Épisode 18 : Retrouvailles charnelles

Il n'y a rien de plus précieux en ce monde que le sentiment d'exister pour quelqu'un.
-Beyoncé

✔️

(NDA: La tenue de Marinette pour son dîner est en média.)

MARINETTE

Le cœur battant, je suis assisse sur mon canapé, attendant sagement qu'Adrien arrive. Je suis angoissée. Il est déjà 19:27 et Adrien doit arriver à trente.

Face à ma télé l'écran noir et effet miroir postée à deux mètres de moi. Lorsque je relève la tête, le reflet de mon visage apparait devant mes yeux et je me fige. Mes yeux sont grands, bleus, et le maquillage noircie approfondie mon regard. Ça se voit que ça n'a pas été fait par une pro. Mais, on fait avec les moyens du bord, Kagami part ce soir et Jana est chez elle, très triste.

Quand je repense à elle, je m'en veux de continuer à sourire alors qu'elle est au bord du gouffre. Mais d'un côté, je ne peux pas ne plus vivre pour elle. Bon, je passerais la voir demain, et là, quand Adrien arrive je vais l'interroger à son sujet. Il a du la voir, du moins, je l'espère.

Soudain, des coups sont assenés à ma porte. Je m'empresse de me lever et d'aller ouvrir. En marchant jusqu'à la porte, je tente de lisser un peu ma jupe. Histoire de ne pas trop avoir l'air si folle lorsque j'ouvrirais la porte.

En ouvrant, je tombe comme prévu sur Adrien, souriant et un gros bouquet de fleur dans les mains, il est radieux.

- Salut. Je le salue en souriant.

- Salut. Il répond à voix basse.

Il me fixe avec des yeux légèrement arrondis et s'empresse de me tendre ensuite le bouquet qu'il a dans les mains. Je ris doucement en le récupérant dans mes mains.

- Merci c'est gentil, tu n'aurais pas dû. Lui dis-je en observant le bouquet avec attention, le sourire aux lèvres.

Il a fait un effort et m'a même offert un bouquet. Son geste me touche beaucoup. Il me fait même penser à Victor qui m'a lui aussi offert un bouquet dans la matinée que j'ai été obligé de refuser.

Ce n'est pas le moment de penser à Victor.

Oui, tu as raison conscience. Le plus important c'est Adrien et la soirée que nous sommes sur le point de passer. Au fond de moi, j'ai tellement hâte d'y être. J'ai le coeur qui bat la chamade dans ma poitrine, lui aussi anxieux et terriblement excité à l'idée de passé une soirée seul à seul avec Adrien.

Il y a tellement longtemps que nous n'avons plus été que tous les deux... J'avoue que ça m'avait manqué. Hélas, on ne peut rien faire contre son destin. On ne peut ni le modifier, ni l'éviter.

- Il te plaît ? M'interroge Adrien, un peu inquiet.

Je relève la tête vers lui et dépose un doux baiser sur sa joue en rougissant.

- Oui beaucoup, il est très beau. Merci. Lui dis-je en souriant. Tu veux entrer ? Le temps que je les mette dans un vase. Je lui propose en me reculant pour lui laisser assez de place pour rentrer.

- Euh... ouais, ok.

Il rentre et je referme la porte derrière lui en me pinçant les lèvres. La soirée n'a même pas encore commencé et pourtant, je suis déjà toute émoustillée. Mon corps est tout chose et ma respiration s'est accéléré lorsqu'il est passé devant moi et que son parfum s'est évadé dans le court vent qui m'a frappé. Je n'ai pas hésité à humecter son parfum que j'adore.

Je suis folle...

Aussitôt, je secoue la tête et me retourne et l'amène jusqu'au salon.

- Installe-toi, j'en ai pour quelques minutes.

Il s'assoit et je m'en vais dans la cuisine. Je sors un vase et déballe les fleurs. J'ouvre le robinet et fait couler de l'eau froide dans le vase, puis j'insère les fleurs à l'intérieur en souriant. Et alors que je dépose le vase sur le comptoir, j'esquisse un sourire en les regardant.

Elles sont vraiment jolies, Adrien a de bons goûts en matière de fleur, je dois l'avouer.

- Tout va bien ? Me questionne une voix qui me fait sursauter.

La main posée sur mon coeur, je reprends aussitôt mon calme en découvrant Adrien contre l'embrasure de la porte les mains dans les poches. Il me regarde en me questionnant du regard, les yeux un peu plissés.

- Oh tu m'as fait peur... Je souffle encore sous le choque. Et oui... ça va.

Il se redresse et s'avance vers moi. Arrivé à ma hauteur, je me tourne vers lui pour lui faire face. De sa main droite, entre son index et son pouce, il attrape mon menton et relève mon visage afin que je le regarde dans les yeux. Son regard plonge dans le mien avec une facilité qui m'hallucine autant qu'elle me fascine.

Il y a toujours eu ce lien entre lui et moi, qui même avec le temps ne s'est pas effacé. A cette pensée, mon coeur fait une galipette dans ma poitrine.

Wouaw... L'effet qu'il me fait est dingue !

- Tu sais que tu peux tout me dire, Marinette. Alors dis-moi, qu'est-ce qu'il se passe ? Me demande-t-il d'une voix suave.

Ses lèvres sont proches des miennes et je peux même sentir son souffle effleurer mes lèvres. Je frisonne.

- J'ai peur de faire un truc de travers... Je lâche finalement. Et... Je m'inquiète aussi pour Kagami.

Je ferme les yeux en baissant la tête. Rapidement, je me détache de son emprise et pose mes mains sur le plan de travaille en tendant mes bras. Enfin, j'incline la tête vers le bas.

J'ai honte d'être aussi fragile, surtout devant lui. Et encore plus maintenant.

- Je suis désolée de gâcher cette soirée... Excuse-moi.

- Arrête de dire n'importe quoi, tu n'as rien gâché. Mais explique-moi, qu'est-ce qu'il se passe avec Kagami ? M'interroge-t-il en se posant contre le bord du plan de travail, les bras croisés.

- Eh bien... Elle est partie à Miami pour rencontrer un agent qui a des informations sur le violeur. Mais, je n'ai pas gardé un bon souvenir de Miami... Et j'espère qu'il ne lui arrivera rien. J'ai peur pour elle. Je réponds en relevant la tête.

Calmement, cherchant à connaître l'heure, j'ouvre mon sac et en sors mon téléphone. L'écran s'allume et affiche : 20:04.

- Elle est partie depuis quatre minutes maintenant. Je soupire en rangeant mon téléphone dans mon sac.

J'ai le coeur lourd. Les larmes me piquent les yeux et menacent de bousiller tout mon maquillage. J'en ai marre de moi et j'en ai marre de tout gâcher. Il faut toujours que je détruise les moments importants et heureux.

Bon sang, je m'insupporte.

Brusquement, je pose mes mains sur mon visage et m'effondre en larme. De tout le temps tenir bon est trop lourd, c'est dur et insoutenable. J'aimerais être plus forte, m'endurcir et d'arrêter d'être blesser, triste, et/ou inquiète pour tout et rien.

- Aller vient là, princesse. Me souffle Adrien en me prenant dans ses bras. C'est bon arrête de pleurer, tout va bien se passer. Pas besoin de te mettre dans un état pareil. Me rassure en me caressant les cheveux tendrement.

Je sanglote dans ses bras, et plus les minutes passent plus je m'enfonce dans mon addiction de brise tout.

- Il faut toujours que je gâche tout, je ne suis pas normale. Je ne sais pas pourquoi est-ce que je fais ça... Pardonne-moi d'être aussi égoïste Adrien, je suis vraiment... désolée. Je sanglote en pleurant plus fort encore.

Un torrent de larmes ruissellent le long de mes joues et mouille mon visage abondamment. Adrien me serre encore plus fort dans ses bras et m'oblige à lever la tête.

- Regarde-moi.

Difficilement, et les yeux gonflés je relève néanmoins la tête et le regarde.

- T'es une princesse, Marinette. Et une princesse ne pleure pas, elle reste forte, et elle s'assume. Être une princesse, ce n'est pas juste un titre, c'est aussi une personnalité. Et pour moi, tu es une princesse. Tu es ma princesse à moi. M'avoue-t-il en me souriant tendrement.

- Adrien... Je souffle.

Les mots me manque, je ne sais pas quoi répondre.

- Tu me rends fou. Complètement fou. T'es tout le temps dans mes pensées. Et depuis un an, je n'ai jamais cessé de penser à toi. Malgré tous mes efforts, je n'y arrive pas. Je ne peux pas me résoudre à oublier la femme de ma vie. Il me confie, avec une sincérité poignante dans les yeux.

Touchée dans le plus profond de mon pauvre coeur, je me jette sur ses lèvres en posant mes mains tremblantes sur ses joues.

Entre deux baisers, je souffle contre ses lèvres:

- Moi aussi je suis folle de toi, Adrien. Depuis le premier jour.

Il sourit en me regardant avec des paillettes dans les yeux. Jamais aucun homme ne m'a regardé comme lui. Aucun n'a son regard poignant et terrifiant à la fois, aussi sombre et attachant que le sien. Adrien me rend folle, je suis follement amoureuse de lui depuis longtemps et il y a bien longtemps que j'aurais dû le lui dire.

Jamais je n'aurais dû attendre tout ce temps pour lui dire que je l'aime, que je n'aime que lui et que je n'aimerais que lui pour toujours. Il m'est impossible de l'oublier, même si je m'en persuade, mon coeur lui, saura la vérité et sans lui pour me guider, je ne suis plus rien.

J'ai toujours écouté mes sentiments. J'ai toujours écouté mon instinct et ce soir, tous deux me dise de foncer, et de ne plus le laisser filer.

- T'es vraiment belle, tu sais ? Me dit-il en souriant, caressant tendrement mon visage et essuyant une larme du revers de son pouce.

- Je t'aime, Adrien. Lui dis-je en le regardant.

- Je t'aime aussi Mari', ouais je te surkiff même ! Il déclare brusquement.

Je ris et scelle tendrement mes lèvres aux siennes en glissant mes mains dans sa nuque. J'appuie mes mains contre sa peau pour rapprocher ses lèvres des miennes, mais nous sommes déjà proches, on ne peut pas faire plus. A moins que ...

Sex Time ✔️

(NDA: Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce vous lisez. Merci aux âmes sensibles de slider ce passage. Bonne lecture.)

Doucement, je le sens glisser ses mains sous mes cuisses, il m'oblige à enrouler mes jambes autour de sa taille et aussitôt, j'enroule mes bras autour de son cou sans quitter ses lèvres. Je laisse mon sac tomber au sol, il me dérangeait.

Il sourit et je souris aussi, mais il me pose sur le comptoir et glisse ses mains jusqu'à mes hanches. Il défait la fermeture de ma jupe qui est sur le côté et me retire mon chemisier. Une fois retiré, celui-ci finit au sol, et je me retrouve en soutiens-gorge.

Adrien descend ses baisers dans mon dos en défaisant mon soutien-gorge. Je rejette la tête en arrière pour lui laisser plus d'accès sur mon cou en défaisant les boutons de sa chemise pour finalement la lui retirer.

Il sourit contre ma peau. Au même instant il fait glisser les bretelles de mon soutien-gorge et s'empare de mes seins dans ses mains. Je soupire de plaisir quand il pince entre ses doigts mes tétons rosés par l'excitation.

Je redresse la tête et lève son visage vers moi d'un geste de l'index et m'empare de ses lèvres avec violence. Nos dents s'entrechoquent et je lui dévore littéralement la bouche. Il sourit en prenant mon visage entre ses mains pour me calmer un peu.

J'ai une soif de lui folle.

J'avance un peu et descend du comptoir, je le prends pas la main et l'emmène jusqu'à ma chambre. Sur le chemin, je le déshabille et il en fait de même pour moi tout en m'embrassant.

Dans ma chambre. J'enroule mes bras autour de son en l'emportant avec moi dans mon lit. Il se met en califourchon au-dessus de moi et recule un peu ses lèvres pour me regarder dans les yeux et reprendre son souffle.

Nous sommes tous les deux haletants, c'est tellement intense.

- Tu as des préservatifs ? Me demande-t-il.

- Euh... Je ne crois pas, attends.

Je me redresse un peu et tire le deuxième tiroir de ma table de chevet qui a sa lampe allumée. Une boîte de préservatif, généreusement offerte de la part de Jana, apparaît alors. Rapidement, j'en attrape un et le tend à Adrien.

- Voilà, monsieur. Je souris d'un sourire narquois alors qu'il le récupère en se redressant.

Il l'ouvre et se l'applique sur le pénis, je ris en le regardant faire. Il s'en sort bien, et en même temps, vue le nombre de fois où il a dû le faire...

C'est un beau garçon, il a toujours eu du succès. Lorsque je l'ai rencontré, je n'étais pas sa première conquête et ça..

Ah non, tu te tais maintenant ! C'est pas le moment de se prendre la tête. Me gronde ma conscience violemment, coupant court à toutes mes interrogations.

Oui, tu as une fois de plus raisons.

- Tout va bien ? Me demande Adrien inquiet. Tu ne veux plus le faire ?

Je reviens à moi et tourne le regard vers lui.

- Si ! Bien sûr que si ! Enfin oui... je veux toujours le faire. Je lui réponds aussitôt en m'avançant vers lui.

Il sourit et me prend dans ses bras, j'enroule mes bras autour de son cou en l'embrassant, à genoux sur le lit, un peu contorsionnée afin de l'embrasser. Il sourit contre mes lèvres et me pousse violemment en arrière. Basculant en arrière, j'écarquille les yeux en souriant.

Adrien se place aussitôt au-dessus de moi et j'écarte un les jambes pour qu'il se place entre. Il m'embrasse langoureusement et en même temps, il me pénètre. Je gémis en enroulant mes jambes autour de sa taille.

Mes mains dans ses cheveux tirent un peu sur leurs racines et lorsqu'il se met à se mouvoir en moi, je relâche ses lèvres en fermant les yeux.

Je goûte à nouveau à ce plaisir rongeur qui me consume tout le corps. Ça me fait tellement de bien, j'adore cette sensation.

Adrien descend ses baisers dans mon cou et couvre mes clavicules d'une pluie de baisers. Ses mains sont de part et d'autre de la tête et pour supporter la cadence, je m'accroche à ses poignets tandis qu'il rentre encore plus profondément en moi.

- Ooh plus vite... Je soupire en plissant les yeux.

- Hmm...

Adrien se met à aller plus vite et j'ouvre la bouche en O sans pour autant en laisser un seul son s'en échapper. C'est tellement de bon de le sentir aller et venir à nouveau en moi.

J'avais oublié le plaisir que ça me procurait de l'avoir à l'intérieur de moi, comme ça.

- Je... Je t'aime Adrien... J'articule difficilement entre deux gémissement.

- M-Moi aussi... Marinette...

Il grogne et jure à mon oreille en me mordant le lobe. Il va de plus en plus vite et peu à peu, une chaleur monte dans mon bas ventre.

- Putain... j'adore. Il souffle dans mon cou en déposant un baiser.

J'aimerais que ce moment ne s'arrête jamais. S'il pouvait durer une éternité ce serait parfait. Oui, ce serait un rêve.

- Hmm... Adrien... Je gémis en me cambrant.

Je vais atteindre le septième ciel dans quelques secondes, et Adrien semble lui aussi dans le même état que moi.

Puis, brusquement, mon corps qui ne faisait que se consumer par le plaisir, fini par en brûler. Complètement renversée par l'orgasme, je rejette la tête en arrière en ouvrant la bouche en O.

- Putain... Jure Adrien dans mon dos en atteignant le fond.

Alors que je reprends ma respiration, mon coeur bat vite, il est encore affolé. Je souris en sentant Adrien se retirer et s'écrouler à côté de moi.

Nous prenons plusieurs minutes avant d'enfin prononcer un mot.

- Je t'aurais bien mis enceinte moi. Déclare Adrien essoufflé.

Je souris en lui donnant un coup sur son torse.

- Tu dis vraiment n'importe quoi !

Il rit et se redresse. Il retire le préservatif et part le jeter à la poubelle. Quand il revient sur le lit, il me récupère dans ses bras et m'embrasse la nuque, les épaules et tout le haut du dos.

Fin de la Sex Time ✔️

De dos à lui, je souris en frissonnant sous ses lèvres. Il a l'air de bien s'amuser.

De me mettre dans tous mes états doit le faire rire car je le sens sourire contre la peau de mon épaule lorsque je frissonne une énième fois.

Finalement, je me glisse sous la couette et il en fait de même après avoir remis son boxer.

Délicatement, alors que je replonge à peine dans mes pensées,il enroule ses bras autour de ma taille. Je ne peux m'empêcher de sourire et me retourne vers lui. Du bout des doigts je caresse son visage en le regardant.

- Je peux te poser une question ? Je lui demande.

- Bien sûr. Il répond en souriant.

- Est-ce que tu penses qu'un jour on se mariera tous les deux ? Je lui demande en caressant ses pommettes avec mon pouce.

Il semble surprise l'espace d'une seconde mais finit par sourire tendrement. Peut-être qu'il est touché par ma question ? En tous les cas, son regard le démontre qu'il est attendrie.

- Bien sûr. Je te mettrais même enceinte si tu veux tout savoir. Il me répond en souriant.

J'écarquille les yeux et me colle contre mon torse en enfonçant mon visage pour cacher ma rougeur dingue. Je l'entends rire mais, je me contente de sourire faiblement et dépose un baiser sur son torse, tendrement.

Je me love contre lui et le sens bouger et quelques secondes après, j'entends le « cliq » du bouton de la lampe de chevet. Il l'a éteint.

- Nous n'avons pas encore dîner. Lui dis-je malgré le sommeil que je sens venir.

- Tu as faim, gamine ? Me demande-t-il avec un sourire malicieux que je lui repaire dans la voix.

- La gamine t'emmerde le blondinet en te répondant non. Je rétorque froidement.

Au fond je suis amusée par ce surnom qui ne détrône néanmoins pas, mon fameux princesse.

- Le blondinet t'aime aussi, princesse.

Mon cœur loupe un battement dans ma poitrine quand il prononce le surnom princesse. J'adore quand il m'appelle comme ça, il me donne l'impression d'être unique et importante. J'ai l'impression d'avoir de la valeur, c'est agréable et très flatteur.

- Moi non plus je n'ai pas faim. Alors... on se repose et quand on a faim on se lève et on part manger. Propose-t-il.

- Ok, ça me va ! Je réponds.

- Mdr que tu sois d'accord ou non, c'est comme ça que je vois notre soirée maintenant. Ma princesse gamine. Il rétorque en souriant malicieusement.

- Joue pas trop au coq, mon genoux est pas loin de tes bijoux, chaton. Je lui apprends calmement, d'un ton posé et sans aucune émotion.

Néanmoins, un léger sourire narquois étire mes lèvres quand je le sens se figer.

- Tu n'oserais pas !

- Tu veux vraiment le savoir ?

- Non.

Je ricane doucement les yeux clos, je finis par rejoindre le pays des rêves.

✔️

Bonsoir !

Un petit lemon, ça faisait longtemps, n'est-ce pas ? 🤧

Bref... Donnez moi vos avis de ce chapitre en commentaire ! 🌟

Bisous ❤️

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