Le repas s'était fini sans trop d'encombre et tout le monde était enfin parti. Julie, épuisée, partit se coucher et s'endormit aussitôt, mais se réveilla en surtout quelques heures plus tard. Elle avait encore rêvé ou plutôt cauchemarder d'Augustus. Son cœur battait la chamade, alors qu'elle ressassait son mauvais songe.

Cette fête lui avait fait se rendre compte que les personnes ne se rendait pas nécessairement compte que les gestes d'un autre pouvaient être déplacés, au point de complexer la victime sur son apparence, et sur ce qu'elle faisait de mal pour vivre ça.

Comme elle exagérait d'après son père, elle n'osait pas se plaindre. Et puis, ce n'était pas comme si elle s'était faite violer. C'est moins grave que cela. Ce n'est pas non plus une agression sexuelle, vu qu'Augustus n'a pas utilisé la violence, ni la menace. Ce qu'elle subit est donc le moins grave des trois, de ce fait, elle n'a aucun droit de se morfondre sur son sort.

Les larmes aux yeux, elle se rendormit, espérant qu'un jour, quelqu'un l'aiderait et que son père ne l'obligerait plus à aller à Baileux.

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Hey ! Comment aller vous ?

Pour le chapitre de la semaine prochaine ( qui ne sera pas un vrai chapitre), j'aurais besoin de votre avis, mais je ne préciserais pas de qui il vient, donc vous pourrez me donner votre véritable avis développé. ( Et si vous le préférez, je pourrais supprimer votre commentaire après. )

Que pensez-vous du thème abordé dans ce livre ?

Passez une bonne journée/soirée !