouvais lui donner mes yeux. Certes c'est une décision de derniere minute, mais j'ai tellement envie que mon fils puisse voir...
Moi : tu sers pas à rien, c'est pas grave si tu ne vois rien. Un jour tu verras, je te le promets.
Yûnus : c'est faux. Je verrais jamais.
Moi : je te le promets.
Yûnus : ah oui ?
Moi : oui.
Yûnus : câlin maman ?
Moi : -câlin-
[...]
Moi : -pleurs- oui.
Karim me mis la bague au doigt, et me fit un câlin sous les applaudissements des spectateurs.
À vrai dire, j'en étais pas sûr de me marier, mais je sais qu'il me rendra heureuse. Non ?
O M N I S C I E N T
Des années sont passées, et la petite famille a reçu un cadeau, un 6 ème enfant. Un garçon. Qui s'appelle Salah.
Lyna : WOULD HMAR ! METS UN MANTEAU !
Assia : mais maman ! Il fait 39°C !
Moi : et alors ! Kedeb ! Pars en cours hmara ! Dis à ton CPE oula directeur que je viens pas à son rendez-vous.
Zûhir : selem mama !
Moi : repeat after me "SE-LEM A-LEY-KÛM" pas selem hmar.
Zûhir : olalalaaa Selem aleykûm ! Ton vieux accent !
Moi : c'est pas aux singes que tu vas apprendre à faire faire des grimaces, wa aleykûm salam ! Allez vous serez en retard et votre père vous attends dans la voiture.
Moi : Yûnus tu viens ? Ta professeur est malade aujourd'hui !
Yûnus : yes !
Moi : yes ? Guelek "yes !"
Yûnus : -rire-
Moi : tu viens m'aider à faire le gâteau ?
Yûnus : oui, tu m'aide à aller dans la salle de bain s'il te plaît ? C'est l'heure de prier.
Moi : oui mon bébé.
Yûnus : mamaaa ! J'suis pas un bébé !
Moi : si t'es mon bébé !
Yûnus : n-
Moi : ta gueule.
Yûnus : toujours tu me hagar.
Il est parti prier après cette mini hagra.
Yûnus : mama tu m'aimes quand même genre... même si j'suis aveugle ?
Moi : mais oui wouldi je t'aime quand même ! Je t'aime beaucoup beaucoup !
Yûnus : mmh ouais...
Moi : -bisou- allez, tu viens manger ?
Yûnus : ouais, on mange quoi ?
Moi : y'a des bananes plantins avec salade composé. Tu veux manger maintenant wouldi ?
Yûnus : nan après.
Moi : ok, viens on sors dehors ? Quand ton pète il revient ?
Yûnus : où ?
Moi : je sais pas, on sort un peu ça m'a soûlé de rester à la maison.
?! : JE SUIS LÀÀÀÀÀÀ !
Moi : TA BOUCHE TOI CRIES PAS !
Yûnus : ANNNNHHH MAMA ELLE TE HAGAR BABA !
Karim : MOI ON ME HAGAR ?
Karim est venu en courant vers moi, et m'a porté en sac à patate, il a fait de même à Yûnus.
Yûnus : BABA WESH J'AI PAS 5 ANNNS !
Karim : IMBÉCON TU CRIES SUR QUI ?
Yûnus : le mur hihi. Heureusement je vois pas, tu dois être moche comme du caca là !
Karim : J'suis trop beau moi ! J'suis magnifayyyque hyn hbiba ?
Moi : non t'es vraiment moche !
Yûnus : ishhhh.
Karim : t'as cru te tais fianso ou bien ?
Yûnus : baba lâche moi je vais tombeeeeeer.
Karim : venez on sort ?
Moi : je vais habiller Salah, c'est pas mieux qu'on sorte avec tous les enfants ?
Yûnus : naaan, après tu vas me boycotter !
Moi : t'es jaloux ? -rire-
Yûnus : m'ouais.
Karim : il le dit dans le plus grand des calmes en plus. Clairement genre. -rire-
Yûnus : non je le dis foncément.
Karim : ta gueule, vraiment !
La famille fut combler de bonheur.
À ses 15 ans, voici ce qui se passa pour Yûnus.
Yûnus : MAMAAANNN !
Moi : QUOI HMAR !
Yûnus : MAMAN MAMAN ! VIENS VIENS !
Je l'ai rejoins en vitesse. J'ai eu peur !
Moi : qu'est ce qu'il y a ?
Yûnus : MAMAN JE TE VOIS ! JE TE VOIS ! JE TE VOIS ! T'ES TROP BELLE !
Moi : KARIIIIIIIMMMMMM !
Karim : Pourquoi vous g- pourquoi il ouvre les yeux ?
Yûnus : JE TE VOIS ! JE VOIS DES CHOSES AUTRE QUE DU NOIR ! TU VOIS WALLAH LES DUAAS ÇA MARCHE J'ÉTAIS EN TRAIN DE DEMANDER À ALLAH DE ME REDONNER LA VUE ! AYAAAA !
Il a pleuré comme un bébé avec moi, et Karim regardait intensément Yûnus, avec un sourire en coin.
Yûnus : -il touche mon visage- t'es beeelle yemma !
Moi : -sourire-
Yûnus : pareil baba, putain une vraie famille de bg.
Il regardait ses mains, puis s'est regardé dans le miroir avec un grand sourire.
Yûnus : j'veux aller chercher les autres. J'suis grave bg en sah.
Il s'est retourné vers nous, et nous a regardé.
Yûnus : quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça ?
Moi : -sourire- je t'aime mon fils.
Karim : c'est henouuuune tout ça ! Azy pour la peine, on sors ce soir. Et avant que tu parles "gneugneu les enfants ont école demain" wAllah on part en vacances, on part à... venez on part en Espagne, y'a Younes et tout là bas !
Moi : imbécile !
[...]
La famille Al-Jann, vit parfaitement bien, tout va pour le mieux, tout le monde est content. La vie simple mais magnifique.
C'est là que s'arrête l'histoire de Lyna.
AVIS :
1. Avez vous aimer cette chronique ?
2. L'avez vous trouver trop longue ? (Répondez à cette question svppp)
3. Qu'attendez vous de moi si je poste une nouvelle histoire ?
4. Sur quoi dois-je m'améliorer ?
5. Kiss
_
_________________
Ça a été un plaisir d'écrire cette histoire avec vous.
Vous avez été des amours en commentaires. Un grand merci ❤❤.
Go la réécriture puis vous me retrouverez dans mes autres histoires.🎀
TaDzGlsnQui vous aime.
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