Tout était faux
(C'est un chapitre plutôt long voir très long alors si vous voulez une histoire rapide à lire aller en lire une autre et revenez après ! J'ai besoin de vous étant donné que c'est une histoire sortit tout droit de mon imagination impure XD
Commenter le plus que vous pouvez je lis tout et prend toute les critiques.)
Le groupe de Ben courait silencieusement dans les rues sombres de Amsterdam. Ils passaient par dessus les murets comme une bande de chats.
La police leur courait après avec beaucoup de difficulté. Les rebelles avait réussi à faire exploser une bombe fumigène au nez de la police.
Ben sentit un ses chiens lui prendre la jambe. Il se retrouva au sol les bras en croix devant son visage se protégeant de la matraque. Il sentait la douleur vif lacérer ses avants bras avant de sentir le policier le prendre par le col.
- Où est votre chef ?! Répond !
- J'sais pas... il va où il veut, il lui souris à pleine dents. Peut être qu'il est en train de niquer ta fille ?
Le coup laissa Ben avec un désagréable sifflement dans les oreilles. Il sentis le goût métallique du sangs dans sa bouche et porta sa main à sa bouche. Il se prit un coup dans le ventre qui le fis se tourné pour vomir.
Il était à quatre pattes dans la petite ruelle à regarder de son regard trouble la petite marre de sangs et de vomi.
- Parle pas de ma fille !
- Désolé, il essuya sa bouche. J'ai dis ta fille ? Voulais dire ta pute, tu crois que je sais pas que tu trompe ta p'tite femme avec qui déjà ? Vanessa ?
L'agent sortie un tazeur et infligea un violent coup de jus au brun. Son corps tout entier brûlait de l'intérieur, ses muscles se contractaient et se décontractaient tout seul tendis que son coeur battait de façon anarchique.
- Alors ?, le policier regarda le garçon convulser. Qui aurait cru qu'un jour moi, Thomas Romans, verrait la pute du chef des rebelles à quatre pattes à mes pieds ?! Moi au moins je suis pas devenu flic en suçant mon boss ! Tu croyait qu'il "aimait" un con comme toi ?! FAIS MOI RIRE ! T'es juste une pute de plus. Arrête de rêvé gamin.
Ben ferma les yeux et entendit un bruit sourd derrière lui.
Il vit la silhouette flou de Jun au dessus du corps assommé du policier. Il mit le bras de son camarade sur son épaule et se mit à marché vers leur planque.
- Ils sont la !
Jun jura en se cachant derrière une voiture pour éviter les coups de feux. Il respira un grand coup et laissa Ben appuyé contre la voiture. Ben regarda le roux tirer sur l'officier avec un air concentré. Le brun voulait l'aider mais ses bras le brûlaient et sa tête vibrait.
Jun abattus le chien et reprit Ben avant l'arrivé des renforts. Ils étaient enfin arrivé sur leur territoire, dans la partie abandonné de la ville. Il tira Ben jusqu'à un immeuble où une jeune blonde les accueilli costumé.
- C'est quoi ça ?, demanda Jun en faisant assoir Ben sur le canapé.
- Harley Quinn, répondit la blonde en examinant le brun. C'est halloween, comparé à vous je ne me déguise pas souvent pour passé incognito.
Elle déchire les manches de la chemise de Ben et vit sa chaire à vif. Ses bras étaient couverts de bleus et son épaule gauche était légèrement cramé avec par le tazeur.
Harley le mis sous anesthésie le temps de le soigné. Elle lui mit un baume sur ses brûlures et referma ses blessures.
- Amène le dans sa chambre à l'étage.
Ben ouvrit doucement les yeux tendis que Jun le déposait sur son lit. Le brun prit doucement le bras du plus vieux encore dans le brouillard.
- Jun... ?
Pour toute réponse, il entendus la voix du rouquin faible comme si il parlait à travers de l'eau. Les paroles glaçantes de l'agent ricochait contre les parroies de son crâne. Son visage couvert de blessures gardait un air comateux mais des larmes coulaient sur ses joues pâles.
- J'suis pas une pute...
Jun ouvrit grand les yeux sans comprendre. Il mit sa main sur la joue boursouflée du brun en souriant. Pour passé incognito dans la ville il c'était déguisé en vampire. Maintenant, Ben avait les manches déchiré et sa cape était déchiré.
Le roux mit ses mains en coupe sur les joues du bruns et l'embrassa avec douceur. Ben trembla doucement en sentant les lèvres de Jun passé sur sa coupure à la lèvre. L'effet de l'anesthésie rendait son esprit brumeux et il se sentait étrangement serein. Comme si il était dans un rêve éveillé.
Il mit ses mains sur la nuque de Jun en approfondissant le baiser. Le roux n'attendit pas plus longtemps pour poser sa main sur les hanches du vampire. Leur lèvres se détachent dans un soupir commun.
Les fines lèvres blessé de Ben déposa de multiples petits suçon dans le coup laiteux de son supérieur. Ce dernier avait commencé à détaché la ceinture de son cadet d'un geste vif. Le brun s'assit sur le roux en ouvrant les boutons de sa chemise déchiré sous les yeux verts du plus vieux.
Ben allait l'embrasser à nouveau avant de le regardé. Il se stoppa net. Jun passa l'une de ses mains sur les fesses enfin nues de son poulain et l'autre sur son torse imberbe.
Ben ne se sentait plus du tout exciter. Il sentait les caresses du rouqin sur son engin, il sentais ses doigts en lui, ses baisers sauvages et son membre dur lui taper sa prostate. Il mentirait si il disait qu'il n'avait pas courbé le dos sous ses allés et venues.
Il avait même lâché de multiples cris quand il le branlait tout en le pénétrant. Il ne pouvait pas dire que ça ne lui avait procuré aucun plaisir. Mais il pouvait dire qu'il n'avait ressenti aucun sentiments.
Il se rappela du regard vicieux de Jun quand il était en train d'enlever sa chemise. Il n'y avait pas d'amour dans se regard, il n'y avait que de l'envie et de l'excitation pure.
Ben le retint par la manche quand Jun se leva pour partir.
- Je t'aime, lâcha le brun soucieux.
Jun sourit en me caressant la tête.
- C'est vrais.
Après son départ, Ben se mit en boule sous sa couverture. Il pleura pour toute ses fois où il avait été aveugles aux signes. Toutes ses cois où il avait vu Harley entrer et sortir de sa chambre en disant qu'ils parlaient de l'avenir de la rébellion. Les fois où Jun lui avait dit de s'assoir boire avec lui pour finir par le prendre sur la table.
Il se souvient de ses trop nombreuses fois où il était assis les jambes autour des hanches de Jun pendant que se dernier était au téléphone tout en bougeant son membre en lui.
Toutes ses foix où il avait dit «je t'aime» sans réponse. Il n'était réellement qu'une pute, une vulgaire traîné qui avait été enrôler dans la rébellion pour se faire baiser à la demande.
Il mit des habits neufs et son sac et sortit en trombe de sa chambre.
- Où tu vas ?! Tu es blessé, siffla Harley en le pointant de sa batte de baseball. Reviens !
Ben se retourna en levant ses majeurs avant de poussé la porte de l'immeuble. Il allait se venger de celui qui avait prit sa virginité et sa fierté. Et ça allait tout changé. Un nouven Ben était née au moment où Jun l'avait laissé chialer dans ses dras.
À suivre...
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