Épisode 21 : Sexe sans capote

Qu'est-ce que c'est intense quand c'est toi.

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ADRIEN

Lorsque je me réveille, je tourne immédiatement la tête et mon cœur s'apaise en la voyant, allongée là, à côté de moi. Elle n'est pas partie, elle est encore là. Tout mon corps se relâche et je viens délicatement la prendre dans mes bras.

J'entends un gémissement de sa part qui me fait sourire et je glisse mon visage dans son cou et y dépose un baiser.

- bonjour princesse... Je lui souffle contre la peau de son cou.

******** Sex Time *********

- Mhm.. Je l'entends gémir alors que je glisse une de mes mains vers sa partie intime.

Sous ce drap, elle est entièrement moi nue, et moi aussi. La nuit dernière à été calme, pourtant.

- réveille-toi, princesse. Je lui chuchote contre l'oreille.

Doucement, je glisse deux de mes doigts entres ses lèvres génitales et insère un doigt en elle, tandis que l'autre s'occupe d'appuyer contre son clitoris en faisant des mouvements circulaires. Elle entrouvre la bouche pour lâcher un soupire et écarte un peu les jambes.

- ooh... Souffle-t-elle en passant un de ses bras en arrière.

Glissant ainsi ses doigts dans mes cheveux, je colle son dos contre mon torse, tandis qu'elle se cambre. Je commence à mouvoir mes doigts en elle, en continuant de stimuler son clitoris. Elle est trempée.

Il faut chaud. Bon sang !

J'embrasse la peau de son cou tendrement en suçant plus hargneusement sa peau. Son parfum émane de son corps et me transporte dans un autre monde. A certain moment, elle tire un peu sur la racine de mes cheveux quand je rentre plus profondément en elle, et c'est vraiment très excitant.

- ooh Adrien... Soupire-t-elle en se cambrant.

- je sais princesse. Je lui réponds doucement en souriant narquoisement.

Elle aime ça, et je le sais. Ça me fait même très plaisir de savoir que je peux lui procurer autant de plaisir. C'est jouissif de la voir dans un état pareil.

Dans ce genre de moments, la Marinette que je connais relâche ses défenses et me délivre son corps et ses sentiments à cœur ouvert.

Ainsi, je deviens l'homme le plus heureux du monde tandis que je sens ses parois se resserrer autour de mes doigts. Mais, j'accélère la cadence. J'ai envie de la voir perdre le contrôle. Ce matin, je veux qu'elle explose dans mes bras, encore une fois.

- hmm... Ad-Adrien... ooh... Gémit-elle en ouvrant la bouche en O. S-Surtout... N-ne t'arrê...te... pas... Souffle-t-elle.

Avec mon autre main, j'empoigne son autre sein et me met à lui malaxer en pinçant son téton avec son pouce et mon majeur. Son plaisir semble augmente car, je sens son corps tressaillir contre moi. Elle se resserre autour de mes doigts, mais je ne m'arrête pas.

Allez Marinette, vient à moi. Reviens-moi, comme avant.

Ma bleuté tourne son visage et s'empare brusquement de mes lèvres en jouissant. Elle gémit dans ma bouche, mais le son est atténué par nos lèvres emboitées. Je souris contre ses lèvres en répondant à son baiser, langoureusement.

Peu à peu, je ralentis la cadence et quand je retire mes doigts pour de bon, je sens l'humidité dessus. Sa cyprine.

Marinette décolle ses lèvres des miennes en plongeant son regard dans le mien.

- p-pourquoi ? Me demande-t-elle d'une voix essoufflée.

- parce que j'en avais envie. Je lui réponds en esquissant un sourire.

- euh... bah merci. Elle sourit timidement en rougissant.

- ça faisait longtemps, que je ne t'avais plus vue comme ça. Je lui avoue en me retournant pour récupérer un mouchoir du paquet posé sur la table de chevet.

Je m'essuie les doigts et après jeter le papier dans la poubelle juste à côté, je me retourne à nouveau vers Marinette.

Entre temps, elle s'est retournée vers moi et quand je me retourne j'ai à peine le temps de dire ouf, qu'elle me saute au cou et m'embrasse.

J'adore quand elle me saute dessus comme ça. Alors, je referme mes bras autour d'elle en l'embrassant. Aussitôt, elle se met en califourchon au-dessus de moi et penche sa tête vers la droit en rangeant avec sa main ses cheveux du côté gauche.

Elle descend ses baisers dans mon cou jusqu'à mon torse et inonde mes clavicules de baisers qui me font frissonner. Je sens une de ses mains glisser le long de mon torse, passant pas mes abdomen pour enfin arriver à ma virilité.

- j'ai envie de... te rendre... l'appareil. M'annonce-t-elle entre plusieurs baisers.

- fais-toi plaisir, princesse. Je suis tout à toi. Je lui réponds en prenant un ses seins -le droit-, dans ma main.

Elle sourit contre ma peau, j'en fais de même. Sa main s'empare peu de temps après de mon pénis, elle se met à agiter sa main lentement en caressant mon gland avec son pouce. Un plaisir divin m'envahit.

Putain, j'avais oublié ce que ça faisait quand c'était elle.

- humm.. ah ouais... Je grogne en empoignant plus férocement son sein droit.

En même temps, elle était en train de sucer la peau de mon cou et lorsque je resserre son sein dans ma main, ses lèvres quittent ma peau pour relâcher un gémissement de surprise et d'étonnement.

- doucement... Souffle-t-elle.

- désolé. Je m'excuse aussitôt d'une voix rauque alors qu'elle continue ses vas et vient.

La main qu'elle avait posé contre mon torse, remonte dans mon cou et elle relève la tête. Ma main droite continue de malaxer, mais plus tendrement son sein qui est d'une douceur comparable à de la soie.

Tout son corps est d'une douceur marquante. Même son regard est doux. C'est fou comme je l'aime.

- je t'aime, Adrien. Me dit-elle en me regardant intensément.

J'ai dû mal à maintenir son regard à cause des ses assauts sur mon pénis qui me prenne toute mon attention. Il y a longtemps que ses doigts ne s'étaient plus occupés de moi. Qu'est-ce que c'est bon quand c'est elle.

- m-moi aussi Mari'... Je... je t'aime ! Je soupire brusquement en quittant son sein pour empoigner sa hanche avec fort.

- tu es tellement beau dans cet état, chaton... Elle me souffle à l'oreille avec un sourire narquois.

Juste après, elle s'empare de mes lèvres alors que je me sens me tendre plus fermement sous ses doigts. Mon autre main se pose contre sa joue gauche et la caresse tendrement. J'avoue que je tremble un peu à cause de l'excitation dévastatrice qui ne tarde pas à m'avaler.

La jouissance m'assaille violemment et j'enfonce mon visage dans son cou en soupirant son nom. Inspirant au passage son odeur vanillé dont je suis dingue. Putain, qu'est-ce que c'est bon quand c'est elle qui le fait.

- bordel... Marinette... Je soupire dans son cou en jouissant.

- je t'aime. Me chuchote-t-elle.

Je jouis dans sa main. Elle se redresse alors que je suis encore tout essoufflé. J'ouvre néanmoins un peu les yeux pour la voir lécher sa main en me regardant ardemment.

- si tu continues à me regarder comme ça, je te prends ici et maintenant. Je lui annonce très sérieux.

- hmm... Et si c'était ce que je voulais ? Me demande-t-elle en avançant son visage à seulement quelques centimètres du miens en jouant l'innocente.

- Marinette... Je la mets en garde une dernière fois.

- prends-moi, Adrien, je t'en prie... Me supplie-t-elle en passant ses bras autour de mon cou. Je te veux en moi sur le champ. M'ordonne-t-elle.

Elle frotte son bassin contre le mien, et mon sexe réagit aussitôt à sa demande. Mon pénis se gorge à nouveau de sang alors que je viens à peine d'atteindre les nuages.

- putain Mari' ! Je soupire en prenant son visage entre mes mains en me jetant sur ses lèvres.

Comme un sauvage, je me redresse en l'embrassant. Elle me serre contre elle en répondant langoureusement à mon baiser. Quand elle m'embrasse, je perds la tête. Sa langue glisse si bien avec la mienne. Et nos lèvres s'emboitent merveilleusement bien. Bordel, je suis en extase.

A bout de souffle, on décolle nos lèvres. J'enroule mes bras autour d'elle et, elle prend mon visage en coupe avec les siennes.

- on devrait peut-être se calmer, tu ne penses pas ? Je lui demande essoufflé.

- non, j'ai envie de toi Adrien. Je veux que tu me fasses l'amour jusqu'à midi, et même toute la journée si tu veux... Me répond-t-elle en m'embrassant plus doucement.

- hmm.. Je gémis en l'embrassant.

Je décolle mes lèvres en reculant mon visage pour la regarder. Moi aussi, j'ai envie d'elle, je crève de ne pas être encore au fond d'elle, mais, elle n'a pas cours ?

- tu n'as pas lycée aujourd'hui ? Je lui demande.

- si mais on s'en fou. Allez... Adrien, s'il te plaît. Couine-t-elle en collant sa poitrine contre mon torse en me faisant basculer en arrière.

- Mari'... Je commence alors qu'elle m'embrasse le visage puis descend ses baisers dans mon cou. Tu ne devrais pas manquer les cours. Je lui dis en tentant de ne pas succomber sous ses lèvres.

- laisse... Adrien, oublie ça... Et concentre-toi sur moi. Me répond-t-elle en glissant sa main vers ma virilité pour finalement la prendre en main. T'es bandant en plus... et moi, je suis trempée. Allez, chaton baise-moi.

J'essaye de résister, mais sa voix sensuellement et ses mots... Puis, son corps, et la situation... Argh, tout est idéale pour une partie de jambe en l'air. Et surtout, Marinette qui me supplie de la prendre.

Ça n'est jamais arrivée qu'elle me supplie avec un tel engouement. Et, je mentirais si je disais ne pas aimer. Au contraire, j'adore.

- putain... Je grogne en prenant ses hanches et soulevant son bassin.

Elle tourne sa tête vers nos parties intimes et rentre mon pénis à l'intérieur d'elle.

- et la capote ? Je lui demande.

Aussitôt, elle tourne son visage vers moi et me regarde intensément. Elle pose son index sur ses lèvres pour me faire comprendre de me taire.

- chuut... On n'en a pas besoin. Elle souffle d'une voix remplie d'excitation.

Son regard est d'une intensité qui me laisse sans voix. Elle est puissante et tellement sexy comme ça. J'adore.

Je la regarde surpris alors qu'elle se redresse un peu, tandis que je suis en elle. Sans capote.

- t'es sûr de vouloir le faire sans protection ? Je lui demande une deuxième fois, incertain.

- oui, certaine. Elle me répond en prenant mon visage entre ses mains et approchant son visage du mien.

Je suis en elle, et pour le moment je n'ai toujours pas bougé. Je ne sais pas pourquoi, mais de le faire sans protection me repousse un peu.

- ça te dérange de le faire sans capote ? Elle me demande calmement.

- non, enfin je crois pas. Je te sens plus, et... c'est mieux. Mais c'est pour toi. Je la rassure. *

- moi, j'en veux plus. Elle déclare en m'embrassant rapidement.

Doucement, elle commence à bouger son bassin et c'est la que les première sensation se font ressentir. Je relâche un râle de plaisir quand elle accélère la cadence. C'est tellement bon.

Je suis submergée par le plaisir. Marinette plonge son visage sur mon épaule alors que je l'aide un peu à soulever ses hanches. Elle se met à gémir, comme moi.

L'atmosphère atteint son paroxysme, et je ne me peux m'empêcher de vouloir aller plus vite et plus profondément en elle. L'excitation guide mes gestes et Marinette lâche quelques crie de temps à autre.

- ooh... ooh... Adrien bon dieu... Gémit-elle de plaisir.

Mes coups de reins sont rapides et profonds. Je veux qu'elle comprenne que je l'aime, qu'il n'y a que elle à mes yeux. Il faut qu'à travers toute cette chaleur, j'arrive à lui dire que je l'aime mais sans les mots.

- hmm... Je gémis.

Ce moment m'avait manqué. Celui ou nos corps s'emboitent à la perfection, celui ou elle gémit mon nom et ou je gémis le sien. Ce sont ces instants que je veux vivre avec elle, pour toujours.

Elle n'a jamais été qu'une simple fille. Qu'un coup comme ça.

Marinette a changé ma vie, et j'ai changé ma sienne. Cependant, si seulement elle savait tout le bonheur qu'elle m'a apporté. Je paris qu'elle ne se doute pas une seconde du point auquel elle m'a manqué pendant cette dernière année ?

Jour et nuit, en train de penser à elle, en me demandant comment est-ce qu'elle va. En me torturant l'esprit avec le passé, avec mes erreurs, mais aussi avec tous nos moments d'amour que je n'ai jamais pu oublier.

Malgré tous mes efforts, elle a toujours fait partis de moi. Encore et toujours ancré dans un coin de ma tête, depuis qu'elle y est rentrée la première fois, elle n'en est plus jamais sortie.

Nous sommes fait l'un pour l'autre tous les deux, je le sais.

Soudain, brusquement, dans une vague de plaisir, j'atteins l'orgasme. Elle ne tarde pas à me joindre et c'est la folie. Je soupire son nom d'une voix abîmée par le plaisir et elle, crie mon prénom d'une voix aiguë.

Cet orgasme est dévastateur, il anéantis les souvenirs du passé. Il broie nos âmes et les mélanges ensembles pour n'en faire qu'un. Pour qu'à travers notre union, il y est un être unis, qui se forme en nous réunissant.

Pour le moment, je n'ai pas le projet d'avoir un enfant, mais alors que l'idée me frôle l'esprit et que cet enfant puisse être le fruit de notre amour. A moi et Marinette. Je me surprends à ne pas désapprouver l'idée.

Avoir un enfant avec elle ? Pourquoi pas ?

Finalement, qu'est-ce qui nous retient de monter une famille après tout sa mission ?

Évidemment !



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( AAH ! Énorme désolé ! J'ai complètement oublié de sortir ce chapitre dimanche, désolée. Bonne journée ! ❤︎ )

Wouaw, beaucoup de lemon dans un seul chapitre. Mais après, ça faisait longtemps qu'il n'y en avait plus eu !

Voilà, alors vos avis ?

Bize. ❤︎

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