la dernière heure du condamné (+18)
Bonjour ce chapitre contient du Lemon de psychopathe masochiste 😂 (du lemon plutôt sal sur les bords si tu vois se que je veux dire). Je ne veux choqué personne où encore me recevoir des messages du type :
«Burk c'est dégueulasse ! Jvoulais juste voir un yaoi pis je me tape de la baise ! Je suis outré dégouté et indigné je vais me désabonner.»
J'invite les personnes restantes à commenté (vous avez le droit d'être choqué où dégouté j'veux juste pas de commentaire de rageux😂). Bonne lecture bande de pervers que j'aime 💜
Ben sortie une paire de gants noir de sa poche et les mis d'un geste de chirurgien.
- Que compte tu faire ?, demanda calmement Jun.
- Enlever se regard hautain de ton visage, il sortie une petite boîte comprenant une minuscule seringue de sa poche de sweat. Et le remplacé par un regard rempli de... je ne sais pas... d'une envie irrésistible de comblé tes attentes sans pouvoir y arriver ? Oui, je crois qu'on peut dire ça.
La piqûre ne déstabilisa pas le rouquin qui semblait moins sur de lui à présent. Il ne sentit pas tout de suite les effets du produit. Mais quand il le sentit, un frisson le parcouru.
Son corps entier était comme envahis d'une envie bestiale et désinvolte de se "vider". Ses jambes bougeaient sous la nervosité. Il essaya de prendre sur lui mais Ben passa dangereusement sa main sur le haut de sa cuisse, renforçant son envie d'assouvir ses envies malsaines.
Il ne pouvait plus caché ses grognement de plaisir quand Ben défit les boutons de se qui comprimait le membre du plus vieux. Ce dernier serra les dents quand les doigts du blond touchèrent son entre jambe en retirant son boxer. Son excitation déjà grande face à Ben était amplifié par l'étrange liquide qui parcourait ses veines.
Il crut enfin se libéré quand Ben prit son membre dans sa main, mais le roux déchanta bien vite quand il sentit un objet long et fin rentré à l'intérieur de son gland. Empêchant tout liquide d'en sortir.
- C'est pour m'assurer que tu tiendras bien l'heure, expliqua Ben avec un ton calme.
Ben se racla la gorge en jouant avec son gant noir. Il regarda Jun, le membre dressé, attaché et haletant sans détourné le regard.
Les yeux claires de son ancien chef le suppliaient de mettre fin à cette attente. De mettre fin à sa frustration et de le laisser éjaculer. Mais tout cela ne plaisait pas à Ben, il lui manquait quelque chose. Certes, Jun était au bord des larmes tant il était frustré et tant son membre dressé le faisait souffrir... mais il manquait un truc.
Quelque chose qui allait enfin le venger de tout les gestes humiliants que lui avait porté Jun. Ben réfléchi un moment avant de faire claqué le gant contre son poignet.
- J'ai trouvé !, il ouvrit chaque tiroir du bureau avant d'en sortir un god d'environ quinze centimètres. Je savais bien que tu l'avais encore.
Jun ouvrit grand les yeux implorant. Il voulait enfin pouvoir ressentir le plaisir qu'il convoitait mais pas comme ça ! Ben entreprit d'enduire l'objet de lubrifiant avant de s'attarder sur un bouton de se dernier. Il plissa le nez.
- Il est vibrant ? Vraiment ? Étrange invention !, il leva les yeux vers Jun. Tu sais quoi ? Je vais te faire lever le cul de ta chaise, le mettre en dessous et simplement attendre que la gravité est raison de toi. Je sais pas si ça va marché mais bon, ils nous restent cinquante minutes.
Il obligea Jun a se levé légèrement, se qui fut laborieux étant donné qu'il était menotté à la chaise, et plaça l'objet vibrant à l'entrée de Jun. L'objet lui caressait doucement l'anus en vibrant tendit que Ben essaya tant bien que mal de placé le god droit.
Sans réellement le faire exprès, Ben s'appuya sur la cuisse de Jun pour se relevé ce qui fit perdre l'équilibre à se dernier qui retomba violement sur l'objet.
Ben surpris le regarda lâché un crie suivit de sorte de couinements de plaisir. Il comprit après un léger instant se que son acte maladroit avait fait et il s'en remercia.
Jun sentait l'objet entier en lui, vibrant de toute ses force en lui lui procurant à la fois une douleur et un plaisir. Il ferma les yeux en laissant une larme rouler sur sa joue. Le plaisir était là, mais il ne pouvais toujours pas éjaculer et la douleur de son membre l'empêchait de se détendre.
Il sentit un fin tissus l'aveugler avant de sentir l'objet dans son gland se retiré. Son membre fut alors entouré par une chaleur qu'il connaissait bien. Il mit toute sa force dans ses hanches et fit de léger va et viens dans le blond.
À chaque mouvement, il se faisait à la fois plus profondément pénétré et pénétrait également plus profondément Ben. L'effet que lui procurait le mélange du god et de Ben le fit jouir en une minute. Il entendit le blond râlé au dessus de lui.
Ben prit l'initiative et se tiens fortement au dossier de la chaise tout en faisant des mouvement lent et saccadé de haut en bas. Jun était vraiment bon et le fait d'avoir lui aussi quelque chose dans le cul semblait le rendre encore plus dure que ce qu'il n'avait jamais été.
Après une vingtaine de minutes, le god se stoppa tendis que Ben et Jun vinrent en même temps. Quand Jun retrouva la vue, il était détaché, seul dans son bureau. Il retira le god dans un frisson et tomba à quatre pattes sur le sol comme si ses jambes ne le tenait plus.
Ben revint après quelques minutes en lui jetant des vêtements avec un regard glacial.
Les bottes en cuirs de Thomas tapait le sol d'un bruit sourd. Il se trouva devant l'immeuble du fameux chef des rebelles avec ses hommes. Il allait être boucler, il allait enfin se faire fusiller !
Ben sortie torse nue son sweat à la main. Il l' enfila rapidement avant de faire signe à l'homme et à sa troupe de venir. Ils descendirent tous à la cave et quand le blond poussa la porte, Thomas ouvrit la bouche de stupeur.
Son ennemi de toujours, le maître des rebelles était assis par terre enchaîné le regard vitreux avec un air de victime qu'il n'avait encore jamais eus.
- Que lui as- tu fais ?, demanda Thomas en regardant Ben.
- Je me suis chargé de le rendre plus docile. Je peux vous dire qu'il n'est pas près de se battre.
Le roux détourna son regard vers le sol en retenant un léger sanglot. Thomas frémit en sentant le regard insistant de Ben sur lui.
- Qu'attendez vous pour emmener votre "prisonnier" ? Aller on se dépêche, on a pas que ça à faire ! Tuer le, interroger le, violer le, faite ce que vous voulez mais sortons ! Cet immeuble me rappelle trop de mauvais souvenir.
Les hommes de Thomas prirent chacun Jun par un bras et le tira hors de l'immeuble. Le vieil homme marchait derrière Ben soucieux. Ce garçon avait réussi à rendre docile le plus dangereux des rebelles, il avait démantelé toute son ancienne organisation et avait tué son unique soeur d'après les dires d'un agent.
Ce garçon avait déjà trahie ses frères d'armes, sa famille... et il était maintenant totalement du côté de la police ? Thomas sentit un frison le traverser.
- Ça fait quoi d'être battue ?, demanda Ben en riant à Jun. Tu te crois toujours aussi invulnérable ?
Jun lui jetta un regard assassin.
- Ouh, j'ai peur ! Que crois tu qu'il puisse m'arriver maintenaient ? Personne ne peux plus rien contre moi !
Ben arrêta de sourire tendit que Jun regarda la vitre de la voiture de police devenir de plus en plus sombre. Il partie alors d'un rire démoniaque remplie de folie.
- TU T'ES FAIS PLOMBÉ ! LE GRAND BEN C'EST FAIT PLOMBÉ !AHAHAHAHAH !!!
La voiture démarra et Ben tomba à genoux, la main sur son ventre. Thomas le regarda d'un air désolé.
- Tu étais trop intelligent, Benjamin, trop intelligent.
Ben sourit légèrement. Il avait enfin eut sa vengeance, il avait enfin réussi à racheter ses actes de rebelles en aidant la police, il allait enfin entreprendre une vie normal.
C'est lorsque sa vue devint flou que les remords vinrent. Il avait l'impression que toutes les personnes qu'il avait tué le prirent par les vêtements et le tirait en enfer. La voix de sa soeur bourdonnait dans ses oreillers. Il ne voulait pas la suivre, il ne voulait pas avoir à se faire châtier pour ses crimes. Il hurla intérieurement pendant que ses victimes l'emmenaient en enfer. Il allait être condamné en enfer !
Il venait de rendre son dernier souffle. Il venait de passé sa dernière nuit, de condamné.
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