07
Les premiers mensonges
Niall avait les mains dans les poches et était devant la porte de chez lui. Il savait qu'il allait se faire engueuler, mais rien ne pourrait pas lui retirer sa joie. Il avait le numéro de téléphone d'Anémone et son oncle lui avait donné l'autorisation pour l'inviter une après-midi ou un soir -si elle ne revient pas trop tard- pour l'emmener au cinéma ou autre part. L'oncle avait comme même préciser que Niall ferait mieux de ne rien tenter s'il ne voulait pas finir défigurer. L'oncle avait fait forte impression et était fière de cela. Il savait, au moins, qu'ainsi, Niall éviterait de briser sa petite chérie contrairement au précédant.
L'oncle de la jeune fille, Arthur, s'en voulait pour la douleur que la belle avait ressentie à cause de son ex, qu'il avait laissé bien trop libre. Il ne voulait pas refaire la même erreur, malgré qu'il appréciait comme même bien Niall. Il voulait garder un oeil sur lui. Il n'avait pas envie que l'enfer recommence alors qu'il c'était terminé que quelque temps auparavant. Cela faisait un mois que la jeune femme allait mieux et il n'avait pas vraiment envie que cela décline aussi vite à nouveau. Il s'en voulait énormément et le cachait magnifiquement bien à Anémone.
Niall attendait sur le porche d'entrée que ces parents remarquent qu'il était là. Mais, il finit comme même par entré, essayant de passer le plus inaperçu possible, mais cela se solda en un échec hilarant. Il c'était prit le pied dans la porte en la fermant et se péta la gueule, dans les règles de l'art et en faisant autant de bruit qu'un troupeau d'éléphant qui court. Il aurait pu faire nettement mieux comme entrée, mais il n'avait vraiment exprès. Il se saurait bien passer de s'étaler par terre comme une merde, évaillant la curiosité des ces parents. Il s'attendait à des sermons, mais il n'en reçu aucun. En fait, il croyait qu'il était en retard, mais il ne l'était. Il avait courut du café à la maison, pour rien.
Niall alla directement dans sa chambre, envoyant un message à Anémone, donc le nom le perturbait toujours autant, dès que ses fesses touchèrent le matelas doux et mou de son lit. Il aimait son matelas, pas autant que l'amour qui commençait à monter doucement qu'il ressentait à l'égard de la jeune fille. Il lui envoya un message, un simple message qui avait amené l'irlandais à avoir un sourire béa sur le visage. Il savait qu'elle ne lui répondrait pas encore, comme elle n'avait pas encore finit son service. Il le savait mais malgré tout, il resta bloqué sur le téléphone, telle une panthère sur sa proie à la vue de l'arriver d'un message. Mais elle lui répondit.
Message d'Anémone:
Tu n'as rien à faire d'autre de ta journée?
Message de Niall:
Désolé, mais j'aime tellement te parler.
Il ne reçut plus aucunes réponses. Il eu un pincement au coeur Il voulait être respectueux, montrer qu'il en valait la peine qu'il n'était pas comme son précédant copain. L'oncle d'Anémone l'avait mit en garde à propos de celui-ci et aussi, de ne pas faire la même chose que lui. De toute façon, il n'était pas ainsi et ne le sera sûrement jamais. Il avait autre chose à faire de sa vie que de briser le coeur de celle qu'il commençait à aimer, mais surtout de s'en rendre compte. Il avait autre chose à faire de sa journée, si déjà elle lui répondait.
Niall alla sur son balcon, admirant la belle vue qu'il avait de là-haut, de son perchoir. Il posa son corps contre la rambarde, la faisant supporter son poids. Il regardait vers l'horizon, de son balcon il pouvait voir le café, même si ce n'était qu'un bâtiment au milieu de tout. Il ne voyait pas vraiment bien parce qu'il était loin, mais il reconnaissait l'enceinte de bâtiment et son architecture assez ancienne comparée à celle des autres cafés de la ville. Il sortir son téléphone de sa poche, croyant sentir son vibreur. Il n'avait pas tord.
Message d'Anémone:
Laisse-moi tranquille, je ne veux rien avoir avec toi. Dégage de ma vie avant de la transformer en de la merde, comme tout ce que tu touches.
Niall fit tomber son téléphone, qui se brisa sur l'herbe. Il n'en revenait pas qu'elle pouvait pas être ainsi. Cela ne lui ressemblait pas, il le savait, mais il avait du ml à croire que cela ne pouvait pas être d'elle puisque c'est son numéro qui lui avait envoyé le message. Le coeur de Niall était comme son téléphone sur l'herbe fine, brisé. La chute était de 2 mètres presque 3 mètres. Le coeur de Niall avait fait la même chute que le téléphone, comme si le coeur de l'irlandais était tombé avec le téléphone, comme si celui-ci l'avait suivi dans sa chute. Une larme coula sur la joue du faux-blondinet. Puis deux. Mais la troisième n'arrivera jamais.
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