Je ne me suis jamais plaint de ma vie en général, je suis plutôt chanceuse, en dehors des règles strictes de mes parents la vie était plutôt facile, je ne vais pas dire qu'elle était "facile" facile, mais au moins j'avais un toit et des parents qui m'aime.

Mais quand je suis rentré ce soir là, après ma discussion avec l'homme du café, j'étais emplit de doutes. Il m'avait affirmé que Fraise et moi étions des demi-dieux, et que nous étions en danger. Je lui aurais rit au nez si les chose avait été différentes mais les derniers évènements prouvés ce que je n'avais jamais voulus croire: il y a quelques chose qui cloche dans ma vie.

Cependant il est impossible que mon père ou ma mère soit des dieux, et jamais ils n'auraient trompé l'autre, le grand amour existe toujours !  Mais si c'est impossible que l'un d'eux soit l'un de mes parents biologiques, ça voudrait dire que je suis ...

Non.

Je refuse d'y pensé, il doit bien y avoir une autre solution ! 

J'ai encore du temps avant que mes parents ne rentre à la maison, je ne pense pas que je trouverais quoi que ce soit mais il fallait que je cherche, pour me rassuré. Après tout qu'es ce que je risqué de trouvé en fouillant dans les papiers personnel de mes parents ? Trouvé qu'on est endetté, un héritage d'une lointaine cousine, une deuxième maison, découvrir qu'on est de la même famille qu'un roi ? Je sais pas moi !
Il fallait que je trouve mon carnet de santé ou au moins mon carnet de familles mais je sais pas où ils sont c'est trucs ! Ils sont surement dans le bureau, on range tout là, la grande armoire près de la fenêtre ou celle près de l'entrée ? Quelle étagère ? Oh ! j'ai trouvés des carnet, carnet de santé, ce n'est pas mon nom, qui est-ce ?

"Mélanie Walker, née le 16 juillet 2002; j'ai ouvert le carnet, rongé par la curiosité; j'ai pas de soeur, alors qui est tu ?" le nom de mes parents étaient bel et bien inscrit dans les bonne cases, elle aurait eu 18 ans l'été dernier mais quelque chose me disais qu'elle ne les avait pas fêté, qu'elle n'avait pas fêté son anniversaire depuis longtemps. Ces dernier vaccins avaient étaient effectué a ses douze ans et peu après les page devenaient vierge. Que lui était il arrivé ?

J'ai regardé la photo de l'adorable bambin puis j'ai reposé le carnet, tout en haut de l'armoire il y avait une gros carton, je suis partis récupéré un escabot et je suis monté en haut, je ne sais pas ce a quoi je m'attendais mais en tout cas pas un carton marqué "Ne pas ouvrir" au marqueur rouge  ne figuré pas en haut de ma liste. Heureusement pour moi le carton n'était plus scotché et je pus jetais un coup d'œil a l'intérieur, il y avait un classeur bleu et un rouge, un sac en plastic vert, des cadre et un plus petit carton remplit d'objet en tout genre. J'ai prit un petit miroir de main parmi tout le bazard et je me regardais, j'avais toujours haïs mon visage, et en règle générale mon corps, me voir dans ce vieux miroir taché me surpris tant cela faisais longtemps que je ne m'étais pas vus de l'extérieur, je l'ai reposé doucement et j'ai prit une petite bougie et le regardait, elle n'avait jamais servit et une copieuse couche de poussière recouvrait la cire rendant impossible l'identification de l'odeur qu'elle aurait pu sentir il y a bien longtemps, je l'ai a son tour reposé et empoigné un classeur, le rouge, ma couleur préféré.

Je l'ai ouvert avec peur, je n'étais pas sûr de vouloir savoir au final, si j'étais adopté mes parents me l'auraient dit, non. J'ai failli lâcher le classeur, sur la première page était écris "Dossier Marie et Tomas Walker" dossier sur quoi ? Si leurs deux noms étaient marqué alors ça pouvais me concerné, j'ai vivement feuilleté les pages qui parlaient de choses que je ne comprenais pas jusqu'à atteindre un nouvel intercalère : "Concernant demande d'adoption d'un enfant en dessous de 36 mois", voilà, on y était, faites vos paris, 3...2...1...

C'est moi, c'est moi l'enfant de moins de 36 mois, moi...
moi...
moi
m
o
i

La porte s'est fermé derrière moi, cela ma tiré de mon choc, je suis descendu de l'escabot le classeur dans mes bras, mes parents venaient de rentrer. Bonjour papa, bonjour maman, ces mots ne passèrent pas mes lèvre, a la place je leur ai tendu le classeur et d'un ton accusateur j'ai dit:

"Je pense que j'avais le droit de savoir, ça aurait éviter que je l'apprenne par un inconnu. j'ai posé le classeur sur la table a manger et je me suis enfermé dans ma chambre.

C'est maintenant ou jamais me suis je dis avant de prendre mon sac de cours et de le vidé sur le sol, j'avais besoins d'habits, d'une trousse de toilette et de quelque chose pour me défendre, tous devaient rentré soit rien ne rentrait du tout. Le destin voulu qu'une fois tous a l'intérieur il y ai toujours de la place pour autre chose. J'ai pris un livre sur une de mes étagère, j'ai faillit ne pas y prêté attention car je n'aime pas vraiment lire et que de toute façon c'est très dur pour moi de le faire mais au final je jetais un coup d'œil a la couverture, c'était un livre de mythologie, un des nombreux que je posséder, il était assez épais et j'ai faillit le reposé avant de me souvenir que j'étais sensé être demi-dieu ou déesse, le garçon qui nous avait parler était un fils de Arès, si c'était lui qui était venu nous prévenir c'est que je devais être relié aux dieux grec, j'ai donc pris le livre, il faisait le résumé des dieux les plus important de plusieurs panthéons dont celui des grecque mais aussi celui des égyptiens et des nordiques.

J'ai passer mon sac sur mon épaule, j'ai enfilé une casquette un sweat a capuche et je me suis enfui par ma fenêtre (relaxe, j'habite au rez-de-chaussée) j'ai mis des lunettes de soleil vu que de toute façon il faisait toujours jour et je suis repartit en direction du café où le garçon nous avait parler, je savais que j'y retrouverais Fraise, en tout cas je l'espérais.
Je voulais avoir autre chose en tête que mes récente découverte, pas d'adoption, pas de sœur disparu, pas de monstres, pas d'inconnu étrange. A côté du café résidait la bibliothèque, alors j'y suis aller et j'ai pris des bouquin de mythologie avant de m'installer près de la fenêtre pour surveillé les gens du café. Peut être que j'en apprendrait plus en faisant des recherches.