1. Je déclare la guerre a mon prof de maths

Je m'appelle Charlie Walker, et ma vie n'est pas ce qu'on qualifierait de banale, du moins par les gens normaux. Je suis ce qu'on appelle un enfant a problèmes, j'ai fini beaucoup trop de fois en colle ou chez le proviseur pour les compter : insolence, désobéissance, ne suit pas les cours, dessine en classe, fabrique une catapulte avec son matériel, se bat devant l'établissement, et ça ce ne sont que les motifs marqué, je me suis fais viré cinq fois d'école depuis mon CE1. 

J'ai une aversion toute particulière pour les sorties et les voyages scolaires qui se finissent toujours de la pire façon qui soit. Pour n'en citer que quelque uns, en CM2 je suis aller au musée d'histoire naturelle avec ma classe et disons que la boutique souvenir a pris feu sans raison, en 6ème je suis allé en voyage scolaire en Italie, parmi tout les trucs chelou qui me sont arrivé il y a un homme avec un seul œil au milieu du front qui ma demandé du feu pour sa clope, un chat qui m'a insulté et une statue de cuivre qui m'a tapé la cosette. Sur le trajet retour des flics on arrêté notre bus et l'ont fouillé a la recherche d'un garçon qui avait fugué, j'ai pas eu le temps de les prévenir, je venais de voir le garçon de la photo qu'ils trimbalaient sortir de je ne sais où et braqué leur caisse.

Pour tout vous dire au point où j'en suis, j'ai même peur d'aller au chiotte !

N'oublions pas aussi ma dyslexie sévère et mon incapacité a resté tranquille plus de 25 minutes tranquille et vous avez le parfait mauvais élève. Je vais pas vous mentir, je repense souvent au garçon que les policiers cherchaient et plus j'y pense plus je me dis que je pourrai très bien finir comme lui, avec encore plus de malchance, et mes parents qui continue a me foutre la pression. Je sais que je suis pas l'enfant rêvé mais quand même ! Je veux me barrer loin, très loin !

Me père m'a déposé devant le collège et me souhaita une bonne journée, d'une voix monotone, je lui répondis avec le même enthousiasme avant de descendre de la voiture et de claqué la porte. En y repensant j'ai l'air banale pour quelqu'un qui cause autant de problème, cheveux châtains, yeux noisette (vous savez, les yeux magique qui change entre marron et vert, la seule chose chelou chez moi), je m'habille normalement : pas de chemise a fleurs ni de couleur extravagantes, même si a choisir je préféré les couleur au gris et noir que je porte été comme hiver, basket et sweat a capuche, voilà, à part ma taille, je suis la plus grande de ma classe en étant la plus jeune, seul mes actions trahissent ma vrai personne. On était a la mi novembre mais il ne faisait pas encore assez froid pour que les garçon troque leur shorte et débardeur de sport pour une tenue plus adapté a la saison, je ne vais pas me cacher mais moi aussi je trouvé qu'il faisait toujours bon. J'ai rejoins mes amis et ça a sonner, dommage, j'aurais bien discuté avec elles.

Plus tard dans la semaine il aller y avoir un tournois de basket et bien sûr on était tous obligé d'y aller. Pour une raison qui m'échappe Elize et Ladda, mes amies, avaient tenu a participer au tournois, alors qu'elles n'aiment même pas le basket. Elize et Ladda sont des opposées l'une de l'autre, Elize est petite et trapus tandis que Ladda est grande et mince, l'une est blonde au yeux bleu, l'autre est brune au yeux vert foncé.

Il ne me restait plus qu'a me faire des amis pour ne pas m'ennuyer pendant toute une journée.

Pour une fois je resté silencieuse et me concentré sur le cours, avec ce prof c'était quitte ou double, soit je me prenais une remarque de salaud quand je sortirais du cours soit je me faisais viré pour aucune raison, en ne manquant pas de me coller, un vrai connard ce mec, mais personne ne me croyais, pas même mes petits camarades qui voyaient tout, c'est fou quand même. Je vais vous gacher la surprise, je me suis fait virer. En sortant de la classe j'ai fixé le prof droit dans les yeux avant de lui faire un bras d'honneur. Il a voulu m'attrapé mais je suis partit en courant et en glissant sur la rampe d'escalier en rigolant.

Quand je suis arrivé dans la salle de perm', j'étais seule a l'exeption d'un gars assis en tailleur sur son bureau. J'ai balancé mon cartable contre une table avant de m'affaler sur ma chaise avec un gros soupir. Ce garçon était arrivé au début du mois et depuis il avait apparemment décidé de dépassé mon record d'heure de colle en un minimum de temps. Je ne sais pas comment il s'appelle mais ce qui est sûr c'est que depuis le début du mois on s'est retrouvé souvent en colle ensemble plus ou moins accompagné, mais c'était la première fois qu'on était vraiment seul dans la salle. Maintenant que j'y pense on n'a jamais parlé ensmble non plus.

Au bout de quelques minutes, n'en pouvant sûrement plus du silence, il s'est tourné vers moi :

- T'as fais quoi cette fois ?

- Comment ça ? j'ai relevé les yeux de la chaise que j'avais décidé de démonté

-Qu'es que t'as fait pour te retrouver en colle cette fois ? ma t'il redemandé

-Je sais plus, pourquoi ?

-Comment tu peux avoir oublié ? 

-Mon prof de maths, il est chelou et il me deteste, parfois je me retrouve pour aucune raison en colle

-Mais...

-Mais, il se peux que cette fois ce soit ma faute

-Les langues se délient ! a t'il dit en tapant sur ses genous

-J'avous j'étais en train de dessiner, mais bon ses cours son tellement chiant !

- Les cours c'est chiant quel que soit le prof

-Pas faut, il a fait claqué sa bulle de chewmgum et s'est approché de moi

- Eufrasio mais appelle moi Fraise

-Charlie ! il m'a lancé un paquet de skittles

-Qu'es ce que tu fais ?

-Je démonte une chaise

-Besoin d'aide ?

-Avec plaisir ! Tiens moi le dossier STP

-Bien chef !

Fraise c'est la gars le plus bizarre que j'avais rencontré, il s'habille comme un hippie : t-shirt tye n' dye, multitude de collier, veste en jean avec des frange et des pins' "peace and love", il a les cheveux châtain très clair, presque blond, toujours en bataille (a sa décharge il sont bouclé et dense). Il a la manie de parler en vers des qu'on commence a lui posé trop de question et a toujours un harmonica dans sa poche, il en joue souvent, si souvent que en une heure j'ai eu le temps de décidé que je n'aimais pas les harmonica.On a passait le reste de l'heure a démonté les chaise de la salle.

Une fois la matinée fini j'ai rejoins mes amies a notre point de rendez-vous habituel pour attendre que la queue de l cantine se désemplisse, bien sûr Fraise a réussi a me retrouver :

- Yo Charlie, tu fais quoi de beau ?

- Pour le moment rien; je me suis tourné vers mes amies; Ladda, Elize, voici Fraise, Fraise, voici Ladda et Elize

-Salut, a fait Elize d'une voix enjoué

-Hello, lui a dit Ladda

-Ravi de vous rencontrer !

Au final on est tous aller manger ensemble, et ça a été géniale, ils se sont tous bien entendu et on s'est bien amusé, on a faillit déclenché une nouvelle guerre, cependant. Fraise m'a informé qu'il ne participé pas au tournois de basket et que si ce n'était pas trop e demandais je pouvais passé la journée avec lui, c'tait bien plus que je n'espéré, moi qui pensait devoir resté seule ! voici qu'un ami providentiel venait de faire son apparition! Je lui ai dis que c'était cool et que resterai avec lui tant qu'il voudrait de moi, et c'était arrangé. Malheureusement, l'après midi j'avais a nouveau cours avec mon prof de maths...Un affrontement épique en perspective !

Arriver en cours je me suis assise au fond, le prof m'a dit de venir au premier rang, crevé j'ai obtempéré sans faire de vague, le problème c'est que justement j'étais crevé, donc pour une fois je bouger pas dans tous les sens, mais je me suis endormis. Erreur fatale. Le prof est arrivé a côté de moi pendant que je dormais et a laché un gros livre de cours juste a côté de mon oreille, le bruit m'a réveillé en sursaut, le prof ainsi que les élèves rigolé, la honte. Le visage du professeur s'est soudain fermé et il m'a aboyé de sortir de son cours, je suis sortit et juste avant qu'il ferme la porte je me suis retourné:

-Aller vous faire foutre !

Tremblant de colère je suis partit en courant vers la salle de permanence, toujours au bord des larmes tellement j'était énervé je me suis trouvé une chaise pas démonté et je me suis assise. j'avais les poings si serré que mes jointure étaient devenues blanches et que je sentait mes ongles entamé ma peau. Eufrasio est entré peu après, il est resté a distance. Au bout d'un moment je n'en pouvait plus, je me suis levé avec rage, tellement violemment que la chaise s'est renversé et que la table avacillé, mon nouvelle ami s'est approché comme pour essayé de me calmé, les lumière ont clignotées.

-Putain fait chier ! j'ai crié et les néon ont explosé, on était pas vraiment dans le noir mais c'est sûr qu'il faisait plus sombre, Fraise a posé sa main sur mon épaule

- Calme toi 

-C'est sur tout de suite je suis plus calme ! je sais c'est pas très gentil, je m'en veux un peu de lui avoir dit ça

- Non vraiment calme toi parce que là c'est la merde, y a le feu 

- Quoi ?! 

J'ai levé les yeux, et j'ai vu que le faux plafond avait prit feu, les câbles avait du se touché et avaient produit une étincelle et...vous connaissez la suite. On a couru en dehors de la salle, j'ai activé l'alarme et Fraise chercha un moyen d'enclanché l'extincteur, ce pourquoi il n'était clairement pas doué. Un prof arriva en courant de la salle des profs :

- Qu'es ce que vous faite ! 

- Il y a le feu ! le prof a secoué la tête mais il ne pouvait pas ignoré l'horribe odeur de faux plafon brulé et la fumé, il a pris l'extincteur des mains de Fraise qui a lâché un petit "Eh" avant de courir éteindre les flammes, j'ai entendu les pompiers arriver

-Sortons ! ma dit Eufrasio en e tirant par le bras

-Putain merde !

-T'as pas un super vocabulaire dit donc

- Mon école prend feu et je déclare la guerre a mon prof de maths, c'est normale que j'ai pas un vocabulaire de ouf !

- Calme je disais ça pour remplir les blancs

La raison pour laquelle on ne m'a pas viré ce jour là c'est parce que j'avais était la première a lancé l'alerte, ils ont donc décidé de me laissé une toute dernière chance, c'était bien ma veine, ils auraient bien du me viré tien !

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