"Désolé mais c'est non,annonça Edmund

-Mais pourquoi ? demanda-t-elle

-Eh bien,attendait un peu,histoire de ....,dit-il en hésitant

-De quoi ? Répéta Miss Lovett avec une légère nuance d'impatience

-Je pense que vous n'êtes tous simplement pas prête pour ça,déclara Edmund

-J'en ai vraiment plus qu'assez de vos mensonges à tous vos fausses promesses

-Voilà ! c'est ce que j'attendais depuis longtemps, dit-il soulagé

-Quoi ?!

-Enfin vous vous libérait, faudrait faire ça plus souvent ! Bon, allons-nous mangés, je vous trouve affamée, mais par contre, vous ne pouvez pas refuser car .... c'est.... moi qui paye ! dit-il comme un éclair de géni

-D'accord mais c'est quoi cette histoire de dire bonjour ? 

-Je connais une superbe taverne qui ont des pintes énormes à des prix petits, comme votre voix, chuchote-il

-*Soupir* si il s'avait que je l'entendais "

Une fois arrivés au Pub, le tueur et la douceur incarnée prirent une table bien éloignés du bruit et de la clientèle déjà ivre, dans le but de discuter de tout mais surtout de n'importe quoi. Les deux se mirent à discuter lorsque l'attention d'Edmund se porta sur une bouteille," à boire !!!". Il prit soudain la commande de deux pintes de bière et continua d'écouter les douces paroles de Miss Lovett, il admira son visage, ses traits, son teint et ses yeux magnifiques, puis fût arraché de ses pensées par l'arrivé des bières. Sauf qu'à ce moments, la serveuse fut agressée  par deux hommes ivres, et c'est sans peines que la mains d'Edmund trembla, proportionnellement au danger que courrait la serveuse. Dans un élan d'énervement qu'il marcha vers les deux hommes ivres mais dés lors, il tenta d'en pousser un mais il fut pris d'une peur soudaine, en effet, le visage de la servante lui semblait se décomposer et fondre tandis qu'elle poussait un rire démoniaque. Cette hallucination faible se finit grâce à un des deux poivrot qui le bouscula en l'insultant, prit d'une rage frénétique, il prit un tesson et menaça celui sur la fille : " lâche là, si tu veux pas que ton intestin soit ouvert!!". Une fois les pintes servis, notre tueur retourna à sa place, s'affalant sur son siège rude en bois, et pris une serviette pour se tamponner le front des perles de sueur apparentes, comme s'il avait couru. Il resta silencieux et calme tandis que Miss Lovett continua de parler sans s'arrêter, soudain, elle remarqua la pâleur d'Edmund. Elle lui demanda ce qui n'allait pas mais il lui fit signe que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Une fois de plus, elle afficha un ton monotone, triste et déprimé, il lui demanda :

"-Hoo dear, tell me why're you so sad ?

-Je.... humm.... ils m'ont, à peine eut elle finit sa phrase que Edmund répondit

-QUI ILS ?

- Les policiers qui m'ont interrogée, dit-elle avec un début de sanglot

- How, et pourquoi, redemanda-t-il d'un ton étrangement calme et serein  

- Parce que c'est votre stupide lettre qui les ont conduit à moi, répond-elle

-Ho ! Eh bien, je n'y avais pas pensé, dit-il en riant

- Bon, de quoi voulez-vous parler ? en entamant sa bière

- Je ne sais pas grand chose quant à votre passé, j'aimerais l'entendre s'il vous plaît, prenant un air contemplatif

-Humm, eh bien, euh, quand j'était petite, je n'était pas apprécié par mes parents de mes parents, j'était née en retard, ils en ont conclue que j'était bonne à rien. Ne me trouvant aucune utilité, ils m'enfermèrent dans la cave et m'ont fait faire des tâches ingrates, tandis que ma sœur qui voulait m'aider se faisaient punir si elle le faisait, elle avait des cadeaux, moi, je restais dans la poussière et l'obscurité, mais après tout, je l'ai mérité, dit-elle avec un grand sourire, cachant sa misère

-Pourtant, c'est faux, vous avez loupé la chose, ou la leçon la plus importante : Tout problème peut être résolue en l'annihilant. Déclara-t-il en souriant"

Une fois sortie dehors, Edmund fut pris des mêmes tremblements que dans le bar, il respira profondément et réussi à se calmer, mais c'est là que plusieurs ivrognes tentèrent de les détrousser, Edmund perdit son sang froid et commença à dégainé son couteau pour se déchaîné sur les trois ivrognes tandis que le quatrième assisté à la scène, lorsque les trois fut mort, le dernier fut agrippé par notre sanguinaire et cria de moins fort aux vue des nombreux qu'il ressue, elle fut choquée de voir un sourire malsains se dessiner sur le visage d'Edmund. Une fois finit, il leva la tête, relevant ses long cheveux en bazar, riant puis, les mains emplies de sang, se frotta le visage et regarda Miss Lovett :

"Alors.... vous voyez ?..... c'est en éradiquant le problème...... que tout finit..... BIEN, dit-il avec une voix roque voir démoniaque, Voyez ma folie, prenez là, tendant son bras sanguinolent"

Elle fut pris de spasmes, de tremblement et de vertige lorsqu'elle vit le visage défigurée, les points et le visage ensanglantés d'Edmund. Cette scène est comme le pacte, le démon tend la mains à l'innocence pure

"- Le meurtre, ce n'est pas de la violence, pas de la haine mais une forme d'expression, une façon de se libérer, de toute cette misère sociale, de ... de .... ces putains de fléaux !!!!! HA HA HA HA HA HA AH AH AH, hurla-t-il, semblable à un démon, avec un regard pénétrant l'âme, traumatisant"

Miss Lovett paniquais, l'homme ou plutôt le démon qu'elle avait en face de lui n'était plus le même, ce n'est là plus la personne sympathique et compréhensif mais un abominable monstre, incarnation de la violence. Elle fut si horrifiée qu'elle avait l'impression d'être paralysée par Edmund, que la lumière était braquée sur lui et que le fond était aspiré comme un trou noir. Il ne restait que lui, le monstre paralysant, qui la fixait avec sa main sanguinolent tendu, il lui dit d'une sortie d'outre tombe : " Viens.... n'aie pas peur.... je t'assure que..... tu peux me faire confiance..... si tu le fais..... je t'aiderai à tuer tes parents.....il te suffit de me serrer la main....et tu seras enfin LIBRE "

Elle ne pouvait résister à l'envie de se venger mais son bon sens lui en empêchait, elle tendit son bras vers la main alors qu'elle peinait à bougeait sa main et s'avançait. Mais c'est alors qu'il fit un mouvement en s'avançant vers elle, pris son bras et l'enlaça, comme pour la retenir, et c'est là que Miss Lovett commença à suffoquer, il n'était pas en train de lui faire un câlin mais de l'étouffer " Tu vois, le meurtre, c'est pas de la violence, c'est de la peur, la peur qu'on transmet aux autres, comme pour montrer qu'on existe, que personne est innocent, tout le monde est coupable, c'est ça le meurtre : voir la peur dans les yeux des gens !!". C'est dés lors que l'ange innocent se transforma en succube, la corruption de notre monstre Edmund prit vie, elle était changée. Mais cette transformation fut de courte durée car un enfant un peu trop bruyant se fit remarqué: "Leçon numéro une pour un meurtre, aucun témoin" et c'est alors qu'il sortit un pistolet et tira sur le pied du garçon qui hurla de tout son être, son pied baignant dans la mare de sang. Alors que Edmund avançait vers le gamin, pistolet à la main et sourire aux lèvres, il pouvait voir le regard terrifié du petit. Edmund s'arrêta et se retourna en disant: "Voit comme il a peur, voit comme il tremble, c'est pas magnifique ? hein ? HEIN ? dit-il en s'énervant de sa voix roque, alors pourquoi t'essaye pas, allez viens !!" elle se rapprocha et pris le pistolet d'Edmund, la poignée collé d'un sang caillée, il empestait le sang et surtout, un sentiment l'envahissait, elle avait l'impression de vouer un haine sans relâche au pauvre garçon. Elle commença à visait le garçon, elle tremblait comme si elle avait Parkinson, elle paniquait, chose qu'Edmund compris, il se rapprocha, se mit derrière elle et tenu fermement ses mains, puis lui murmura "Tire". Elle était piégée, elle ne savait pas quoi faire, elle ne pouvait rivaliser avec Edmund et était obligée de tirer sur le garçon, pendant ce temps, lui supplié la jeune femme de ne pas tirer mais la mort n'échappe à personne. Voyant que Miss Lovett tentait de fermer les yeux, il donna un coup de genou dans l'arrière de celui de Miss Lovett et le ponta le pistolet sur la tête "Sache une chose, tôt ou tard, tu tuera, avec ou sans moi " C'est à ce moment qu'elle prit conscience du danger, même si elle s'en allait , elle n'échapperais pas à Edmund, elle se remis debout, attrapa le pistolet, Edmund se reculant, et tira d'un coup sec sur le front du jeune garçon. Pour elle, un blanc apparue lorsqu'elle pressa la détente comme à l'interrogatoire, tout paraissait noir, mais un sentiment de bien être l'envahissait, ce sentiment, ce bonheur soudain, c'est la libération dont parlait Edmund, c'est la Folie. La Folie la gagnait petit à petit, elle rigola soudainement, comme une sorcière, elle sombra dans la Folie avec Edmund. Tandis qu'elle reprit ses esprits, Edmund cacha le corps du gamin.

"- Alors, qu'est ce que ça fait ?demanda-t-il d'un ton calme

-Ca fait du bien hhh, dit-elle en respirant bruyamment

- J'ai toujours du raison, croyez moi

-J'ai une simple question, ah ah, fit-elle en respirant

- Qui a t-il ? en jetant le cadavre du gosse dans une poubelle

- Quand est-ce qu'on recommence ??