Invisible insomnie,les lampadaires de la ville éclairent mes nuits, à travers les gouttes de pluie je ne distingue pas mon avenir. Je sens tes griffes me retenir, elles s'enfoncent tout doucement dans ma chair tendre laissant ton passage apparent.

Cicatrices visibles invisibles, vous me blessez mais c'est toi la plus violente. Aux heures dormante tu me rappelles tout ce que je déteste tout ce qui fait que je ne devrai plus être. Tu me hurles de ton silence que c'est moi le problème que c'est moi qui ne devrai plus être.

Tu me test, tu me stress, de ma détresse tu te nourris chaque nuit. Lorsque tu me laisse enfin un peu de répits, c'est dans l'horizon des songe, que tu reviens à la charge, jamais rassasier, jamais satisfait.

Tes amis les cauchemars me frappent et je me réveille en larmes. Je ressens ta présence de le silence pesant de ma chambre.

Créatures de la nuit, invisible aux saint d'esprit. Je vois la solitude à tes coté elle pèse sur mon cœur, vous me bouffer de l'intérieur.

Les heures passent, la nuit trépasse et tu te lasse.

Je m'endors enfin mais le matin reviens avec lui la vie. Malheureusement pas adapter au oiseau de nuit.