XVIII - Adore You
Bonsoiiiiir tout le monde ! 🤩
Tout d'abord je voulais vous souhaiter un joyeux Halloween ! 👻🎃
J'espère que vous allez bien ☺️
Ce chapitre est l'un des plus longs qui m'est été d'écrire 📝
J'espère qu'il vous plaira 🥰
Bonne lecture et bonne soirée 😘
Saphira 💙
Chapitre 18 – Adore You
-Harry-
C'est avec tristesse que je découvrais la lettre pleine de doutes de Louis. Avais-je bien fait de revenir ici ? N'aurais-je pas dû rester aux États-Unis ?
Non, Harry. Bien évidemment que non.
Si je continuais à tergiverser comme tel, forcément que j'allais commencer à douter, de moi-même, de Louis, de nous, de tout. C'était hors de question. En plus, je connaissais très bien la réponse. Cela en valait la peine. C'est juste terriblement terrifiant. Mais nous devons sauter dans le vide, lui et moi. Nous ne saurons jamais au final si ça finira bien. Mais j'ai envie d'y croire. Car à mes yeux, Louis est mon évidence. Il est l'homme que j'aime et que j'ai le plus aimé sur cette terre. Cela devrait compter, non ?
Néanmoins, j'avais toujours cette boule au ventre, qui roulait sur mon estomac. J'en étais mal. Mes mains tremblaient légèrement. J'étais mort de trouille.
C'est bien beau de se dire de belles paroles, si tu n'en es pas capable Harry.
J'étais dur avec moi-même. Pourtant, je n'avais pas envie d'aller à Princess Park, tout de suite. Je passais pour un lâche, surtout après tous ces mois où Louis s'est ouvert à moi, pour me retrouver. Ne méritait pas de me voir. En même temps, une grande partie de moi n'était pas prête. J'espérais qu'il le comprendrait. Je fuyais de nouveau, me réfugiant dans les tournures de phrase, l'encre et le papier.
À mon ancienne habitude, à Louis, à ma future nouvelle habitude,
Louis. Stop. Tu ne peux pas dire ça. Certes, j'avais beaucoup de rancœur, mais avec le temps, je m'étais rendu à l'évidence. Aucun de nous n'est fautif. Bien évidemment, nous avons nos torts. Au final, c'est juste la vie et la cruauté de ses épreuves. Tu sais pourtant mieux que moi que c'est dû au management, à Simon et tout le reste. Nous étions si jeunes, surtout moi tout juste âgé de seize ans. Nous ne devons pas nous en vouloir, puisque nous prenons nos responsabilités aujourd'hui. Nous, nous sommes excusés, avons communiqué. En ce jour, nous avons avancé comme jamais auparavant. Et je me laisse rêver à un avenir auprès de toi.
J'aimerais que tu puisses voir comment je te perçois. Arrête de te dénigrer Lou. Tu es magnifique, talentueux, noble, intelligent et surtout charmant. Ce n'est pas pour rien si aujourd'hui, je suis en Angleterre.
Je ne le suis plus, je ne suis plus dehors Louis. Tu te trouves des excuses, car maintenant, que je suis là, la vérité nous rattrape. Tu as peur, car nous allons devoir lâcher le papier et se voir en vrai. Mais moi aussi, je suis terrifié à l'idée de te parler, te voir et te toucher, si tu me le permets. Pourquoi crois-tu que je ne suis pas rentré directement chez nous et que je croupis dans une chambre d'hôtel ?
Toi aussi, tu me manques toi et ton cœur addictif ! J'aimerais tant te serrer dans mes bras, entendre ton accent british incompréhensible, parfois, j'en viens même à douter que nous venons du même pays. Tes pulls avec ton parfum, ainsi que les cigarettes que tu as l'habitude de fumer me manquent. J'ai besoin de t'entendre râler le matin. Je veux apprendre à connaître l'homme que tu es devenu, ce chanteur accompli, ce père... Je suis prêt de nouveau à t'aimer. Ne me rejette pas si près du but. Ne fuis pas. N'aie pas peur, puisque nous traverserons cela à deux. Et c'est tout ce qui compte : être ensemble.
Je te répondrais par tes propres mots : « Tu es l'habitude que je ne peux casser. Tu es le sentiment que je peux lâcher. Tu es le frisson que je peux secouer. Tu es l'habitude que je ne peux casser. Tu es à la hauteur dont j'ai besoin maintenant. »
Certes, j'étais frustré avant, de te voir avancer si lentement. Mais c'était à ton rythme. J'ai pris aussi du temps à réaliser, que tu avais besoin de suivre ta propre voie, ta propre allure. Les années ont bien fait leur travail. Tu es devenu un homme incroyable. Bien évidemment, tu l'étais déjà. Sinon tu n'aurais jamais été mon premier réel crush. Louis, je n'ai jamais autant été amoureux de quelqu'un dans ma vie. Tu es mon tout Lou. Alors te voir comme ça t'assumer, briller de mille feux, ça me rend toute chose. Je ne peux pas t'assurer que je ne pleurerais pas avant la fin de cette lettre, ni même après.
Le management avait fini par assassiner les adolescents que nous étions, aucun de nous cinq n'avait été épargné, non pas un seul. Cela me rend triste d'y penser. Au final, même si les années One Direction ont été incroyables et ont débouché sur énormément de positifs et une communauté en or, ce furent les années les plus stressantes et tristes de ma vie. Mais tu étais là, comme un pilier, un roc. L'homme de ma vie. J'en étais persuadé, Il avec un grand I.
Mais aujourd'hui, le contrat va bientôt se terminer Louis. Tu ne seras bientôt plus obligé de jouer un rôle. Envole-toi Louis ! Sois qui tu veux être ! Emmerde le monde !
Oui, le temps est passé terriblement, vite...
Moi aussi, j'aurais toujours besoin de toi. Toi aussi, tu es l'habitude que je ne peux casser. Tu es le sentiment que je ne peux lâcher. Tu es le frisson que je peux secouer. Tu es la hauteur dont j'ai besoin maintenant.
On ne peut pas revenir en arrière Louis. Ne jugeons pas le passé et concentrons-nous sur le présent, notre présent à tous les deux. N'était-ce pas ce que tu voulais, nous deux de nouveau réuni, ensemble, plus uni que jamais ?
Moi aussi, je suis désolé. Mais ne ressassons plus tout ça. Nous en avons bien assez parlé dans nos précédentes lettres, non ?
Moi aussi, je suis mieux avec toi, Lou.
Tu me manques aussi Louis...
Car, oui, toi aussi, Harry, tu es mon habitude.
Hazza
-Louis-
Recevoir ses lettres, les lire avec attention, y répondre aussi soigneusement, attendre une réponse à ces dernières, je m'étais habitué à cette routine. Elle avait fini par me convenir. Contrairement à Harry, je prenais du plaisir à accomplir certains rituels, et cette correspondance en faisait partie. Depuis que je m'étais repris en mains, je me levais vers huit heures, je faisais couler mon café, bien noir, sortait mon classique paquet de Marlboro. Ensuite, pendant que la cafetière broyait les grains, j'ouvrais ma porte d'entrée, espérant ne pas me faire prendre en photo par les paparazzis comme presque tous les matins. J'aurais pu déménager, partir loin, dans un coin plus discret. Mais je ne pouvais me résonner à quitter Londres. C'était ma ville de cœur après, bien évidemment, Doncaster.
Ensuite, je sortais, donc, allant chercher le courrier, dans l'espoir d'y trouver une lettre d'Harry. Lui, est loin d'aimer tout ça. Contrairement à moi, il aime plus l'aventure, le changement, même s'il peut apprécier cette routine. Hazza a besoin dans sa vie, à des moments, de remettre les pendules à l'heure, tout reprendre à zéro. Revenir aux sources, appliquer certains rituels le rassure, comme moi. Comme quoi, même dans nos différences, nous, nous ressemblons.
Ce matin, comme les autres depuis décembre dernier, j'avais effectué mon petit train-train quotidien, j'étais alors tombé sur la lettre d'Harry. Avant j'aurais été excité, stressé, euphorique, triste, en colère... Mais aujourd'hui, aucune de ces émotions me traversaient. J'étais simplement satisfait. Je savourais lors de ma lecture matinale ces mots. Je ressentais cette connexion inexplicable. J'étais bizarrement optimiste ces dernières semaines. J'avais foi. Malgré les années, j'avais l'impression que le Harry plus adulte me plaisait tout autant, si ce n'est plus. L'alchimie était toujours là. Même si j'appréhendais toujours un peu notre première rencontre physique depuis les enterrements de Maman et Fizzy, j'étais plus confiant que jamais. Le doute s'était sûrement envolé. Et c'était tant mieux.
Alors, oui, ce matin, mon café d'un noir intense me sembla parfait. Ma cigarette m'apporta un sentiment immense de bien-être. La lettre d'Harry fit le reste. J'étais bien. Je sortis mon stylo, une belle feuille, ainsi que son enveloppe assortit et je me mis naturellement à écrire.
Harry,
Tout ce que tu as pu dire dans ta lettre est très juste.
Moi aussi, je me laisse rêver à un avenir auprès de toi.
Je ne peux pas te promettre que j'arrêterais de me dénigrer, mais je vais essayer. Mais toi aussi, tu dois le faire.
Je suis tellement touché et ému de te savoir, ici, en Angleterre.
C'est vrai, je me cherche des excuses. Peut-être pourrions-nous commencer par nous voir dans un terrain neutre, comme un café, plutôt qu'aller à Princess Park qui renferme trop de souvenirs ? Je ne veux plus avoir peur Harry. Non, je ne veux plus, car tu as traversé l'Océan pour moi. Nous appréhendons, mais il faudra bien faire ce premier pas. Le feras-tu avec moi ?
Puisque tu veux apprendre à connaître l'homme que je suis devenu, je te laisserais rentrer de nouveau dans mon monde, qui a bien changé ces dernières années. Je suis prêt de nouveau à m'ouvrir à toi. Comme tu es prêt à t'aimer une fois de plus. Une deuxième chance. Je ne peux pas te rejeter, pas après tous ces efforts. C'est dur, mais nous y arriverons, j'y arriverais. Car tu as encore raison, « nous traverserons cela à deux, et c'est tout ce qui compte : être ensemble. ».
Maintenant, que nous marchons au même rythme, me prendras-tu la main ?
Toi aussi, tu es un homme incroyable, Hazza. Moi aussi, je n'ai jamais autant été amoureux de quelqu'un dans ma vie.
Ne pleure pas Harry. Tout ira bien.
C'est vrai que ces années One Direction étaient tristement les pires de nos vies. J'aimerais un jour qu'on puisse se réunir tous les cinq, comme au bon vieux temps. Mais malheureusement, c'est impossible. Il faudrait un miracle pour que Zayn accepte de nous revoir.
Tu vois, j'avais oublié cette date si importante, la fin de mon contrat ? Pourtant, je l'avais marqué en rouge sur mon carnet. Tu sais que même si je suis bordélique, je suis bizarrement organisé, analyste. J'aime décortiquer les choses.
T'entendre siffloter pendant que tu fais la vaisselle ou la cuisine me manque, comme ton odeur après la douche, ou quand tu venais, les rares fois, fumer avec moi, l'aube se levant. Tu sais, ces matins où nous étions embrumés, où tu ne cessais de parler, de disserté sur le monde, je te rejoignais, adorant débattre. Tous ces moments-là, ils me manquent...
Si, bien sûr, que c'est ce que je veux, nous deux de nouveau réunis, ensemble, plus uni que jamais. Je meurs d'envie.
Oui, nous en avons bien assez parlé dans nos précédentes lettres. La tienne est tellement juste.
Redis-moi pour ce café.
Lou
*
Louis,
Je réponds d'abord à ta lettre, puis j'enchaînerais par mes pensées.
Oui, je le ferais, Louis. Je ferais ce premier pas. Je suis pour qu'on se retrouve dans un environnement neutre comme un café. Que nous conseilles-tu ?
Je suis touché que tu sois prêt à t'ouvrir et m'offrir ton monde intérieur. Je sais parfaitement comme il est difficile pour toi de te dévoiler. Tu as toujours cette même carapace, cette armure de métal.
Une deuxième chance. Aujourd'hui, c'est ce que nous, nous offrons. Ne la gâchons pas. Mais j'ai foi en nous. Nous y arriverons comme tu l'as dit.
Bien évidemment que je te prendrais la main Louis.
J'ai bien peur, que comme tu l'as dit, nos retrouvailles, tous les cinq, ne soit impossible. Moi aussi, parfois, j'en viens à en rêver. En plus, cela ferait énormément d'heureux. Qui sait, peut-être qu'un jour par miracle, on boira une bière ou un café autour d'une table, tous les cinq.
Oui, je sais à quel point tu peux être sérieux. Tu planifies tout, analyse. Ton ambition m'a toujours impressionné. Tu peux être fière de qui tu es devenu et de ce que tu as accompli aujourd'hui.
Moi aussi, ces instants de vie à tes côtés me manquent terriblement...
J'enchaîne avec toutes ces choses dont je voulais te parler, Lou. Tous ces mots que j'ai mis en chanson, car je ne pouvais plus te les dire en face...
« Avec toi, notre monde est tel un paradis. J'adore me perdre dans tes yeux. Je pourrais le faire pendant des heures. J'espère que tu me crois. Car je suis on ne peut plus sincère.
Tu n'es pas obligé de dire que tu m'aimes. Tu n'es même pas obligé de me répondre. Tu pourrais te contenter de ne rien dire que ça m'irait. J'ai compris à force que si l'on voulait un jour se ré aimer comme on l'avait fait, je devrai aller à ton rythme. Et ne pas te brusquer comme je l'avais fait cette fois-là.
Alors, tu n'es pas obligé de dire que tu es à moi. Que tu es avec moi. Mais tu vois Louis, je traverserai le feu pour toi. Laisse-moi t'adorer. Te montrer l'amour que j'ai pour toi. L'amour que je n'ai finalement jamais cessé de te porter. Alors laisse-moi t'adorer comme si c'était la seule chose que je ferais de ma vie.
Que pourrais-je faire d'autres ?
Tu es mon tout Lou. Tu n'es pas obligé de dire que tu m'aimes.
Sache juste que dernièrement, je pense à toi, tout le temps. Tu hantes mes pensées.
Je traverserai un océan pour toi, pour te retrouver tel Louis The Fish. »
Comme je te l'ai dit plutôt tu n'es même pas obligé de me répondre.
Harry
P.S. tu peux m'envoyer un sms avec le lieu du café en question, l'heure et le jour où tu voudrais que l'on se voit.
Au contraire Harry... Je suis prêt à crier que je t'aime, que je suis avec toi, que tu es l'homme de ma vie ! Oui, je ne suis pas obligé. Donc, il faut que tu comprennes qu'aujourd'hui, je suis là, que je ne compte pas partir. J'assume complètement ma bisexualité. Même si ça avait toujours été compliqué... Me dire que j'aimais les hommes. Puisqu'il y a surtout un seul homme que j'aime plus que tout, et cet homme, c'est toi Harry.
Avait-il réellement peur que je m'enfuie, que je ne prenne pas mes responsabilités, que je ne l'aime pas comme il devrait être aimé ? Ou alors étaient-ce mes propres peurs ? Les siennes ?
Non. Cela ne pouvait pas être possible. Harry était bien trop ouvert pour douter de nous, moi, non ?
Hazza,
Et pourquoi pas, si nous faisons face à notre passé, n'irions-nous pas au « Beechwood cafe ». Tu sais parfaitement ce qu'il représente, et pour moi, et pour notre couple. Je sais que cela fera remonter plein de souvenirs, et que c'est loin de Londres. Mais ce lieu m'a semblé comme une évidence, tu ne crois pas ?
Il n'y a aucun doute, le temps est passé, mais tu me connais toujours par cœur.
Non, ne la gâchons surtout pas. Depuis que je t'ai rencontré, j'ai senti que le monde avait changé. Et depuis que tu m'as tendu la main et accepté de faire ce pas vers moi, maintenant tout semble différent. Je veux croire en toi. Je veux croire en nous.
Peut-être Haz', ce serait si bien. Même si on a eu nos différents, surtout avec Zayn, j'aimerais retrouver mes potes.
Arrête d'être aussi flatteur, tu n'es pas les mêmes qualités, mais tu n'as rien à m'envier. N'en doute pas. Tu es exceptionnel. Tu es l'homme qui a le plus bouleversé ma vie, dans un sens positif. Harry, je ne sais pas si tu te rends compte d'à quel point tu m'as fait comprendre la vie, l'aimer, l'apprécier, même au plus bas. Si je suis comme ça aujourd'hui, c'est en partie grâce à toi.
Sauf qu'Harry cela fait bien longtemps que je n'ai pas goûté au paradis. Plus depuis que l'on s'est quitté du moins, si on oublie Freddie. Mais comment oublier l'être le plus précieux à mes yeux. Certes, je ne pas profiter de la grossesse de Briana, et ce n'est pas comme si j'avais eu des sentiments pour elle. Ce jour-là, c'était comme la naissance d'héros, acclamé sous les bravos. Dieu que c'était beau. Quand il a crié sorti des eaux, j'ai su. La Terre tourne. Oh, Dieu que c'est beau. J'admirais mon fils, ce tout petit être sur le ventre de Briana. Quand je l'ai pris dans mes bras, j'avais peur de le briser. Je savais que le reste de ma vie, toutes mes pensées iraient à lui. Il est mon monde à présent. J'aimerais tant que tu le rencontres.
Comme j'adore me perdre dans tes yeux, de leur magnifique vert. Je pourrais aussi le faire pendant des heures.
Moi aussi, je suis on ne peut plus sincère. Je ne pourrais pas te mentir sur ce genre de choses, surtout pas l'amour que je te porte.
Je ne suis pas obligé, non. C'est pour cela que tu dois lire ces mots avec la plus grande attention. Je t'aime Harry. Même si on ne s'est pas encore revu, regarder, toucher de nouveau et parler de vive voix. Peut-être qu'en se voyant, finalement, il ne se passera rien et on se sera fourvoyé. Mais je n'y crois pas. Du moins, je n'ai pas envie d'y croire. Je pense que quand je pourrais de nouveau te serrer dans mes bras, tout sera comme avant, même en mieux.
Mais je ne dis pas rien Haz'. Je suis là, à t'écrire, car toute cette histoire est importante. Tu es important.
Mon rythme va très bien, Harry. Tu n'as plus à t'en préoccuper. Fonce ! Tu ne me brusqueras pas. Et puis, nous n'allons pas revenir encore une énième fois sur cette nuit. C'est bon, non ? On en a déjà assez parlé avec ta chanson « Falling » et la lettre. Tu ne crois pas ?
De toute façon, nous n'appartenons à personne. Nous nous aimons juste du plus bel et pure amour que l'on peut ressentir. C'est pour toi, uniquement toi que je ressens ça. Tu comprends ?
Moi aussi Harry, je traverserai le feu pour toi. Alors, laisse-moi t'adorer, en retour. Te montrer l'amour que j'ai pour toi. L'amour que je n'ai finalement jamais cessé de te porter. Alors laisse-moi t'adorer comme si c'était la seule chose que je ferais de ma vie. Je le ferais aussi, comme toi, tu le fais de nouveau.
Que pourrions-nous faire d'autres ?
Comme tu es mon tout, Hazza. Je ne suis pas obligé de dire que je t'aime, mais je t'aime. C'est la vérité.
Moi aussi, je pense à toi, tout le temps. Tu hantes mes pensées. Mais ce ne sont pas que ces derniers temps.
Et tu l'as traversé cet océan, le Pacifique, pour moi. C'est l'une des plus belles preuves que l'on est pu me faire. Alors, n'aie plus peur et rentre vraiment à la maison.
Louis
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