= jazzy bazz // 5 heure du matin


2:30

Sa belle n'était plus sienne, il en prenait pleinement conscience maintenant qu'il l'a voyait avec cet autre type. Tout le contraire de lui, un grand brun au physique de dieu grecque, un gars a la mâchoire ciselé et au biceps dessiner. Un gars comme elle, un type tranquille. Pas un mec comme lui, pas aussi hyperactif et possessif, a la vie trop actif.

Dans l'appartement face au sien, par la fenêtre plus bas, il les voyait tout deux. Et ça lui faisait mal. Terriblement mal. Il avait pourtant tenter de se persuader qu'il était pas fait pour elle, que leurs histoires n'avait été que du bidon. Mais putain qu'est-ce qu'il l'aimait, il pouvais pas s'en empêcher.

Il s'était imaginer certaines fois aller la bas, fracasser la gueule de se connard qui la prenait par la taille, et en suite la rejoindre pour l'embrasser comme il l'avait jamais fait.

3:00

Défoncé, mais toujours debout. Pourquoi y'avait encore de la lumière dans son appartement ? Ne dormait-ils jamais ? Ils devaient passer leurs temps a faire l'amour. Un puissant sentiment de rage l'envahit a cette pensée, non, il voulait pas l'imaginer en train de la toucher.

Dans son coeur et son esprit, elle était toujours a lui.

Il mourrait d'envie d'aller la bas, a l'instant il avait juste besoin de ses bras. Il ne pouvait plus dormir, il n'y arrivait plus depuis un moment, alors il s'était mis a écrire, et il était temps de s'y mettre. Mais il écrivait sur elle, même en essayant de partir sur un autre sujet, tout revenait a elle. Alors quand ça lui prenait trop la tête, il prenait son téléphone.

Et là il allait sur son profil, il stalkait ses photos, cherchant son sourire, essayant de découvrir si elle était heureuse où si elle faisait semblant. Elle n'avais pas effacer la photo ou il était avec elle, faut dire qu'on le reconnaissait pas forcement, mais elle l'avais pas effacer c'est qu'elle ne l'avait pas définitivement rayer de sa vie.

3:55

Il se souvenait de ses baisers qui le faisait planer, et d'a quel point il pouvait pas s'en passer. Il avait envie de la retrouver. C'est pourquoi il était là, devant sa porte, a une heure des plus tardive. La lumière dans son appartement était toujours allumé, il ne dormait pas encore. Il se demandait ce qu'ils pouvaient faire debout a des heures comme celle ci. Il attendait, quoi, il savait pas vraiment. Il avait pas forcement le courage de frapper a sa porte. Il se sentait con d'un coup, c'est vrais qu'est-ce qu'il croyait ? Il savait même pas ce qu'il dirait si elle venais a lui ouvrir, et puis son macaque là, il trouverait pas un truc a dire lui ? Bat les couille. Ce gamin c'était qu'un détail, une claque sur l'oreille et c'était régler. Ouais, il allait frapper, il allait vraiment le faire.

Puis, il l'entendit. Elle criait, le garçon aussi, ils se disputaient. Mais ils se disputaient fort, ils ne semblaient pas se soucier de ne pas être les seuls a vivre ici. Il essayait de comprendre la raison de pourquoi ils se disputaient, semblait que le gars avait finit par comprendre quelque chose. Mais quoi ? Ah, apparemment elle l'aimait pas suffisamment.

Ouais bah, qu'il s'estime heureux d'être avec elle déjà.

De toute façon, c'était pas lui qu'elle devait aimer. Il y eut un gros fracas, et un silence totale. Là c'était louche, il fallait intervenir. Si ce petit con avait oser la frapper, alors il répondait plus de rien et il se déchainerait sur lui. Il allait ouvrir la porte et intervenir, mais avant même de toucher la poignet, celle ci s'ouvrit sur le garçon. Les cheveux coiffer de frais, les yeux brillants, sa joue droite écarlate comme s'il venait de se manger v'la la baffe. Il avait enfiler a la hâte sa veste de cuir sans même prendre la peine de mettre un t-shirt, et dans sa main il tenait un sac de sport gaver d'truc bourrer la dedans au hasard. Elle l'avait gifler. Il partait.

Le brun fut surpris de découvrir quelqu'un sur le palier, il soupira lourdement en secouant la tête et serra les mâchoires.

«— J'te la laisse s'te folle, souffla-t-il avant de le bousculer pour partir.

Il l'observa descendre les escaliers en vitesse et s'attendit a la voire arriver en courant pour lui crier de revenir, mais elle ne pointa pas le bout de son nez. Alors il poussa la porte, pour entrer dans l'appartement qu'il connaissait par coeur.

Et elle était là, en pleure sur le sol a essayer de ramasser les pièces manquante de son ordinateur. L'appareil était mort de chez mort, c'était surement ça que le type avait claquer par terre. L'écran était rester allumer comme par miracle, et il se raidis en découvrant le fond d'écran de celui ci. C'était elle, et lui, ils souriaient, ils s'aimaient. A l'époque, qu'est-ce qu'ils le faisaient bien.

Les épaules de la belle blonde tressautait, et il ne supportait pas de voir ça, ce connard ne l'avait pas touché, mais il lui avait fait du mal.

Elle se redressa, tentant de se calmer vainement et lui il resta un instant dans le couloir a l'admirer. Putain, son carré blond lui allait trop bien, il mettait en valeurs le petit tatouage dans sa nuque, celui qui représentait juste deux petites cornes de démon. Elle portait un t-shirt large au couleurs complètement délavé et fade, et il était a lui.

Il rêvait ou elle continuait de l'aimer ?

Ses longues jambes étaient couvertes de bleus, comme toujours. Et elle ne portait pas de soutif, c'était un détails qui ne lui échappait jamais.

— T'es en fond d'écran sur mon ordinateur, souffla la blonde entre deux sanglot.

Et elle se tourna vers lui, ses yeux verts remplis de larmes.

— Ivàn, les larmes roulèrent de plus belle. J'peux plus, j'y arrive plus.

Elle retrouva sa place sur le sol, et les sanglots reprirent. Il avait horreur de ça, qu'elle pleure autant. Il s'approcha, fermant la porte derrière lui d'un coup de pied. Il se posa en tailleurs face a elle, et pris son menton entre ses doigts pour lui faire redresser la tête.

— C'est pour ça qu'il est partit ?

Elle hocha la tête simplement comme réponse. Elle riva son regard sur le sien, et sa respiration sembla se calmer, les larmes cessèrent de couler.

— Quand j'étais avec lui, j'fermais les yeux pour m'imaginer que c'était toi.

Elle ferma les paupières et il se perdit dans sa contemplation. Elle était douce comme du miel, les traits du visage extra fins, un nez en trompette qui lui donnait parfois un air de gamine, des grands cils qui brisait des coeurs en un battement, des joues roses a en faire pâlir le ptit chérubin tout gras d'la st-valentin. Et ses lèvres putain, ses lèvres a la galbe parfaite qui se mêlait au sienne avec merveille.

Il en revenait pas de se qu'elle lui disait là, il avait l'impression que son coeur allait lâcher.

— Tu me manque de trop.»

Cette fois il n'en pouvait plus, alors sans attendre plus, il plaqua ses lèvres sur les siennes. Elle répondit au baisers instantanément, s'accrochant a lui comme si elle avait peur qu'il finisse par s'envoler. Il avait faillit oublier a quel point s'était bon d'échanger un baiser avec elle, il s'en lasserait jamais et a l'instant il l'a voulait.

Rien a foutre si elle était avec un autre y'a 10 minutes, elle l'avait pas oublier, elle l'aimait. Elle était imprégner de lui, elle avait cette façon de l'aimer qui les rendait tout les deux lumineux.

Ensembles, ils étaient parfait.

Alors il glissa ses grandes mains sous ses fesses pour les saisir et la soulever, a fin qu'elle vienne sur lui. Il quitta ses lèvres, pour les laisser se promener dans son cou, suçoter quelques morceau de peau pour lui laisser des traces comme un adolescent qui voulait marquer son territoire d'une façon débile. Mais elle gémissait, en même temps, alors c'était trop bon de lui faire ça.

Il laissa ses mains se balader sur son corps, jusqu'a ce qu'il cede a la tentation et vienne lui caresser les seins, et sous ses gestes elle se cambra et pris son visage en coupe dans ses mains. Les yeux dans les yeux, ils se fixèrent un moment, et c'est a ce moment qu'ils prirent conscience de tout l'amour qu'ils pouvaient se porter l'un pour l'autre. C'était trop fort. Elle l'embrassa, doucement et tendrement d'abord, puis avec plus de fougue en suite, ondulant de ses hanches sur lui pour qu'il continue ses caresses.

Et il aurait voulu mettre se moment sur pause pour l'éternité comme s'il avait été dans un film, parce que c'était tellement parfait, qu'il avait peur de la suite. Alors sur le moment, il profita pleinement.

5:00

A travers la fenêtre, les rayons du soleil se tracait un chemin jusqu'a leurs corps nues et enlacer sur le sol du salon. D'un geste lent, presque hypnotique, il lui caressait l'épaule, et elle le torse.  Il peinait a y croire, elle était dans ses bras, l'oreille poser contre son torse, elle entendait surement très nettement les battements de son coeur. Et il n'y avait aucun doute que celui ci était en train de lui jouer une mélodie de fou, rien que pour elle. Elle se redressa, embrassant rapidement le bout de son nez, puis elle posa son menton sur son torse et l'observa. Il n'y avait besoin d'aucun mot a l'instant, tout était bien comme ça, ils se comprenaient dans leurs silence et se suffisaient.

C'était parfait.

1609 mots ! Je m'impressionne mdr.
Je crois c'est genre ma fav. 😳

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top