Chapitre 48 : Week-end en amoureux
Megan Walsh
Aujourd'hui, Jack et moi, partons en week-end dans un chalet. Ça sera le seul et surement le dernier avant l'arrivée du bébé. J'ai hâte de me retrouver seule avec lui. On ne passe pas beaucoup de temps rien que tous les deux puisqu'on habite avec Johnson et que mes frères, ma sœur, Nate et Sammy viennent souvent. Nos valises sont déjà dans la voiture de mon beau brun. Je termine de me préparer et une fois que c'est fait, je regarde une dernière fois si je n'ai rien oublié. Je sors de la chambre et descends rejoindre mon beau brun qui m'attend dans l'entrée. Je l'embrasse chastement et je prends Johnson dans mes bras.
Johnson : Profitez bien.
Moi : On y compte bien. Pas de bêtises.
Johnson : Tu me connais.
Moi : Bah justement.
Mon meilleur ami lâche un petit rire avant de me faire un bisou sur la joue. Il fait une accolade au brun et on sort de la maison. Je fais un dernier signe de la main au blondinet et on part. Le chalet se trouve seulement à une heure de Los Angeles. Il se situe en hauteur dans la forêt. On ne sera pas coupé du reste du monde non plus. Apparemment, c'est un chalet que les garçons avaient achetés. Ils venaient ici, quelques fois, pour faire des fêtes. Comme ça, personne n'entendaient sauf les animaux sauvages. Une fois sur place, je sors de la voiture et admire l'extérieur.
Moi : C'est magnifique !
Gilinsky : Tu n'as pas encore vu l'intérieur.
Moi : C'est encore mieux ?
Gilinsky : Pour moi, oui.
Moi : J'ai hâte alors.
Gilinsky : Alors, allons-y.
Mon beau brun me sourit et je plaque mes lèvres sur les siennes. On sort les bagages et Jack ouvre la porte avec sa clé. Il pousse cette dernière et je reste sans voix. Le brun avait raison, c'est encore plus beau que l'extérieur. Je suis émerveillée par la beauté du lieu.
Gilinsky : Alors ?
Moi : Tu avais raison. L'intérieur est magnifique.
Gilinsky : Content que ça te plaise.
Moi : Je crois que je suis tombée amoureuse de ce lieu.
Gilinsky : J'espère que tu ne l'aimes pas plus que tu m'aimes.
Moi : Mais non. Il n'y a aucun risque d'aimer quelque chose ou quelqu'un plus que toi.
Gilinsky : Si c'est possible.
Moi : Ah ouais ? Et c'est quoi ?
Gilinsky : Notre bébé.
Moi : Ce n'est pas le même amour.
Gilinsky : Certes mais il passera avant moi.
Moi : Tu crois vraiment que le bébé va passer avant nous ?
Gilinsky : Au début, oui. Il va être le centre de l'attention que ce soit pour toi ou pour moi. Et c'est tout à fait normal.
Moi : Je sais mais on aura du temps pour nous. Pour se retrouver.
Gilinsky : Certainement mais un bébé demande de l'attention.
Moi : Jack. Un bébé renforce les liens dans un couple. On est déjà soudé et on y sera encore plus à sa naissance. On n'oubliera pas notre couple. Je t'en fais la promesse.
Gilinsky : Je sais tout ça. Pardon, je stresse beaucoup en ce moment. Mine de rien, ça approche.
Moi : On a encore le temps Jack. Je suis seulement à seize semaines en gros, il reste encore cinq mois.
Gilinsky : Mais ça va passer vite.
Moi : Oui, je sais mais c'est normal d'angoisser. L'arrivée d'un bébé, ce n'est pas rien. Mais on est tous les deux et on peut compter sur nos familles et nos amis. On n'est pas seul mon amour.
Gilinsky : Excuses-moi bébé.
Moi : Tu n'as pas à t'excuser. Je stresse aussi.
Je l'embrasse avec amour et on se sépare à bout de souffle. On monte ensuite à l'étage pour poser nos valises. La chambre est immense avec une vue incroyable sur des collines ! Je sens que ce week-end va être parfait. Jack me montre ensuite la salle de bain et les autres chambres. Toutes les pièces sont magnifiques et grandes. On se croirait dans un château. On redescend pour s'installer dans le grand canapé.
Gilinsky : Alors, ça te plait ?
Moi : Je suis aux anges. C'est magnifique ! Ça fait combien de temps que vous l'avez ?
Gilinsky : Six ans un peu près.
Moi : Vous avez bien choisis.
Gilinsky : Je suis heureux que ça te plaise.
Moi : Et qui sont les propriétaires ? Il y a tout le Magcon ou seulement quelques membres ?
Gilinsky : Pour dire vrai, c'est Bart Bordelon qui l'a acheté.
Moi : C'est qui lui ?
Gilinsky : Il s'occupait du Magcon. Il voulait qu'on ait un lieu pour se retrouver et il a acheté ce chalet. Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas tous regroupés avec lui, ici.
Moi : Vous devriez le faire.
Gilinsky : Non.
Moi : Et pourquoi ?
Gilinsky : On va avoir notre bébé.
Moi : Et alors ?
Gilinsky : Je ne vais pas te laisser seule avec lui ou elle, juste pour faire la fête. Et si on la fait quand tu seras encore enceinte, je ne vais pas te laisser seule à la maison.
Moi : Jack. Pour une soirée je peux être seule.
Gilinsky : Ou tu viens aussi. Tu connais tout le monde sauf Bart.
Moi : On verra ça le moment venu.
Gilinsky : D'accord.
Moi : Merci de m'avoir emmené ici.
Gilinsky : De rien, c'est normal.
Moi : Je peux te poser une question ?
Gilinsky : Je t'écoute.
Moi : Je sais que ce n'est pas bien ce que j'ai fait et je m'en excuse mais... Je... J'ai entendu ta conversation avec ta grand-mère quand elle t'a donné la bague.
Gilinsky : Oh... Ce n'est rien. Tu savais très bien qu'à un moment, j'allais te demander de m'épouser. Tu ne sais juste pas quand et où et je t'avoue que je ne sais pas non plus.
Moi : J'avais peur que tu m'en veuilles d'avoir écouté aux portes.
Gilinsky : Mais non. Ce n'est pas un secret. On en avait déjà parlé tous les deux.
Moi : C'est vrai mais quand même.
Gilinsky : Arrêtes de t'en vouloir pour tout et n'importe quoi.
Moi : Désolée...
Mon beau brun lâche un petit rire avant de plaquer ses lèvres sur les miennes. Le baiser devient langoureux et sauvage. J'adore ses baisers divins. On se sépare à bout de souffle et on se regarde dans les yeux. Son regard de braise me brûle.
Moi : On est rien que tous les deux. Personne ne peut venir nous embêter.
Gilinsky : Je vois où tu veux en venir. On ne va pas rater l'occasion de faire du bruit.
Je rigole face à sa remarque et Jack me fait basculer sur le canapé de façon à ce qu'il soit au-dessus de moi. Ses mains se baladent sous mon pull tandis que les miennes enlèvent son haut. Je ne perds pas de temps même si on n'est pas pressé. Jack s'attaque à mon cou et je gémis de plaisir. Mon pull ne tarde pas à rejoindre son t-shirt sur le sol. Il parsème le haut de mon corps de baisers humides et doux. J'adore quand il fait ça. Remarque quoi qu'il fasse, j'adore. Mes mains descendent lentement vers son pantalon. Je déboucle sa ceinture puis fais glisser son pantalon le long de ses jambes. Mon copain se redresse afin de pouvoir l'enlever complètement. Pendant qu'il fait cela, je le regarde avec envie. Je me mors la lèvre inférieur tellement il est sexy. Il revient au-dessus de moi et me retire mon legging. Nos baisers sont de plus en plus sauvages, nos respirations deviennent saccadées. Je ne tiens plus. Je lui retire son caleçon et mes sous-vêtements ne tardent pas à trouver le sol. Je vous laisse deviner la suite.
Jack se laisse retomber à mes côtés tout essoufflé et transpirant. On a pu faire autant de bruit qu'on voulait, on ne risquait pas de se faire entendre. Quand je retrouve une respiration un peu près normale, je me cale dans les bras de mon copain. Il pose une couverture sur nos corps nus et me sert fort contre lui.
Gilinsky : Tu m'as griffé le dos.
Moi : Pardon.
Gilinsky : Oh ce n'est rien. J'aime bien ton côté tigresse.
Moi : Tais-toi.
Gilinsky : On est bien.
Moi : Je suis d'accord.
Je me redresse un peu pour pouvoir embrasser tendrement l'homme de ma vie. On reste dans les bras l'un de l'autre environ trente minutes avant qu'on ne se rhabille. Je regarde son dos est effectivement, je l'ai bien griffé. Je lui mettrai de la pommade pour calmer la douleur. Une fois habillée, je décide de prendre en photo la pièce principale et de la poster sur Instagram.
Aimé par jackj, joshyravenn, camerondallas et 247 119 autres personnes
megwalsh Week-end en amoureux 😍 @jackgilinsky
nashgrier Oh mais c'est notre chalet ! Profitez bien !
↪ megwalsh Oui c'est le vôtre ! Merci Nashsouille 😘
jaganisbae C'est magnifique 😍 Bon séjour les amoureux 😘❤
↪ megwalsh Merci 😘❤
jackgilinsky ❤❤❤
↪ megwalsh ❤❤❤
Je range ensuite mon portable et profite d'être seule avec mon beau brun. Je me sens bien ici, c'est vraiment chaleureux et agréable. C'est quand même assez moderne à l'intérieur. Je m'attendais à quelque chose de vieux mais non. Ils ont bien décorés même si je pense que ce n'est pas eux qui ont fait la décoration. Je souris bêtement et je sens la présence de mon brun derrière mon dos. Il me colle à son torse et pose ses mains sur mon ventre bien rebondi. Je pose mes mains sur les siennes et je souris encore plus.
Gilinsky : J'ai hâte de l'avoir avec nous même si j'ai peur.
Moi : J'ai hâte aussi.
Gilinsky : Et si je n'arrive pas à m'en occupé ? Si je le prends mal ? Si je le fais tomber ?
Moi : Calmes-toi. Tu seras un papa formidable. De toute manière, à la maternité, ils vont nous montrer comment faire et il y aura tes parents qui vont venir nous aider à notre retour à la maison. Alors, ne panique pas.
Gilinsky : D'accord, je vais me calmer mais ce n'est pas dit que je ne vais plus angoisser.
Moi : Je sais Jack mais tu verras. Quand tu auras le bébé dans tes bras, tu trouveras tout facile. Tes peurs vont se volatiliser. C'est sûr que tu auras peur pour d'autres choses mais à ce moment précis, tu ne vas plus être préoccupé. Tu tiendras ton bébé dans tes bras et ça sera le principal.
Gilinsky : Comment tu fais pour me calmer aussi facilement ?
Moi : Je te connais par cœur Jack. Je sais comment tu fonctionnes. On va apprendre à être parents alors ne t'inquiètes pas.
Gilinsky : Tu as raison. Je t'aime Megan.
Moi : Moi aussi je t'aime Jack.
Je me retourne pour lui faire face et je plaque mes lèvres sur les siennes. Je passe mes mains dans son cou afin d'approfondir le baiser. Tandis que les siennes se trouvent en bas de mon dos. J'aime tellement cet homme. Le père de mon bébé. L'homme le plus parfait du monde.
Gilinsky : Merci.
Moi : J'ai pensé à haute voix ?
Gilinsky : J'en ai bien peur.
Moi : Pas grave. Je n'ai pas mentis.
Gilinsky : C'est flatteur. Tu es la femme parfaite Megan.
Moi : Merci mon amour.
On se sourit avant que ce soit lui qui plaque ses lèvres sur les miennes. J'approfondis également ce baiser pour le plus grand plaisir de mon beau brun. On se sépare à bout de souffle et le brun colle nos fonts ensembles sans pour autant se détacher de moi. Ce séjour va être parfait. On va être rien que tous les deux. Enfin tous les trois car il y a quand même le bébé avec nous même s'il n'est pas là physiquement. Je suis plus que sûre que Jack est l'homme de ma vie. Celui qui me rendra heureuse jusqu'à la fin de ma vie. Je souhaite à tout le monde de trouver cette personne car c'est juste merveilleux quand vous l'avez trouvé. Tout est plus faciles et plus joyeux. Je suis éperdument amoureuse de Jack Gilinsky.
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Hey ! Voici le chapitre 48 ! J'espère que ça vous plait ^^ N'hésitez pas à laisser un petit commentaire ^^
- Que pensez-vous du chapitre ?
- Le chalet ?
- Le séjour en amoureux ?
- Les craintes de Jack ?
- Megan qui le rassure ?
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