Nothin' 'bout the way you were treated ever seemed especially alarming 'til now
So you tie up your hair and you smile
Like it's no big deal
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Matilda— Harry Styles

PDV Cassidy

En tant normal, j'adorais le lycée. En effet, apprendre était pour moi l'une des plus belles choses qui puissent exister. Je n'arrivais pas à me faire à l'idée que dans le monde il y'avait environ sept cents millions d'analphabètes. Je me sentais tellement mal pour ces personnes là. Ils n'avaient donc jamais eu la chance d'apprendre la beauté des lettres et des chiffres. Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours adoré l'école jusqu'à ce que je me souvienne de ces atrocités qui m'ont poursuivi toute ma scolarité et qui continuent encore.

« Elle est pas belle. »
« Regardez ses dents ! »
« Ses cheveux on dirait de la paille tellement ils sont sec. »
« Ils sont bizarres ses yeux regardez ! »
« Pourquoi elle est tout le temps essoufflée cette grosse vache ? »
« Vous savez que genre sa maman elle est noire et son papa il est blanc ? Du coup ça fait d'elle une extraterrestre ! »
« Soit il faut être noir ou soit être blanc. Il y'a pas d'entre deux ! »

Ce coté là de ma scolarité avait été tellement douloureux pour moi. En grandissant, ça m'atteignait de moins en moins. J'avais commencer à assimiler leurs critiques. Elles étaient imprégnées en moi et me suivront jusqu'à ma tombe. Le pire dans tous ça, c'était que pour la majorité, personne ne me le disait en face par peur que je le dise à mon frère. Ils disaient tous ces atrocités derrière mon dos. Comme si je n'existais pas.

— Mademoiselle Fernandez ? J'attends votre réponse, m'interrompt la prof d'histoire de mes pensées.

Je lui demandai de répéter sa question, rouge de honte. Elle la répéta donc puis je réfléchis un instant avant d'y répondre. Comme d'habitude, c'était correct. J'étais assise à côté de Lory qui daignait à garder les yeux ouverts. Toute la classe détestait le cours d'histoire, sauf moi. Je trouvais ça super intéressant. L'histoire de la France me fascinait énormément. Il restait seulement 2 jours avant les vacances d'automne. J'étais super excitée car avec ma famille, nous allions aller en vacances à Nice chez ma tante paternelle. J'avais tellement hâte de revoir mes cousins et mes cousines.

Un bout de papier atterri sur mon banc. Je le pris donc et le déchiffonnai. Je fus accablée de voir ce qu'il y avait d'écrit dessus.
"Grosse vache"
Je peinais à comprendre la haine dont je recevais. Je m'étais fais à l'idée que c'était peut-être parce que j'avais un parent noir mais ce n'était pas possible car Lory ne recevait aucune remarque elle.

— C'est quoi ? me demanda ma voisine.

— Rien, je lui répondis en mettant le papier dans ma poche.

Elle me regarda d'un air peu convaincu puis haussa les épaules avant de reprendre sa sieste.
J'en reçu ensuite un deuxième peut après puis le déballa.
"Va mourrir"
Mes yeux s'embuèrent de larmes que j'essuyai directement du revers de la main. Je me demandais qui avait écrit ça. Ça ne pouvait pas être Alexa car elle était avachi sur son banc, les yeux clos. J'avais juste besoin de connaître les motivations de ces gens.
Pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'ai fait de mal ?

J'essayai de respirer lentement et calmement pour ne pas refaire de crise comme la dernière fois. Rien qu'en y pensant je fut gêné à l'idée que Lory m'ai vu dans cet état. Le cours fini enfin ce qui marqua la pause de midi. Je secouai ma voisine afin qu'elle se réveille.

— C'est enfin fini putain, elle dit en se frottant les yeux.

Je ricanai puis on se rendit à la cantine où Madison nous attendait. Sa relation avec Lory s'était nettement améliorée. Elle ne la portait toujours pas dans son cœur mais je voyais qu'elle faisait des efforts pour moi.

— Cassy ! elle s'exclama avant de se lever et de me prendre dans ses bras.

C'est pas comme si hier on est resté en appel jusqu'à une heure du matin et qu'on s'est parlée ce matin avant de rentrer dans nos classes respectives.

— Lorianne, elle lui dit moins chaleureusement en lui faisant la bise.

— Elle est où Jamila ? je lui demandai en faisant référence à notre autre amie.

— Elle est avec son mec, répondit Maddi nonchalamment.

Je soupirai. Jamila était folle amoureuse de Louis. Ils se bécotaient tout le temps. Littéralement tout le temps.
C'était embêtant car elle annulait toujours nos plans à la dernière minute pour rester avec lui. Le pire dans tout ça c'est que sa mère n'étaient même pas au courant que sa fille était en couple. Son père l'avait abandonné quelques mois avant sa naissance. En effet, ce dernier étant originaire de la Corée du Sud, sa famille n'avait pas accepté le fait qu'il se marie avec une marocaine. Jamila vivait donc avec sa mère, son beau-père et sa demi-sœur de treize ans.

— Maddi ? J'ai une petite question pour toi, je lui annonçai subitement.

— Dis moi, elle me dit en souriant de ses belles dents droite et blanche.
J'en suis carrément jalouse.

— Tu as parlé de quoi avec Liam la dernière fois à la patinoire ? je baissai les yeux vers mes patins et m'amusais à les tourner.

— Ah oui ça date ça ! On a parlé de tout et de rien. On a beaucoup rigolé aussi, elle sourit en se rappelant de ce moment.

— Ah bon ? Et quoi d'autres, je dis avec une pointe de jalousie dans ma voix,

—  J'en connais une qui est jalouse ! s'exclama Lory.

— N'importe quoi, je m'en fiche complètement, j'annonçai nonchalamment.

— C'est pas avec lui que tu t'es retrouvé en retenue ? me demanda Lory en fronçant les sourcils.

— Si, je dis simplement.

— Ah oui ! C'est lui qui t'a dit ces atrocités aussi.

— Il lui a dit quoi ?

— En gros, il lui a dit que Chris voulait la baiser pour l'expérience car il n'avait jamais essayé avec les gens comme elle et toute les variantes imaginables. C'était assez raciste sur les bords je dois l'avouer.

— Quoi ? Mais c'est un ouf ! Je vais le bloquer sur insta, dit Maddi, déterminée.

— T'as son insta ? je lui demande surprise.

— Ouais on s'est donné mutuellement nos réseaux. Quoi ? Tu le veux ?

— Non ! je m'exclamai.

— Dommage, il poste beaucoup en plus. Y'a des photos de paysages, plein de photos trop chou avec sa petite sœur, des dessins et des photos avec une fille qui je pense est sa meuf.

Je fus choqué par cette nouvelle.
Il est en couple ?!

Elles continuèrent à parler mais mon esprit était déjà autres part. Je devais découvrir qui était cette fille.
Je suis carrément pas obsédé par un mec qui me donne même pas l'heure. Pas du tout.

***

Arrivées chez Maddi, nous retirions nos chaussures puis nous nous dirigions vers sa chambre. C'était la définition même de l'expression clean girl.

Quelques minutes plus tard quelqu'un frappa à la porte. C'était son beau-frère, Noah. Il avait des cheveux assez bouclés et roux qui lui retombaient sur le front. Tout son visage était constellé de taches de rousseurs. Ses yeux étaient d'un gris/bleus exceptionnel. Il portait seulement un jogging gris et avait un essuie posé sur l'épaule. Je supposai qu'il venait de sortir de la douche étant donné que ses cheveux gouttaient encore et que son corps fumait. Sa V-line était parfaitement destinée et visible aux yeux de tous. Il était juste parfait.

— Qu'est-ce que tu veux Noah, lui dit sa sœur en soupirant.

— Ton sèche cheveux. Salut Cassy, il me dit avec son sourire majestueux qui laissait apparaître ses fossettes.
On a un point commun. Youpi !

— Salut Noah, je dis en rougissant.

— T'es pas sensé en avoir un ? Et pour la millième fois, tu peux arrêter de te balader à moitié à poil quand j'invite des amis ? lui dit sa belle-sœur.

— Premièrement, c'est un diffuseur que j'ai et c'est pour mes boucles mais j'ai trop la flemme. Deuxièmement, avoue que tu aimes ça, il dit un sourire en coin.

— Putain ! Tu me saoule, elle s'énerva en lui jetant un coussin dans la figure qu'il rattrapa de justesse. Il est dans le tiroir. Prend le et va t'en.

Il fouilla dans le tiroir puis en sortit ce qu'il cherchait.

— J'ai entendu dire que tu organise une fête d'Halloween chez ta mère.

— Et alors ?

— J'attends mon invitation.

— Tu vas l'attendre longtemps alors, elle rétroqua.

— De toute façon t'auras pas le choix quand j'en parlerais à Paul, il la menaça en faisant référence au père de ma meilleure amie.

— C'est bon tu peux venir connard, elle lui dit à contrecœur en roulant les yeux aux ciel.

— Je pense pas que Paul va être content quand je lui dirai comment tu viens de m'appeler, il ricana.

Il me fit ensuite un clin d'œil avant de sortir de la chambre. Je rougis encore plus. Ma meilleure amie me fusilla du regard ce qui me fit rire.

— Je comprends pas pourquoi tu n'aimes pas ton frère, il est trop beau !

— C'est pas mon frère ! Et arrête de bander sur Noah par pitié !

— Ton demi-frère ça revient au même,

— Non. C'est mon beau-frère. On a aucun lien de sang je te signale.

— Bla-bla-bla on a aucun lien de sang, je l'imitai en allant légèrement sur les aigus.

Elle me jeta donc un coussin dans la figure et me chatouilla le ventre sous mes cris.

— A...arrête !

— Excuse toi.

— Je...je vais me faire p-pipi dessus ! je dis difficilement en riant.

— Beurk ! Pisse pas sur mon lit, elle dit en me lâchant et en s'éloignant rapidement de moi.

Je me rasseyai donc sur son lit tout en riant. Je restai un petit moment chez elle puis décidai éventuellement de rentrer chez moi car j'avais des choses à faire à la maison.

Arrivée à la maison, je me rendit directement dans ma chambre afin de faire ma valise. J'avais tellement envie d'emporter tout mon dressing mais malheureusement, je devais faire un choix.
Je pris donc le nécessaire. Quand j'eu fini, j'allai dans le salon afin de demander à ma mère la permission d'aller à la fête de Maddi. Elle était dans la cuisine en train de faire à manger. J'arrivai derrière elle puis entourai mes bras autour de son cou.

— Maman ? Tu sais que je t'aime tellement ?

— Moi aussi je t'aime mon cœur. Demande moi.

— Te demander quoi ? je lui dit, dubitatif.

— Cassy, elle me dit en se retournant vers moi.

— Oh c'est bon, je soupirai en me détachant d'elle. Est-ce que demain je pourrais aller à la soirée d'Halloween que Madison organise ?

— Non.

— Quoi ? Pourquoi ?

— Je veux pas que tu participe à des rituels satanique.

— Mais maman c'est pas satanique !

— Un rassemblement de personnes déguisé en monstre ? Et en plus tu dois faire ta valise.

— Mais je l'ai déjà faite. Aller s'il te plaît maman.

— J'ai dit non. Tu va être fatigué après pour aller chez tata Luiz.

— Mais maman...

— Non c'est non Cassidy, n'insiste pas.

Frustrée, je montai dans ma chambre en claquant la porte au passage puis m'allongea sur mon lit avant de crier dans un coussin.
Oui. Je suis assez folle.

Je devais réfléchir à un autre plan. J'allais attendre que mon père rentre du travail pour lui demander. S'il refusait, je n'aurais pas d'autres choix que de fuguer. Je ne pouvais pas manquer cette soirée. Ma mère avait peur pour rien. Dans ma famille, on était tous chrétiens pratiquants et très croyants. En effet, on allait à l'église tous les dimanches. Pour moi Halloween était juste une fête débile où on se déguisait, rien de plus.
Je me levai puis m'installai à mon bureau avant de faire mes devoirs. Je n'avais pas patinoire aujourd'hui car la pneumologue m'avait limité à une fois tout les deux semaines mon sport. Ça m'avait tellement dévasté quand je l'ai appris.

Après avoir fini de faire mes devoirs, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. C'était mon père. Le plan convaincre papa venait de commencer. Je descendis en trombe des escaliers.

— Papa, je m'exclama, essoufflé, en lui prenant dans mes bras.

— Cassy, il dit sur le même ton. Combien de fois on t'a dit que tu ne devais pas courir comme ça ma puce ? T'es essoufflé.

— Nan ça va, je dis en arrivant finalement à reprendre mon souffle.

Ma petite sœur arriva ensuite puis croisa les bras ses sourcils se froncèrent, elle abordait une moue boudeuse.

— Moi aussi je veux un câlin, elle dit.

Il ricana puis la pris dans ses bras.

— Papa ?

— Oui mi amor ?

— Est-ce que je peux aller à la soirée d'Halloween de Madison s'il te plaît ? je dis en souriant, laissant apparaître mes fossettes des deux côtés de mes joues et mes bagues.

— Elle a dit quoi ta mère ? il me demanda suspicieux.

— Maman ? Bah...euh elle m'a dit d'aller te demander.

— Mentir est un péché Cass. Gloria ? il appella ma mère. Elle t'a parlé de la soirée ?

— Oui et je lui ai dit non, elle dit en me fusillant du regard.

— Mais allez s'il vous plaît, je les imploraient.

— Non c'est non Cassy.

J'étais encore une fois super frustré. Je me rendis donc dans ma chambre sous les plaintes de ma mère. J'avais décidé de sauter le diné. De toute façon c'était bénéfique pour moi, j'allais enfin pouvoir perdre mes kilos en trop. Mes cuisses et mes hanches étaient beaucoup trop grosse. Je décidai ensuite de lire un livre. Mon livre du moment était Les Misérables de Victor Hugo. Une heure après, j'entendis quelqu'un frapper à la porte. C'était mon frère qui m'avait apporté une tartine et un jus.

— J'ai pas faim, je lui dis, les yeux rivés sur mon livre.

— Mange, il me dit avant de le poser sur ma table de chevet.

Il s'en alla donc en refermant la porte derrière lui. J'allai ensuite à la salle de bain puis pris une douche.
J'avais mis une chemisette qui m'arrivait juste en haut du nombril et un jogging gris que j'avais piqué à mon frère. Il était un petit peu grand ceci dit et ne faisait que de tomber sur mes hanches laissant apercevoir légèrement ma culotte. J'appela ensuite ma meilleure amie et lui informa que je ne pouvais pas aller à la soirée. Je me posai dans mon lit sans aller souhaiter bonne nuit à ma famille comme je le faisais d'habitude. Je voulais qu'ils culpabilisent de ne pas m'avoir autorisé à aller à la soirée. Mes yeux commençaient à devenir de plus en plus lourd. Ils finirent ensuite par se fermer complètement.

Mes iris étaient toujours clos. Je sentais une sensation d'oppression dans ma poitrine. Ma respiration se faisait difficile et sifflante. J'ouvris donc les yeux et m'assieds sur mon lit avant de me pencher vers l'avant en toussant. Je ressentai plein de palpitations. Mon thorax me démangeais tellement. Je faisais une crise nocturne.

Des larmes dévalaient mes joues. J'avais tellement peur. Je détestais quand ça arrivait.
J'hurlai très fort pour que quelqu'un me vienne en aide. J'essayais de faire mes exercices de respiration mais en vain. Mon visage était en sueur. Soudainement, la porte s'ouvrit en trombe puis mes parents débarquèrent, inquiet.

— Cassy, regarde moi, dit mon père en se précipitant vers moi.

Je le regarda ensuite.

— Penche toi doucement.

Il pris ensuite le bronchiodilateur qui se trouvait sur ma table de chevet et me le donna. Je pris une bouffée et tenta de respirer calmement. Ma mère paraissait inquiète. Je pouvais même apercevoir quelques larmes qui perlaient dans le coin de ses yeux. Après quelques minutes, ma respiration devint enfin contrôlée. J'hoquetai frénétiquement. Mon père me pris dans ses bras où j'éclatai en sanglots. J'étais tellement épuisée. Mon frère se tenait debout à l'encadrement de la porte en regardant la scène, impuissant.

— Je suis fatiguée, j'annonçai en pleurant.

J'en avais marre de ces crises. J'en faisais plusieurs fois par semaine mais très rarement la nuit.

— On sait mon cœur, me chochotta mon père.

On resta ensuite comme ça un petit instant.
Ne voulant pas dormir toute seule, je demandai à mon frère de rester avec moi. Ce dernier accepta et m'entoura de ses bras. Il me fis ensuite un bisou sur le front. J'avais toujours pas arrêté d'hoqueter. 

— Ça va aller Cassy. Essaye de dormir un peu d'accord ?

J'hocha la tête. Peu de temps après, je l'entendis ronfler doucement. De mon côté, le sommeil avait quitté mes yeux.

Le réveille de mon frère retentissait dans mes oreilles. Je n'avais pas fermé l'œil de la nuit. J'avais dormi environ 3h. J'étais tellement exténuée. Elijah décida enfin de se lever et me fis un bisou sur la joue. Je restai allongé dans mon lit, trop fatigué pour me lever. Ma mère aparu ensuite dans mon champ de vision

— Ça va mieux ma puce ?

J'hochai la tête.

— Je suis fatiguée. J'ai pas dormi de la nuit, je lui répondis honnêtement.

— Oh mon coeur, elle dit en s'asseyant à côté de moi sur mon lit. Tu va rester à la maison aujourd'hui, d'accord ?

Je voulais protester mais elle avait raison. Elle m'embrassa ensuite et alla déposer ma sœur à l'école avant d'aller au travail. Je décidai ensuite de dormir un peu, étant trop exténué.

***

J'ouvris enfin les yeux et alluma mon téléphone afin de regarder l'heure. Il était déjà seize heures passées. J'avais reçu une avalanche de notifications. C'était tous des messages et des appels provenant de Maddi, Jamila et Lory. Elles ont sûrement dû s'inquiéter du fait que je ne sois pas venu en cours. J'avais la flemme de leur répondre. J'allai alors à la salle de bain puis pris une douche. Je mis un pull à capuche et un jogging. Je me posai ensuite devant la télé. Mon ventre commençait à gargouiller car je n'avais rien mangé depuis hier midi. J'allai enfin pouvoir perdre du poids. Je regardai donc la télé en silence. Je reçu soudainement un appel de Jamila. Je décrochai donc.

— Cassy ?

— Oui ?

— T'es où ? Pourquoi t'es pas venu en cours ?

— J'ai fait une grosse crise cette nuit et donc j'ai pas dormi de la nuit. Ma mère m'a dit de rester à la maison.

— Oh courage. Avec les filles on a pas arrêté de s'inquiéter pour toi. Ça craint que tu puisses pas venir à la soirée.

— Faut pas s'inquiéter pour moi je vais mieux maintenant. Merci les filles. Ouais c'est nul.

— Tu veux qu'on passe chez toi ?

— Non ça va. Vous devez vous préparer pour la soirée.

— T'es sûr ?

— Ouais. Attends, t'es où là ?

— On est chez Maddi.

Une pointe de jalousie se fit ressentir en moi.

— Je pense que je vais venir tout compte fait.

— Sérieux ? Tes parents ont accepté finalement ?

— Nan, mais l'opération fuguer vient de commencer.

〰️〰️〰️

NDA

Les enfants peuvent être vraiment cruels parfois...

Ouhhh des nouveau personnage!!

Qu'est-ce que vous pensez de Noah ?

Jamila ?

Cassy la pauvre...

La fête d'Halloween va t-elle vriller au cauchemar ? Peut-être bien que oui peut-être bien que non hihihi

Je suis un antagoniste !

Bref la suite arrive la semaine prochaine probablement vendredi.

Prenez soin de vous 💞

Xoxo Meg 💋