XX - Always You
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Bonjour tout le monde ❤️ Je voulais déjà vous remercier pour votre soutien depuis fin juin lorsque j'ai posté le prologue de mon histoire : « Broken Heart ». Je voulais aussi vous remercier pour vos 430 lectures et vos 40 votes. Je ne me rends toujours pas compte de ces chiffres pourtant si énormes. Certes, moins que ma fanfiction sur PNL, mais cela est normal, étant une histoire plus apprécié du public wattpad. Alors mille merci pour cet encouragement que vous me faites. Cela me touche d'autant plus. C'est comme si je vivais un rêve éveillé depuis plusieurs mois. À la base, je ne le faisais que pour vous partager mon univers, mes idées, mes histoires. Je m'étais dit que si ça ne marcherait pas, cela n'aurait pas été très grave, même loin de là. Avec seulement 5 lecteurs j'aurais été heureuse. Mais voilà, vous êtes bien plus que 5.
Maintenant parlons du chapitre, ce dernier chapitre avant l'épilogue et les bonus. On arrive enfin à ce que vous attendiez tous (je pense) depuis longtemps : le baiser, la mise en couple et le lemon. Pour ceux qui ne savent ce qu'est un lemon, c'est une scène de sexe explicite. Je sais que mon histoire n'est pas dans la catégorie adulte. C'est voulu. Car je pense que pas mal de jeunes ayant 15 ans ou plus sont tout à fait matures pour comprendre, lire cela sans être choqués. Pour ceux que cela dégoûte, gêne, choque, je vous invite à ne pas lire ce passage (c'est la deuxième partie du chapitre). Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisiez. Alors merci de ne pas lire ou signaler l'histoire si vous êtes sensibles à ce genre de chose. Je voulais aussi remercier nbksag, qui m'a toujours soutenu depuis mon arriver sur la plateforme. Elle comme moi aime PNL, les One Direction et surtout Larry. C'est son soutien qui m'a donné confiance en cette histoire. Je ne la remercierais jamais assez.
Si vous avez 15 ans ou plus et que vous n'êtes pas choqués par ce contenu, je vous souhaite alors une bonne lecture.
Chapitre 20 – Always You
-Louis-
Enfin, après plus de quatre heures de route, j'y étais. J'étais devant l'enseigne du Beechwood café. Il n'avait pas changé d'un poil. Sa devanture comportait toujours un grand panneau blanc, sur celui-ci on voyait une police douteuse en rouge avec le nom de l'enseigne. Les murs extérieurs étaient recouverts de briques rouges. Sur la gauche, il y avait une terrasse couverte par une structure en bois. Elle était aménagée de tables et bancs en bois aussi. Le sol, lui était en dalle d'un gris triste. Le tout était entouré d'un muret en brique faisant le tour de la terrasse et du café, s'arrêtant seulement devant l'entrée. Les marches qui menaient à la porte d'entrée étaient toujours peinte en jaune fluo. Je n'avais jamais compris pourquoi. Pour égayer le tout, des jardinières étaient accrochées aux murs et sous les fenêtres.
Est-ce qu'Harry était déjà là ? Hier soir, nous nous étions envoyé des messages pour convenir de l'heure du rendez-vous : dix-sept heures. En fonction de la tournure de ce café, je me voyais rêver déjà le ramener à Doncaster, à plus d'une demi-heure d'ici. En soit, c'était plus proche de ma ville natale que de Londres. J'essayais de me rassurer.
Mes mains tremblaient. Je regardais mes doigts. Cela faisait un moment que je n'avais plus d'ongle. Cette situation me stressait au plus haut point. J'avais comme une boule au creux de l'estomac. Oui, j'avais peur. Je tremblais devant Harry Styles.
Devrais-je rester dehors ou bien, devrais-je aller à l'intérieur ? Était-il déjà dedans ? Je ne savais même pas comment il était venu... Faut-il que je lui envoie un message ?
Mon portable me coupa.
C'était lui.
C'était lui.
Hazza : Je suis là :)
Je tournai la tête, le cherchant du regard. Je ne le trouvais pas. Puis, deux mains se mirent sur mes yeux.
Oh. C'était lui. C'étaient ses mains. C'était sa peau.
Je sentais sa présence dans mon dos, son parfum.
« - Salut. Dit-il de sa voix grave dans le creux de mon oreille.
Je n'avais jamais compris comment il arrivait à chanter autant dans les aigus avec sa voix d'ours.
- Salut. Lui répondis-je.
Il enleva ses mains et me fit face. Il était beau. Il était toujours beau, même le matin, décoiffé, habillé comme un plouc, les cheveux courts, les cheveux longs. Il était toujours beau.
Il portait un pantalon couleur camelle taille haute, ainsi qu'un t-shirt blanc avec marqué Harry Styles dessus. Je rigolais intérieurement. En voyant cela, on pourrait croire qu'il était narcissique. Par-dessus, il avait mis une veste épaisse en coton à carreau bleu marine et jaune pastel. Il portait ses fidèles chevalières, ainsi qu'un collier en perles nacrées. Sur ses ongles, on pouvait y voir un beau vernis turquoise. Et à ses pieds, bien évidemment, il avait ses habituelles bottines.
Le style de ce mec m'impressionnera toujours.
- On rentre ? Me demanda-t-il.
- Euh... Oui, oui, rentrons. Dis-je en bégayant.
Sans que je ne comprenne ce qu'il ne se passe, Harry pris ma main dans la sienne.
- Ça va aller. Me dit-il en me regardant dans les yeux pour appuyer ses mots.
Ma main toujours dans la sienne, nous rentrâmes dans le café. J'avais chaud. Mon cœur battait à tout rompre, que ce soit dans ma poitrine comme mon poignet. Je n'osais plus regarder Harry.
- Harry ? Et Louis ? Oooh ! Que faites-vous ici ?! Cela fait si longtemps. S'approcha la gérante, Osono.
Faisant le tour du bar pour venir à notre rencontre, je constatais qu'elle était enceinte d'au moins plus de six mois. Mais n'étant jamais sûr de ce genre de chose, je préférais me taire que de la blesser. J'avais toujours apprécié cette femme. Aujourd'hui, elle devait avoir la quarantaine. C'était quelqu'un de foncièrement bienveillante et de maternelle. Osono avait toujours été présente pour Harry et moi.
- On avait besoin de discuter Louis et moi. L'endroit nous a paru évident.
- Vous avez bien fait ! Je suis contente de vous voir les garçons.
- Nous aussi. Dit Harry, tout en me regardant.
- Ou... Oui ! On est content de te voir Osono. Désolé de n'être pas venu plus souvent. Bredouillais-je.
- Ne t'excuse pas Louis. Je sais parfaitement que votre carrière vous prend tout votre temps. Et le principal, c'est que vous soyez là. Dit-elle en nous offrant un sourire chaleureux.
- C'est vrai. Dis-je avec un étrange sourire.
- Je vous sers la même chose que d'habitude les garçons ?
- Merci. Ce sera parfait Osono. » Répondit Harry.
Harry me guida à notre table habituelle, toujours ma main dans la sienne.
L'intérieur n'avait pas non plus changé. Il y avait toujours ce papier peint cerf partout, ainsi que les fameuses nappes. Les vieux canapés moelleux. J'y avais fait de merveilleuses siestes.
Oh ! Et les coussins !
Les coussins aussi avaient un cerf dessus. C'était vrai. Cela m'était complètement sorti de la tête. Cela me fit rire. Harry me regarda interrogateur. Je secouais la tête, lui montrant que ce n'était rien.
Nous nous installâmes, prenant place chacun dans un canapé moelleux. Ils se faisaient face, entourant la petite table basse. J'observais Harry, il tripotait ses chevalières signe qu'il était stressé. Je ne pensais pas qu'il serait autant anxieux. Et en même temps, connaissant Harry, il devait se creuser la tête, penser trop à ce qui pourrait se passer et inversement. Bizarrement, son état me rassura. Nous étions tous les deux dans le même bateau.
Il ne parlait toujours pas. Devrais-je prendre la parole ?
« - Tu as...
- Que deviens... Nous dire en cœur, nous coupant.
- Désolé. Me dit-il.
- Non, c'est moi, excuse-moi. Essayais-je de le rassurer.
- Tu disais ?
- Tu as fait bon voyage ?
- Tu parles du vol ou du chemin jusqu'ici ? Demanda-t-il en rigolant.
Je piquais un fard. Que je pouvais être idiot. La honte. Et puis, aussi, pourquoi je paniquais ? On dirait un enfant de quinze ans.
- Les deux. Dis-je, essayant de me rattraper.
- Oui, très bien, et toi ?
- Pareil.
- Et tu...
- Et voilà vos commandes les garçons. Se ramena Osono avec notre plateau.
Elle rayonnait tel un soleil.
- Un latté à la vanille avec une bonne dose de caramel pour Harry. Et pour Louis un milk-shake à la vanille.
- Merci Osono ! Remercia Harry.
- Oui, merci beaucoup.
Comprenant que nous voulions de l'intimité, Osono partit, non sans nous adresser un grand sourire. Cette femme était un ange.
Je souriais tristement. J'étais nostalgique. Je pensais aux tweets qu'on s'échangeait au début du groupe.
- Tu te rappelles de ce surnom avec lequel j'aimais tant t'appeler ? Demandais-je, après avoir bu une gorgée de mon milk-shake.
Pourquoi je pensais à ça maintenant ? Et pourquoi lui posais-je cette question. N'était-ce pas bizarre ?
- Baby cakes ?
- Oui, baby cakes. Et toi, tu m'appelais sweetcheeks.
- C'est vrai. Je m'en rappelle. On le faisait même publiquement. Sourit-il, lui aussi de tristesse, la tête dans son latté.
- On avait peur de rien.
- Et aujourd'hui, est-ce que l'on a peur Louis ?
- Non. Plus maintenant, nous n'avons plus peur Harry. Je n'ai plus peur. Lui dis-je en le regardant dans les yeux pour renforcer mes propos.
- J'ai vu tes tweets. Ils ont retourné tout internet entier, tu sais ?
- Oui. Soupirais-je. Je repris plus confiant, plus rayonnant même. Mais je suis content. Je suis enfin moi-même.
- Et qui tu es, cela implique qu'il y aura un nous au grand jour ? Dit-il après avoir remis une de ses mèches derrière son oreille.
Dieu que c'était sexy.
- Oui. Bien sûr que oui Harry ! Enfin, si tu le veux aussi...
- Oui, je le veux Louis, plus que tout au monde. C'est juste qu'on revient de tellement loin, que j'ai un peu d'appréhension.
Je baissais la tête et amenais mes ongles à ma bouche. Comment rassurer Harry ? Je voulais qu'après ce rendez-vous, on soit sûr de nous. Que l'on sache. Je veux qu'après ce café, on ait une chance, que l'on se mette ensemble.
J'avais envie de fumer, j'avais besoin d'une cigarette. J'avais besoin de souffler.
Oh et puis merde !
Je prenais mon courage à deux mains, ainsi qu'une grande inspiration et me lançais.
- Tu sais, j'ai vraiment essayé de penser à autre chose, de t'oublier. Alors, je suis parti à Amsterdam, Tokyo, et dans bien d'autres villes. Malgré ton absence, tout me ramenait à toi. J'avais beau boire. Mais tout ce que j'arrivais à ressentir, c'est que j'étais terriblement seul sans toi. J'aurai dû m'en douter en même temps. Le pire, c'est que même à l'autre bout du monde, je te cherchais. Je te cherchais dans les visages de ces inconnus qui m'entouraient. Ensuite, j'ai voulu rencontrer des gens, tomber amoureux de quelqu'un d'autre que toi. Cela a marché, mais qu'un temps. La réalité m'est revenu en pleine face. C'était ce que je ressentais par-dessus tout, que c'était une évidence. Tu étais mon évidence. C'était viscéral. Je perdais mon temps à te fuir, à fuir cette relation. Car c'est toujours toi, ça a toujours été toi. Au début, c'est toujours toi qui voulais te défoncer la gueule. Peut-être pour supporter le fait qu'on ne pouvait se montrer au grand jour, subir cette censure permanente. Ensuite, c'est moi qui ai fait la fête à en mourir. Je n'aurais jamais dû te laisser partir. Alors, après tous ces allées et venues, je suis enfin parti de L.A, pour rentrer à Londres chez moi, me disant que cela arrangerait peut-être les choses. Mais quand j'ai franchi la porte, ça n'avait rien d'un foyer. Car tu n'étais pas là, chez moi. Car tu es ma maison Harry. Tu n'étais pas là pour enrouler tes jambes autour des miennes. Et je me rends compte que je perds mon temps à te fuir, à t'avoir laissé partir, à être partout sauf avec toi. Car c'est toi et ce sera toujours toi, et ça, tu le sais parfaitement, Harry. Puisque je t'aime.
- Oh, Louis...
- Je dois le prendre comment ?
Il se leva pour me rejoindre sur mon canapé. Harry prit mes mains et me regarda dans les yeux.
- Louis, j'avais peur. Car tu es la personne que j'ai le plus aimé sur terre, bien sûr, excepté ma maman. Nous pouffâmes à l'entente de ces mots. Tu me connais par cœur. On sait ce qu'il s'est passé... J'avais des appréhensions. Pourtant, à la lecture de tes nombreuses lettres, j'ai réfléchi. Aujourd'hui, ce n'est plus pareil, le monde a changé, les conditions et nous aussi. À travers ces lettres et tes tweets, tu m'as prouvé qu'aujourd'hui, je pouvais avoir confiance en toi, que tu t'assumais, que tu m'aimais et que tu voulais sincèrement te remettre avec moi, et que tu voulais tout faire pour que ça marche.
- Du coup, ça veut dire oui ? Demandais-je le regard fuyant.
- Oui, Louis, ça veut dire oui. Ça veut dire que je t'aime. Ça veut dire que je veux sortir avec toi. Ça veut dire que je veux tenter, et que moi aussi, je veux tout faire pour que ça marche. Je t'aime Louis.
Les vannes s'ouvrirent sans que je ne comprenne quoi que ce soit. J'étais si ému. Après tout ce temps, mes efforts, mon amour et ma sincérité étaient récompensé.
- Moi aussi, je t'aime Harry. » Dis-je.
Harry et moi, comme connectés, vérifiions s'il n'y avait pas de paparazzi ou de possible homophobes aux alentour. À travers les fenêtres : rien ; dans le café : c'était ok, il n'y avait pas grand monde. Je me reconcentrais sur Hazza. Il me regardait profondément. On hocha quasiment en même temps. Nous étions sûrs. La voie était libre.
Je ne pouvais détacher mon regard des yeux verts d'Harry. Ils étaient magnifiques. Mon corps attiré tel un aimant s'approcha du sien. Mon cœur dans ma poitrine tapait tellement fort que j'avais peur qu'il ne brise ma cage thoracique. Mes mains étaient moites, je les essuyais sur mes cuisses. Tout mon être tremblait d'excitation. J'observais une nouvelle fois Harry dans son ensemble, je voulais mémoriser ce moment, le graver dans ma mémoire. Il se pencha à son tour. Je jetais un dernier regard à droite et à gauche. Puis, ce qui devait arriver arriva. Ses lèvres rencontrèrent les miennes dans un tendre baiser. Je me sentais flotter, tel un nuage. Harry sentait divinement bon. Ses cheveux caressèrent la peau de mon cou, me faisant frissonner.
Voulant reprendre ma respiration, je m'écartais.
Wow.
Je posais ma tête contre son front. Une bulle autour de nous s'était formée. Le silence nous envahissant. On entendait plus que nos deux respirations et battements de cœurs résonner, à l'unisson.
*
La pluie s'écrasait fortement sur les vitres de la voiture. Malheureusement, on aura un temps de merde pour le mois d'août. Les essuie-glaces grinçaient sur le pare-brise. C'était un signe d'usure. Il faudrait que je les change. Je faisais mes contrôles que ce soient les rétroviseurs, ainsi que mon angle mort, avant de cligner à droite. Je revérifiais mon angle mort, puis m'engageais. Pendant que je tournais, Harry changea la station de radio. Nous tombâmes sur Phil Collins : Against All Odds. En croisant son regard, je sus alors que cela deviendrait notre nouvelle chanson. Celle de notre réunion à Harry et moi, celle qui nous a permis de, de nouveau être ensemble.
Je n'en revenais pas. Harry rentrait à Doncaster avec moi, ce soir. J'avais pensé à ce fantasme tout à l'heure parce que ce n'était qu'une envie féerique, un rêve. J'avais l'impression qu'à tout moment, j'allais me réveiller. Tout cela était bien réel ?
Merde. J'ai encore envie de pleurer.
Pourtant, ce n'est pas dans mes habitudes d'être autant ému. L'odeur d'Hazza embaumait l'habitacle. C'était loin de me déplaire, au contraire. Mon visage se fit doux. J'étais tombé une nouvelle fois amoureux de cet homme. À moins que je n'avais jamais cessé de l'être. Je me sentais l'homme le plus chanceux du monde.
Mon téléphone s'alluma.
Phoebe la meilleure sœur : Tu rentres à la maison, du coup ?
« - Phoebe la meilleure sœur, vraiment ? Me charia Haz.
- Oui, c'est elle qui c'est appelé comme ça. Soupirais-je tout en souriant.
- C'est bien elle toute crachée. J'imagine que Daisy a fait la même chose ?
- Tu imagines bien. Pouffais-je. Tu pourrais lui répondre que je rentre bien, mais que je serais accompagné.
- Oh. Dit-il en me regardant.
- On a trop attendu Haz. Je veux leur dire. Je veux construire quelque chose de sérieux avec toi. Vivons à fond.
- Je suis d'accord avec toi. Sinon, je n'aurais pas accepté de venir avec toi.
- Je sais. Je t'aime.
- Je t'aime aussi Lou.
- Je pourrais le répéter un millier de fois tellement cela me fait du bien de le dire. Dis-je avec un grand sourire.
- Moi aussi.
- Je t'aime.
- Je t'aime. »
Nous rigolâmes de nos conneries. J'étais heureux, oui vraiment heureux.
Moi : Je rentre bien ce soir. Je serais accompagné. Il faut que je vous présente quelqu'un.
« - Eh ! Je n'avais pas dit d'écrire cette partie ! M'offusquais-je faussement.
- Cela te dérange vraiment ?
- Non, au contraire. »
Tout en regardant vérifiant avant mes contrôles, j'embrassais très furtivement Harry, avant de me reconcentrer sur la route.
Phoebe la meilleure sœur : Oh mon Dieu ! On la ou le connaît ?!
Je l'imaginais déjà sauter partout avec Daisy dans la maison. Je partis en fou rire. Des larmes perlèrent le long de mes joues. Harry aussi rigolait.
Louis, concentre-toi sur la route. Ne pense plus à tes sœurs.
Harry se permit de répondre à nouveau.
Moi : Oui, vous le connaissez déjà.
L'écran de mon portable ne tarda pas à s'allumer de nouveau.
Phoebe la meilleure sœur : OMD ! C'est Harry ?! C'est Harry, c'est ça ?!!!
Ce fut au tour d'Hazza de partir en fou rire. Heureusement que la maison était en vue. Je n'aurais pas pu continuer de me concentrer sur ma conduite comme ça.
Le crissement des pneus sur les graviers annonça notre arrivée. Après mettre garé correctement, je serrais le frein à main et mettais le point mort. J'arrêtais les essuie-glaces, les phares, la radio et coupais le contact. Je n'oubliais pas avant de sortir de la voiture de mettre une vitesse, au cas où, je ne voulais pas qu'elle finisse dans le portail des voisins.
La porte d'entrée s'ouvrit en furie. Je vis apparaître mes sœurs sur le palier. Elles fronçaient les sourcils. Toutes les deux brunes, étaient magnifiques. Elles étaient le cliché de cette nouvelle génération, de ces influenceuses beauté. Mais putain, qu'elles étaient magnifiques et intelligentes. J'étais fière d'elles, mes jumelles d'amour.
J'étais le seul sorti de la voiture. La portière d'Harry s'ouvrit. La lumière du porche éclairait vers nous. Les jumelles trépignaient. Je voyais Phoebe se rapprocher au maximum. Daisy, quant à elle, ne tenait pas en place, se balançant de pied en pied. Quand Hazza sortit de la voiture, elles hurlèrent.
« - Je le savais !!! Hurla Phoebe de victoire.
- Oh mon Dieu ! Harry !!! S'écria Daisy, les larmes aux yeux.
Daisy courut jusqu'à lui pour le prendre dans ses bras. Il l'accueillit avec douceur, lui tout craché. Phoebe entreprit la même chose courant elle aussi jusqu'à lui. Ce câlin collectif me donna envie d'en faire aussi parti. Je m'approchais alors.
- Tu nous as tellement manqué Hazza, si tu savais... Dit Daisy émue.
- Vous aussi.
- Mais... Si tu es là, et les tweets, tout ça ? Est-ce cela veut dire que toi et Louis, vous êtes de nouveau ensemble ? Demanda Phoebe.
J'arrivais à leur hauteur. Je pris la main d'Harry. Je la serrais fortement, comme pour dire : « Oui, je suis là », ou encore « Je t'aime si fort ».
Phoebe poussa un petit cri voyant tout cela.
- Oui les filles, on est de nouveau ensemble, et pour la vie, j'espère.
Harry se tourna vers moi.
- J'espère aussi. Dit-il soutenant mon regard.
- Oh la la !!! Je suis si heureuse pour vous !!! S'écria Daisy.
Phoebe mit sa main au-dessus des nôtres entrelacées.
- Vous êtes plus heureux ensemble. Je suis contente que vous vous donniez une seconde chance. Ce n'était pas pareil quand vous étiez séparé. Je vous souhaite plein de bonheur. Elle allait s'arrêter là, mais... Harry, si tu fais du mal à Louis, je te pète la gueule. Rends le heureux.
Nous partîmes dans un fou rire collectif. Décidément, c'était la soirée pour. Harry plus sérieux regarda Phoebe et lui dit :
- Je ne compte pas faire de mal à Louis. Je ne peux pas te promettre que cela n'arrivera pas. Mais j'aime Louis plus que n'importe qui sur Terre. Il se tourna vers moi. On n'a pas traversé tout cela pour encore plus se déchirer. Aujourd'hui, on veut vivre notre amour au grand jour, sans se cacher. On veut s'aimer pleinement.
Les jumelles acquiescèrent rassurées.
Une voix masculine arriva jusqu'à nous.
- Phoebe ? Daisy ? Qu'est-ce que vous faites dehors ? Et pourquoi vous avez laissé la porte ouverte ?
- Chéri ? Qu'est-ce qu'il se passe ?
Deux silhouettes sortirent de la maison. Je fronçais les sourcils essayant de les discerner. Quand ils furent éclairés par la lumière du porche, je pus distinguer mon père, Mark et sa compagne.
- Louis ? Demanda mon père.
- Oui papa, c'est moi.
Il s'approcha pour me prendre dans mes bras, non sans me donner une tape sur l'épaule.
- Mais que vois-je ? Harry, c'est bien toi ?! Que fais-tu ici ?
- C'est pour ça qu'on est là. On a quelque chose à t'annoncer. Lui dis-je.
La nouvelle compagne de mon père se rapprocha pour entendre, je la saluais de la tête.
- Papa, Sallie, je voulais vous dire qu'Harry et moi, on s'est remis ensemble, et c'est du sérieux.
- Wow. Fit mon père.
J'avais eu du mal à lui dire que je sortais avec Harry à l'époque. Je lui avais sorti un truc, c'est juste Harry. Quand il avait été question de notre mariage symbolique, je ne pouvais plus cacher que c'était très sérieux. Il l'avait bien pris. Je pense qu'il ne s'y attendait pas du tout. Mais il adorait Harry. Et j'étais heureux, c'est tout ce qui comptait pour lui. Il avait vu l'après Harry. Je pense qu'il ne s'y attendait pas encore. Surtout après tout le temps qui m'a fallu pour m'en remettre.
- Oh Louis ! C'est super ! Fit Sallie.
Mon père s'approcha de moi, me prit dans ses bras et me chuchota :
- Je sais à quel point ça été dur pour toi cette histoire. J'ai vu les tweets. Je suis fière de toi, de qui tu es devenu, que tu t'assumes. Le fils que j'ai adopté a bien grandi, tu es devenu un homme bon, fort et talentueux. Même si tu n'es pas de mon sang, tu resteras toujours mon fils. Si Harry et toi voulez réessayer, il faut foncer. La vie est trop courte. Ta mère serait fière de toi. Elle me manque. Harry a toujours su te rendre heureux. Alors sois-le, avec lui. Je t'aime fils.
- Oh papa. Moi aussi, je t'aime. Merci, pour tout.
Nous nous séparâmes. Ce câlin était le plus émouvant de ma vie. J'aimais mon père plus que tout. Il était le seul parent qu'il me restait.
- Harry, viens là. » L'appela mon père.
Il s'exécuta. Alors mon papa le prit dans ses bras aussi. Et lui chuchota quelque chose que je n'entendis pas.
-Harry-
« - Harry, je sais que tu es revenu pour de bonnes raisons, que tu aimes mon fils plus que tout et que tu ne le blesseras pas. Mais je t'en conjure, ne lui fais pas de mal. Prends soin de lui. Il t'aime aussi plus que tout. C'est en partie grâce à toi qu'il se montre comme cela au grand jour. Rends-le heureux, comme il sera le faire aussi.
- Je le ferais Monsieur Tomlinson.
- Mark, appelle-moi Mark, Harry.
- Oui, Mark.
- Sois de nouveau bienvenu dans la famille Harry.
Louis plus loin me regardait avec amour. J'étais fou de cet homme. Ce qu'il se passait depuis dix-sept heures était incroyable, irréalisable, tel un rêve, un mirage.
- Vous n'allez quand même pas rester ici toute la soirée ? Demanda Sallie. Rentrez-vous mettre au chaud.
Nous la suivîmes sans broncher.
- Nous allons nous coucher, Sallie et moi. Bonne nuit les filles.
- Bonne nuit Papa et Sallie ! Dirent Phoebe et Daisy en cœur.
- Bonne nuit les garçons.
- Bonne nuit Papa.
- Bonne nuit Mark.
Quand ils furent partis, Daisy se mit à bâiller. Phoebe était sur son téléphone. Je regardais Louis. Et maintenant, qu'allait-il se passer ?
- Je vais aussi aller me coucher, désolée. S'excusa Daisy. Tu seras toujours là demain Hazza ? Demanda-t-elle.
- Oui. Dis-je en souriant, puis regardant de nouveau Louis.
Je ne pouvais pas détacher mon regard de lui.
- Super, j'avais peur de ne pas pouvoir discuter avec toi. Bon, bah, je vais aller dormir. Bonne nuit. À demain.
- Bonne nuit Daisy. Nous fîmes tous les trois.
Phoebe alla dans la cuisine se faire une tisane.
- Je suis tellement contente pour vous. Je ne vais aussi pas tarder, je me fais ma tisane et ensuite, je monte regarder une petite série avant de dormir. Comme ça, vous pourrez avoir un peu d'intimité. Chuchota-t-elle nous faisant un clin d'œil plein de sous-entendus.
Louis piqua un fard à l'entente de ces mots. Quant à moi, elle me fit rire.
- Dac. Dis-je. Dors bien Phebs.
- Dors bien petite sœur. » Fit Louis.
Louis alla jusque dans l'entrée pour récupérer les clefs de la dépendance. Comme cela, nous serions tranquilles, comme au bon vieux temps.
Wow. Cela me rendait nostalgique. J'avais plein de flash-back.
Il me fit son petit sourire habituel, complètement craquant. Je fondais face à sa petite bouille.
Je le suivais repassant par l'extérieur, mais cette fois-ci par la porte de la véranda intérieure, que Louis s'empressa de fermer derrière lui. On ne sait jamais.
Devant la dépendance, il déverrouilla la porte. À peine rentré, je me jetais sur le lit. J'étais crevé. Étalé comme une étoile de mer, je regardais le plafond. Louis apparut au-dessus de moi.
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« - Tu veux prendre une douche ? Me demanda-t-il.
- Hum... Pourquoi pas. » Dis-je avec un sourire rêveur.
Ni une, ni deux, Louis balança son pull par terre et partit en direction de la salle de bain de la dépendance. Elle contenait une petite pièce de séjour avec table, chaises, petite cuisine d'appoint, un canapé et une télé. Une autre pièce avec le lit et une commode qui donnait sur la salle de bain privée. C'était là qu'était Louis.
Je ne le reconnaissais pas à être autant sans gêne. Où était passé le Lou tout réservé, en retrait ? Cela me donna des idées. Et puis... Je ne pouvais pas laisser passer ça. C'était quand même de Louis nu dont on parlait.
Ni une, ni deux, je le suivis.
Louis à l'intérieur de la pièce n'avait déjà plus que son bas. Je louchais sur son torse. Il était plus mince qu'avant. J'espère qu'il allait bien. Il avait changé et en même temps, il était le même, toujours aussi sexy.
« - Attention, tu baves. Me dit-il.
- Tu feras moins le malin après ça. Dis-je en lui faisant un clin d'œil.
J'entrepris d'enlever mon t-shirt, ma veste étant restée sur le lit. Le froid de mon collier de perles touchait ma peau, me faisant frissonner.
- C'est moi qui te fais réagir comme ça ?
- C'est beau de rêver. Lui dis-je en tirant la langue.
Ses yeux devinrent tout de suite bien plus noirs. Il était excité. Cela tombait bien, moi aussi. Mon pantalon en camelle me serrait. Je regrettais presque de l'avoir mis. Louis dans son jean à la coupe décontractée était à se damner. Il s'approcha de moi, posa sa main sur mon torse. Il pencha sa tête pour me chuchoter.
- Le temps a passé, mais tu es toujours aussi magnifique.
Je sentis mes joues rosirent légèrement.
Merde. Reprends-toi.
Je me baissais à mon tour pour lui répondre de la même manière.
- Toi aussi. Tu es très... sexy.
Louis prit d'une pulsion déboutonna son jean pour le faire tomber au sol. Je ne pus s'empêcher de regarder plus bas que son torse. Je voyais l'effet que je lui faisais, cela gonfla mon ego. J'avais chaud. Mes cheveux étaient retombés avec l'ambiance torride qui se dégageait de la pièce.
- Ce n'est pas très égalitaire tout ça. Dit Louis avec un sourire carnassier.
Il avait faim.
- Je n'ai rien demandé.
Alors qu'il faisait mine de reprendre son jean, je le coupais.
- Mais c'est loin de me déplaire. » Dis-je de ma voix rauque.
Moi aussi, j'avais faim.
Louis alors se dirigea vers moi pour déboutonner à mon tour mon pantalon. Je me laissais faire. Quand je sentis la main de Louis m'effleurer le sexe à travers le tissu, je dû me retenir de gémir. Je soufflais. La tension sexuelle entre nous était toujours là. Mon pantalon à mes pieds, Louis remonta pour m'embrasser avec passion. Je gémis contre ses lèvres, sa langue rentra dans ma bouche pour une danse des plus torride. Quand je pensais pouvoir reprendre mon souffle, il ne me laissa pas de répit, descendant plus bas. Il m'arracha mon caleçon, pour prendre en main mon pénis bien tendu.
Merde. J'avais chaud, trop chaud.
Il commença à me branler. Ma tête se cogna contre le mur en allant en arrière.
« - Ça va ? Tu n'as rien ? Me demanda Louis inquiet.
- Non, c'est bon, ça va. Dis-je en me touchant la tête. Continues. Lui ordonnais-je.
- Bah, alors, on est pressé ? On aime ce que je fais ? » Me taquina-t-il d'un sourire pervers.
Alors que j'allais rétorquer quelque chose, il me prit entièrement dans sa bouche. Je crus défaillir.
Wow. Cet homme était fou.
Je n'étais plus là. La tête arquée, les paupières fermées, je gémissais de plus en plus. Et alors que je prenais déjà mon pied comme un fou, il se mit à caresser mes testicules.
Oh mon Dieu.
Je n'allais plus tenir très longtemps. Pourquoi était-il si doué ? Trop doué.
Et alors que j'allais venir, il s'arrêta. J'étais si frustré, je le fusillais du regard.
« - Plus tard. Gardons-nous, pour après. » Me dit-il avec un regard lubrique.
Ok. J'entrepris de lui enlever ses derniers vêtements. Chaussettes et caleçons rejoignirent les autres sur le sol. J'en fis de même et poussais Louis dans la douche. J'allumais l'eau. Le froid nous fit hurler et presque totalement partir la chaleur entre nous. Mais très vite, j'ai repris le contrôle. Je plaquais Louis contre le mur glacial pour l'embrasser dans le cou. Je le mordillais et le léchais après. Je m'amusais à entendre ses soupirs de bien-être. J'étais fier. Je bouffais sa bouche. Son regard était totalement noir. Ma main se promena sur son torse pour finir autour de son pénis. Sous l'eau enfin chaude, j'entamais des mouvements qui devaient lui convenir vu les bruits sortant de sa bouche.
On se toucha plus qu'on ne se doucha. Quand la pression se fit plus forte que jamais, nous coururent presque au lit. Heureusement pour nous, comme si nous avions prédit cette nuit, nous nous étions fait plus tôt chacun un lavement.
Sur le lit, j'enjambais Louis pour le chevaucher. Nos bites se touchèrent, nous provoquant un râle.
Oh mon Dieu.
Voir les yeux de Louis se révulser comme ça, c'était une vision à se damner. J'en étais retourné. Je me jetais sur ses lèvres pour l'embrasser avec fougue. Louis s'arrêta.
« - Pas que je ne te fasse pas confiance, au contraire. Mais comme ça fait longtemps qu'on ne l'a pas fait et qu'on a eu des partenaires entre-temps. J'aimerais qu'on se protège et qu'on aille se faire tester au plus vite.
- Ne t'inquiète pas, je sais que tu as confiance, comme moi, je l'ai, confiance en toi. Je suis d'accord avec toi, allons-nous faire tester. Je voulais aussi te dire que je prends la PrEP.
- Oh. C'est bien. Depuis longtemps ?
- Deux ans. Comme cela, je prenais le moins de risque d'attraper le VIH.
- Tu as bien fait. Il s'arrêta, baissant la tête. Désolé d'avoir cassé l'ambiance.
Je pris son visage dans ma main le remontant à ma hauteur.
- Tu n'as rien cassé du tout. Ce sont des sujets importants, surtout quand on s'apprête à coucher ensemble. D'ailleurs, on aurait même dû mettre une capote tout à l'heure, lors de nos rapports oraux.
- C'est vrai...
- Eh. Ce n'est pas grave. Enfin, si, mais ce que je veux dire, c'est que tu n'as rien cassé. Louis regarde-moi.
Ce qu'il finit par faire.
- Louis, j'ai envie de toi.
Il eut un frisson. Son sourire revient et son excitation plus bas aussi.
- Moi aussi Harry, si tu savais...
Je pris une bouteille de lubrifiant. Je m'étais lavé les mains juste avant. J'en appliquais généreusement sur mes doigts. Mettant ma main près de d'anus de Louis, je lui demandais.
- Je peux te préparer Lou ?
- Oui, tu peux.
- Ok, je vais mettre un doigt. Le prévenais-je.
J'enfonçais mon index. Tout de suite, je cherchais sa prostate. Je mis un moment à la trouver, ne connaissant plus totalement par cœur le corps de Louis. Quand je fus dessus, Louis eut un hoquet, puis il se mit à gémir fortement. J'étais fière. Mon pénis tressautait de désir. Je tremblais d'impatience. J'en avais tellement envie. Au bout de quelques doigts et de nombreux va-et-vient, ainsi que de caresses sur son pénis, j'estimais que Louis était prêt. Je lui demandais quand même pour être sûr.
- Tu te sens prêt Lou ?
Les cheveux trempés collés aux draps, le visage rouge, le souffle saccadé, il m'en regarda. Il était si sexy...
- Harry, prends moi.
À l'entente de ces mots, ce fut à moi d'avoir le regard d'un noir intense. Mes pupilles se dilatèrent d'excitation. Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je pris un préservatif, je l'ouvris et le mis dans le bon sens. Je le déroulais sur mon sexe qui mourait d'impatience. Devant l'entrée de Louis, je fis un signe de la tête, demandant si je pouvais y aller. Il hocha la sienne. Alors je rentrais doucement, puis voyant qu'il réagissait bien, j'entrais jusqu'à la garde. Le visage de Louis était contracté de douleur. Je détestais cela. Mais très vite, il fit des mouvements de bassins, m'incitant à faire des va-et-vient. Ce que j'entrepris de faire. Dans la pièce, nous entendions plus que nos respirations saccadées, nos gémissements et des frictions de peaux. Mes cuisses claquaient contre la peau de ses fesses, faisant un bruit terriblement vulgaire et sexy. Louis tremblait de plus en plus. Prit d'une pulsion, il attrapa ma main et la serra fort dans la sienne. Puis, il m'attira vers lui pour que je l'embrasse. Je sentais l'homme sous moi que j'aimais plus que tout partir dans la jouissance, cela me rendait dingue. La tête en arrière, les yeux révulsés et les bruits tantôt rauques, tantôt aigus qui sortaient de sa bouche étaient la tentation suprême. Moi-même je ne savais plus trop ce que je faisais. Je n'étais plus que gémissements et grognements. Quand Louis se resserra autour de mon sexe, je crus mourir de plaisir. Il jouit alors fortement sur son propre torse.
Louis !
Je jouis aussi, emporté par les émotions.
Wow.
Louis contre moi essaya de reprendre son souffle. J'enlevais le préservatif pour le jeter dans la poubelle dans la cuisine. Quand je reviens dans la chambre, il était à la fenêtre en train de fumer. J'entourais mes bras autour de lui. Il souffla dehors, puis m'embrassa. Je crois qu'il n'y a pas plus réconfortant que la cigarette d'après-sexe et les câlins. Il reprit une taffe, avant de coller son front contre le mien.
- Je t'aime.
- Moi aussi. » Lui répondis-je.
Il écrasa sa cigarette quasiment consumée. Puis me tira au lit. Nous nous câlinions quelques minutes avant de sombrer dans les bras de Morphée, heureux, amoureux.
Merci @nbksag ❤️
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