François, comme à son habitude n'arrivant pas à dormir se mettait dehors sur le balcon. Cette fois-ci il voulait se faire plus discret pour pouvoir, ou tenter d'apercevoir qui était réveillé cette nuit.

Au fond, il se disait que la personne en question pouvait ne pas être insomniaque.

Alors il attendait patiemment dehors un gilet sur les épaules.

     De son côté, Azilis ne se doutait de rien et comme tous les soirs elle prenait son carnet et s'asseyait au pied de son lit, la lumière allumée mais à faible dose pour ne pas réveiller ses parents.

Dans ses oreilles, un vieux rock. Le rythme la faisait tapoter du pied. Elle écrivait ses pensées.

Malgré le peu de fois où elle avait aperçu son ombre, Azilis parvenait à décrire de manière poétique cette ombre que la brune apercevait à travers sa fenêtre fermée.

Sa curiosité gagnait du terrain mais elle avait encore "peur" d'ouvrir cette fenêtre et de voir encore mieux qui est cette ombre.

   
            François, une fois de plus se sentait regardé et ceci l'amusait. Il fixait l'immeuble d'en face. Le brun ne savait pas pourquoi mais il sentait qu'il était proche du but.

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Partie très courte, n'hésitez pas à donner votre opinion !