Lucioles ensanglantés
Lucioles ensanglantés...
Flash allumer bougie placer, briquet placer, pierre déposer, cape mise, capuche non mise.
Cet histoire...qu'est que je raconte ce récit, commence d'une situation qui n'est pas banal, sans pour autant sortir du lot.
Mais c'est plus simple si je vous explique.
J'allume les 3 bougies, et éteins le flash. Je rabats ma capuche sur mon visage.
Tout commence par des vacances, trois ados a la fac qui ne veulent qu'une chose, se barrer pour enchaîner les conneries sans leurs parents pour leur dire quoi faire ou non.
Kiara,
Gabriel,
Et *Prénom 3*.
Alors bien sûr que quand ils apprennent que mamie Roseline qui n'as d'ailleurs jamais vu son petit fils, est malheureusement décéder et a léguer a *prénom 3* un grand manoir il ne réfléchisse pas et prépare leur valises.
Vous sentez la mauvaise idée arriver.
A leur arriver ils découvrent que c'est un coin paumé. Mais a côté d'un lac, parfais pour se baigner quand il fait chaud. Surtout pendant les vacances d'été.
Les premiers jours se passent bien. Si on ne compte pas le fait qu'ils ait réussi à brûler des spaghettis, tout c'est bien passer.
Tout commença a déraper un jour comme les précédents. La matinée ils partirent au lac et Gabriel fit un magnifique plat. Vers midi la faim commençait à arriver alors ils rentrèrent.
Ils aurait bien voulu commander mais le prix était apparemment plus cher quand le livraison se faisait en plein milieu des bois, logique en soi.
Ils entreprirent alors le projet cuisine. Qui fut un désastre entier, la moitié du repas avait fini par terre, l'autre m'inspirait pas confiance de par sa couleur verdâtre, alors démuni ils envoyèrent encore quelqu'un acheter de la nourriture pour les prochains jours. Ce fut Kiara qui dû partir en mission, étant la seule qui avait le permis ce n'était pas un débat vraiment compliqué.
Dès qu'elle posa les pieds sur le seuil la pluie commença à tomber, alors question de sécurité ils préfèrerent attendre que ça se calme.
Alors quoi de mieux pour s'occuper que d'aller chercher dans les affaires d'une personne décéder?
Qu'elle activité divertissante, et très drôle vous ne trouvez pas?
Nan?
Et bien eux pensait l'inverse...
Alors ils montèrent et entrèrent dans la pièce qu'ils n'avaient auparavant jamais oser exploré. La première phrase prononcer ne fut pas " On devrait pas venir ici", ou bien " c'est pas j'en bonne idée...". Nan la première phrase que les amies ont dit était "Putain y a un lit à baldaquin! Blinder le cadavre!"
Ils fouillèrent les tiroirs, et y ont trouver des cartes de tarot, des jeux de cartes, des livres parlant de toutes sortes de magies. Et un plateau de ouija. Heureusement ils décidèrent de ne pas y toucher, étant très terre à terre ils se disaient que ça ne bougeraient pas et que c'était un coup a ce faire peur pour rien. Ils sortirent alors et descendirent regarder la télé.
L'après midi passait la pluie et ne s'arrêtait pas, au contraire elle s'intensifiai le vent était de plus en plus fort et la pluie tapait contre les vitres, les trois plaisantait en disant que c'était le fantôme, mécontent qu'ils ait fouiné qui venait de venger.
Le soir venu ils décidèrent de regarder un film, Kiara parti chercher du popcorn dans la cuisine tandis que les deux autres se battait pour avoir la plus grande couverture.
Son d'un cri soudain
Il suffit de ce simple son pour déclencher le silence, comme si la vie et la chose qui avait provoquer ce cri c'était donner le mot, l'électricité coupa.
Gabriel appela un électricien ne sachant pas réellement comment remettre le courant, tandis que *prénom 3* parti à la recherche de leur amie, qui mettait étrangement énormément de temps.
Il chercha en premier dans la cuisine où elle n'était visiblement pas, et mener par un sentiment étrange il décida de chercher dans la chambre de la défunte.
Il la trouva allonger sur le fameux lit, les yeux grands ouverts. Un couteau planter dans le bras et un autre dans le crâne. Son sang coulait encore et l'ont entendait le son des gouttes de sang tomber par terre, a vrai dire c'était le seul son que l'on entendait. Le son semblait s'être couper, seul résonnait se bruit de plus en plus insupportable. Et la seule chose qu'il pouvait voir fut son visage. Ses yeux était blancs, grand ouvert, son visage semblait pétrifié dans la surprise ce qui lui offrait une dernière expression magnifique, ces joues étaient sèches comme si juste avant qu'on ne l'a tue elle avait pleurer, ce qui gachait un peu les traits de son visage. Les lucioles envahissait ses cheveux et la flaque de sang au sol.
La réalité le rattrapa d'un coup. Il recula avant de percuter le mur et de tomba en arrière.
Il n'y avait aucun doute, aucun d'espoir n'était possible, jamais l'on ne pourrait dire le contraire. Quelqu'un l'avait tué avec une haine immense.
Je prends la première bougie.
Elle avait été assassiné.
J'éteins la bougie que j'ai en main.
Elle était morte.
Je repose la bougie
Il se releva et se précipita en bas. La seule chose qu'il voulait s'était partir s'enfuir, ne plus voir cet affreux spectacle. Il se dirigea vers la porte ne pensant qu'à sauver sa peau. Il ne voulait pas finir comme tout ces débiles dans les films d'horreur qui foncent vers le danger au lieu de simplement partir en courant.
Il essaya la porte et les fenêtres tout était verrouillé. Il n'y avait aucune issue. Il pensa alors que si il devait mourir, c'était mieux de mourir a deux, ou d'avoir un bouclier humain le temps de se sauver. Il entreprit alors de retrouver Gabriel.
Alors oui il le retrouva, mais pas dans l'état voulu. Il était simplement la en haut des escaliers pendu par le cou un couteau dans le coeur, son sang glissait le long de son corps et atterrissant dans un bruit sourd sur les marches. Son expression était plus apaisée, comme si il avait été endormi avant de mourir. Encore une fois des lucioles était partout sur lui, ses cheveux la corde, ses mains et le couteau.
Je prends la deuxième bougie et l'éteint.
Lui aussi n'était plus de ce monde.
Il était moins perturbé par cette mort que pas la précédente. Son bouclier était quaduc désormais. Mais il se disait qu'il devrait s'y faire pendant les dernières minutes de sa vie.
Il ne se voulait pas la face, il allait mourir et très rapidement.
Il se posa dans la cuisine sur une chaise et se demanda ou les lucioles se mettrait sur son cadavre, et qu'elle expression est ce qu'il aurait lors de son dernier souffle.
Ce ne fut qu'à ce moment qu'il se demanda vraiment, a quoi corresponde ces insectes? Pourquoi sont t'ils la?
Sans vraiment savoir pourquoi il prit un couteau. Sûrement pour se défendre. Sauf que étrangement il le rapprochait de lui. Il décrit une sensation comme si on l'obligeait à le faire. Qu'on le contrôlait qu'il n'avait aucun contrôle sur son propre corps. Il dit empli de frustration et de terreur. Et sans un cri. Il se poignarda le ventre, par réflexe il sortit le couteau de son ventre et regarda ses mains, son ventre, le couteau, le sang.
Et comme réalisant ce qu'il venait de se faire il hurla.
Il précisa ensuite que le monde devenait flou mais qu'il pu voir dans le couloir qui séparait la cuisine du salon un miroir, et dans ce miroir, un visage, un visage de démon, un visage satisfait, un visage emplis de haine, un visage sur lequel quelque goutte de sang prônait comme un trophée.
Puis le noir.
Plus rien.
Il avait mal.
Et il pensa.
Voila.
Je suis mort.
Je prends la dernière bougie.
J'éteins la dernière bougie la musique s'arrête et j'allume le briquet.
Cependant l'électricien appeler plus tôt arriva,c'est sans surprise qu'il découvrit le premier dans la cuisine et le second dans l'escalier. Il appela donc la police et les corps furent retrouver et emmener a l'hôpital le plus proche.
Je rallume le bougie.
Et pourtant, avec surprise prénom 3 survécu. Le couteau n'avait pas touché d'organes vital. Il survécu, mais l'expérience lui donna des séquelles.
La police essaya de l'interroger, pourquoi l'électricien avait pu rentrer alors qu'il leur avait dit que la porte était verrouillé.
Mais a chaque fois il entrait dans une colère incompréhensible, il hurlait que le diable les avait pris en filature, qu'il devrait mourir car c'était la volonté d'êtres supérieurs. Que sa grand mère avait ramener les démons a cause de ces croyances en la magie, que c'était une sorcière et que c'était de sa faute.
Après quelque recherche les enquêteurs ont découverts qu'il avait arrêter de prendre certaind médicaments, qui était assez lourd et que l'arrêt soudain causait des effets secondaires. Hallucinations, violences, et trouble de l'alimentation. Mais cela faisait déjà plusieurs mois, l'hypothèse fut donc rejeter.
Il a aussi omis de préciser dans son histoire que lorsque les policiers l'ont retrouver il avait un couteau ensanglanté dans la main et était lui même recouvert de sang.
Sauf que rappelons le il s'est fait poignarder le ventre. Ce qui expliquerait le sang. Et après analyse le couteau qu'il avait dans les mains et celui qui l'as transpercé sont les mêmes. Ils aurait très bien pu se faire poignarder et le retirer, ou bien se poignarder lui même.
Mais trop d'éléments ne colle pas, comment la porte qui était apparemment verrouiller c'est déverrouiller d'un coup? A t'elle même été verrouiller. Si c'était lui qui avait tué ses amis pourquoi tenter de se tuer aussi?
Est ce vraiment lui? Ou un inconnu, un sans abri qui se cachait dans le manoir? Ou comme il le dit, le diable en personne? Pourquoi les corps était recouverts de lucioles? Était ce la marque d'un tueur en série? Ou simplement une coïncidence?
Et si il était tout simplement fou et les aurait tuées?
Et si il avait menti sur ce qui c'était réellement passé et avait planifié qu'il survivrait et se faisait passer pour fou?
Et si c'était une entité maléfique et que ne supportant pas cette idée il aurait vrillé ?
Je rapproche la bougie et la tiens dans mes mains
Personne n'as jamais trouver la réponse.
Personne n'as jamais su...
Et personne ne saurait jamais.
J'éteins la bougie d'un souffle.
Fin
NDA: Alors mon but était d'inspirer le doute, est ce que le personnage est fou ou c'est du domaine du surnaturel, en ajoutant de l'humour, une touche de moments bien représentatif, et ça a donner ça. J'ai eu 20. Ce n'est pas une pièce de théâtre mais une rédaction oral, en gros on l'a disait z l'oral, c'était le brouillon oral, mais en réalité j'ai fait de l'impro en retirant et rajoutant certaines phrases, mais c'est l'original et celui que je préfère.
J'attends votre avis
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