{re mis en ligne}

J'attendais pétrifié la réponse à ma demande. Je me demandais comment Théo allait réagir lui qui a toujours vénéré les femmes à grosse poitrine.

Je l'entends s'approcher de moi. Je m'attendais à me réservoir son poings où encore à le voir partir. Mais il déposa simplement un baiser sur mes lèvres avec une douceur incroyable.

- Oui.

Le stresse dus à ma demande, le poids des mots que j'avais dis, la peur d'un refus, tout disparu avec se seul mot.

Je lâche un soupire en riant. En relevant les yeux, je vis les siens illuminés d'une lueur folle.

Il déposa sa main sur ma joue et approfondie le baiser en le faisant duré une merveilleuse éternité. Son souffle chaud et régulier glissa sur ma peau, embrassa chaque parcelle de se dernier.

Je ne sentis pendant plusieurs minutes que sa chaleur avant que nous ne formions plus qu'un. Une explosion de sensations encore inconnue et horriblement addictif. La douleur, le plaisir, l'amour tout était mélangé dans un duo coloré entre lui et moi.

Alors que nous étions vidé de toute énergie et que tout se que l'on pouvait faire été se regarder, il rit.

- Je ne pensais pas que tu étais assez courageux pour faire le premier pas.

- Comme ça on est quitte. C'est toi qui est venu vers moi il y a dix ans, lachais je en fermant doucement les yeux.

Je pus presque le sentir sourire dans le creux de mon cou. La fatigue me rongeait et les draps de Théo étaient moelleux et surtout imprimé de son odeur.

Cette nuit la, comme celle qui suivirent je me prévoyait lui disant que je l'aimais, je revoyais notre première fois et nos main enlacés.

- Luc, souffla mon compagnon exaspéré. Tu m'écoute parfois où jamais ?!

- Désolé, je pensais à la chance que j'avais de t'avoir.

Ses joues prirent une teinte rouge et il détourna la tête.

- Arrête de sourire bêtement.

Ses paroles ne firent que amplifié mon sourire idiot se qui lui arracha un autre soupire. J'étais perdu dans mes pensées et n'avais pas remarqué le monde qui se trouvait dans le métro. Je n'étais pas très imposant et assez efféminé du coup les gens ne me voyait pas où dus moins ne faisait pas attention à moi. Mais j'en avais d'habitude. Moi aussi si je faisais 1m89 je ne faisais pas attention à un mec de 1m70.

Une jeune femme profitant du train bondé se colla à mon bras en mimant avoir été poussé par son amie.

- Excusez-moi !

- Non se n'est rien. Vous allez bien ? Vous ne vous êtes pas fais mal en trébuchant ?

Elle me répondit que non et me demanda si j'avais une copine. Je lui répondis que se n'étais pas exactement se que l'on pouvais clarifié de copine et elle ria. Je ne pense pas qu'elle ait compris pourquoi je disais ça mais je m'en fichait. Qui y a t'il de mal à papoter avec une femme qui nous ait volontairement rentré dedans ?

Pour une raison inconnue, je sentais Théo bougé à côté de moi. Le monde autour de lui l'empêchait de faire de grand geste et vu que j'avais la tête appuyé sur son torse il ne pouvais même pas tenté un mouvement à moins de me poussé contre la jeune femme.

- C'est ton frère ? Il te ressemble à par qu'il est plu grand.

Je suis son regard et tombe sur Théo. C'est vrais que 1m87 était supérieur à 1m70... Mais j'avais beau le regarder pendant longtemps je ne nous voyais aucun point commun. Il était sportif et ses muscles étaient bien dessiné par son T-shirt noir légèrement dévoilé par sa veste de cuire. Ses mèches brunes était relevé et ses noisettes brillaient constamment de vie.

Moi j'étais un petit brun normalement constitué avec des cheveux court avec une frange légèrement relevé. Ma soeur disais de moi que j'étais le sosie capillaire de Dylan O'brian dans Teen Woolf... Si j'étais beau ça se saurait.

- Hum hum, mon ami me sortie de ma contemplation.

- Oh oui pardon !

Je me retourne en direction de la jeun fille en me serrant contre Théo.

- Se n'est pas mon frère mais mon copain, dis je afin de répondre à sa question.

Mon dit copain eut un mouvement de surprise et se cogna contre l'amie de mon interlocutrice. Il s'excuse avant de tourner la tête vers l'extérieur du wagon. Je le voyais rougir et l'entendis lâcher une simple phrase «Tu es trop direct et innocent...»

Je recolle mon fameux sourire idiot sur mon visage avant de guetter la réaction de mon interlocutrice.

La femme prit mes mains dans les sienne en souriant les yeux grand ouvert et brillant d'admiration où en tout cas ça en avait l'air... je crois ?

- Ahhhh ah ! Salut moi c'est Clémence je suis une yaoiste et [...]

Une fois son arrêt venu elle me laissa son compte Wattpad sur un bout de papier.

Une fois rentré, Théo me pressa pour ouvrir la porte et me conduisit dans la chambre. Je m'enfonce dans l'oreiller un peut sonner par tant de rapidité.

- Ne me regarde pas comme ça. C'est ta punition pour avoir accepté les avances d'une femme.

J'écarquille les yeux en riant.

- Voyons tu sais bien que tu es le seul à pouvoir être ma copine.

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