Bien donc voici pour vous le chapitre 9.

Logique

Lol

Bref donc merci de mettre des commentaires/des votes/des messages, etc. 

Perso, je ne vais pas vous manger...

Je ne suis pas un monstre assoiffé de sang, etc.

Vous me direz que non je ne peux pas vous manger etc. car on est sur wattpad.

Ouais, c'est vrai.

Ma blague de merde ne marche pas.

Donc bonne lecture à vous ....

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Oh put*** qu'est ce qu'elles font là avec eux ?

- Qu'est ce que tu fous là ?

- Je ne fais que t'aider.

- Je ne t'ai rien demandé.

- ...... je pensais bien faire.

- Ouais bah c'est raté maintenant on va se faire arrêter à cause de toi pour consommation de drogue.

- Alors c'est ça, comment t'as pu devenir aussi affreuse...

Schay la coupe dans sa phrase.

- Bon viens, on se barre, elle a appellé la police.

- Ouais.

- Je ne veux plus avoir affaire à toi, tu ne fais que m'emmerder.

Elle me regarde, elle est pâle, très pâle. Ses yeux ont peur, ça se voit.

- Attends, reviens Jo.

- Va te faire f***** Sahra.

J'entends au loin les sirènes des voitures de police. Si on se fait arrêter, on est foutu, alors on court comme des malades. Il prend rapidement de l'avance.

Je trébuche à chaque pas. Mon souffle se fait saccadé, mes jambes semblent prêtes à m'abandonner. Je secoue ma tête. Mon regard fixé au loin, au loin....

Je pense à elle, à Sahra, je croyais qu'elle était ma pote. Mais si elle l'était, elle ne m'aurait pas suivie ni trahi.

Bam je m'écrase, face contre terre. Je n'aurais pas du penser à elle.

- Merde.

Je n'arrive plus à me relever. J'aurais dû me faire plus attentive en cours de sport. Ma vue se trouble. La dernière chose que je vois et que j'entends avant de m'évanouir est le bruit assourdissant des sirènes ainsi qu'une main me forçant à me relever.

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Deux jours plus tard.

Je me réveille avec un mal de crâne affreux.

J'essaie de me redresser mais une chose me bloque me forçant à rester allongée.

Mon mal de crâne se fait de plus en plus fort. J'ai envie de hurler mais un baillon m'en empêche.

Il faut que je sorte de là.

Je tourne et me retourne dans tous les sens pour essayer de me dégager en vain.

Je réussis à recracher la boule de chiffon qui m'enpêchait de parler. 

Ça ne sert à rien de se défendre. Je suis belle et bien bloquée.

Je n'ai rien affaire à part attendre.

Je ne sais pas combien de temps je passe à attendre dans le noir sans manger. Je ne sais pas.... où je me trouve, si il y a des humains ici .....

Des pas précipités se font entendre.

J'entends le son d'une grille qu'on dévérouille.

Je plisse les yeux la lumière certes faible se fait aveuglante pour mes yeux sans lumière depuis trois ou quatre jours.

Le truc bloquant mon corps disparait. Je me redresse difficilement. Mes membres sont engourdis....

Une poigne m'agrippe et me fait me redresser vers l'avant. Je lache un cris de douleur.

- La ferme.

Non mais d'où il me parle comme ça lui ?

On me fit sortir de l'endroit où j'étais enfermée en me donnant des coups pour me faire avancer.

Mes jambes ont mal, ils ne comprennent pas .....

Cinq minutes, cinq minutes que je marche, marcher est un grand mot, je me fais trainer comme une masse. De toute façon, j'ai harchi maigris alors ça doit être un jeux d'enfants de me trainer ou de me porter.

On me jette dans une salle.

- Toi...

Oui moi...

- ..... Tu attends ici en la fermant.

- ....

- Tu me réponds là.

- Oui.

- Bien.

Il tourne les talons et claque la porte derrière lui.

Enfin seule.

Je découvre autour de moi un endroit que je n'avais jamais connu auparavant.

D'ailleurs le siège moelleux fait du bien à mes petites fesses.

Je pousse un soupir d'aise.

La pièce est meublée d'une quizaine de chaises comme la mienne, d'une table et de quelques revues posées dessus.

Au fond se trouve une grande porte fermée.

Je me lève... non je ne peux pas j'ai trop mal.

Le type de tout à l'heure revient vers moi. 

D'un coup de pied bien placé, il me fait avancer jusqu'à la porte mysterieuse.

Il toque, une voix se fait entendre.

Il la pousse et me fait entrer. En voyant une des cinq personnes présentes, je me jette vers elle avec soulagement.

Elle va m'aider à affronter ces ...... inconnus.

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J'epère qu'il vous a plus.

Il est un peut court comparer à celui d'avant mais il est plein de rebondissements.

Bref.

Je vous souhaite à tout le monde une bonne fin de je ne sais quoi et bye bye.