texte 8

Ils regardaient le ciel. Le soleil avait franchit l'horizon, et disparut de l'autre côté de la Terre. Le ciel était teinté de rose, d'orangé, de rouge et de bleu. Les nuages, vaporeux, dansaient au rythme de la légère brise de soirée. L'herbe sur laquelle ils étaient allongés était encore parsemée de rosée, dont les gouttelettes transperçaient légèrement leurs habits. Aux côtés de l'homme se trouvait une jeune femme dont la beauté coupait le souffle. Ses cheveux couleur de feu étaient dispersés autour de sa tête à la manière d'une couronne. Elle ressemblait à une poupée de porcelaine tant sa peau était pale. Des centaines de minuscules taches de rousseurs parsemaient son visage. Ses long cils lui faisaient un regard de biche, tandis que ses yeux d'un bleu très clair, presque translucide, plongeaient doucement en vous lorsqu'elle vous regardait. Sa longue robe blanche dansait au gré du vent. Ils se tenaient la main.

Après avoir pris une photo du firmament, il se leva et l'invita à danser. Ils restèrent ainsi pendant de longues minutes, au bout desquels, il l'embrassa. Son baiser fût bref, pratiquement volé. Mais ils en savourèrent chaque instants. Il savait qu'il aurait l'occasion de profiter plus amplement de sa dulcinée, et ne voulait rien précipiter. Il la prit dans ses bras bronzés, et enfouit ses longues boucles noir de jais dans le cou de sa muse aux cheveux rougeoyant. Ils étaient magnifiques, et formaient un couple que tous enviaient par sa beauté, sa sincérité, et sa profondeur. Tout n'était qu'amour pur, et non qu'attirance. Il l'aimait depuis des années, mais ne s'était autorisé à lui avouer que récemment. Évidemment, il avait eu des doutes. Il avait eu peur. Mais elle l'avait rassuré. Et avait alors débuté une relation sincère, qui leur apportait tout ce qu'ils nécessitaient. Il était blessé, détruit, et plongé dans une bulle de négativité qui le rongeait. Il avait faillit tout abandonner bien des fois, mais elle avait été là. Et depuis cet instant magique où tout avait été dit, tout deux flottaient sur un nuage où tout leur appartenait, et tout n'était que beauté. Il respirait à nouveau, souriait, et sa négativité d'autre fois été devenue bonheur et magie, qu'il ne manquait pas de partager avec ceux qui l'entouraient.


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