05
Les premiers souvenirs
Niall n'était pas vraiment un très gros consommateur de caféine. Il préférait un chocolat chaud ou un Coca-Cola plutôt qu'un tasse de café. Encore plus si celui-ci était un espresso. Pourtant, il était toujours assit à la petite table du café, à commander plusieurs cafés pour qu'Anémone revienne toujours. Il n'y avait aucune autre serveuse qui venait s'occuper de son cas, même si elles n'étaient pas occupées et qu'Anémone, elle, l'était. Les autres employées avaient bien remarquer les regards en biais que le jeune homme envoyait à la belle. Le jeune irlandais était, par contre, toujours perturber par son prénom. Il n'arrivait toujours pas à y croire.
Anémone n'était pas n'importe qui dans le café non plus. On se devait de la respecter, et ne de pas la draguer non plus. On devait éviter de la regarder d'une manière assez maladroite, comme le faisait Niall. C'était à éviter. Elle était la nièce du patron de ce petit café. Cet homme avait pour habitude de très bien protéger les personnes de sa famille, même s'il fallait employé la manière forte. Il était, de plus, très attaché à Anémone. Elle n'avait pas le plus beau des passés et il se devait de la protéger, parce qu'il n'aurait pas vraiment envie qu'il lui arrive malheur.
Le parrain d'Anémone, avait très bien remarquer Niall. Il le fixait, se demandant si jeune homme avait des bonnes attentions et des bonnes pensées envers sa nièce ou si c'était un de ses gars qui voulaient juste se la taper. Il avait une opinion positive sur Niall pour le moment, ne le sentant pas très dangereux. Mais, il ne voulait pas vraiment se fier sur les apparences. Il l'avait déjà fait une fois, et Anémone fût très brisée. Elle s'en était remise depuis, mais il avait peur que cela recommence. Il tenait trop à sa nièce que pour la mettre dans les filets d'un mauvais gars.
Anémone se dirigea à nouveau vers notre irlandais, un sourire aux lèvres. Ces yeux marrons pétillaient. C'était la première fois qu'elle avait rencontré une personne aussi aimable et bien éduqué que Niall depuis longtemps. Il était rare de trouver un gars aussi timide et aussi gentil que lui. Mais elle avait comme même peurs. Elle n'avait pas envie de revivre la même expérience que la précédente. Alors, elle gardait comme même quelques distances.
Niall aimait bien sentir son odeur de vanille glacée. Il la complimenta sur cela d'ailleurs et il pu avoir ce qu'aucun homme n'avait pu jamais avoir de sa vie avec Anémone, elle rougit. Personne n'avait réussit à faire virées les joues de la belle au rouge cramoisi comme venait de le faire le jeune irlandais. Il était le tour premier et sera sûrement le tout dernier. Même la mauvaise expérience d'Anémone n'avait jamais réussit à la faire rougir, pourtant, ils ont été un magnifique couple. Ils l'ont été. Maintenant, tout cette histoire n'est qu'une affreuse partie du passé. Une partie que la belle aimerait bien oublier, mais dont elle n'y arrivera sûrement jamais, tellement que cela l'avait remarquer et l'avait bousculer, mais aussi, lui avait fait mal. Elle avait eu du mal à s'en remettre.
Niall ne connaissait rien d'elle, mis à part le son de sa voix, la couleur rouge de ces joues rougies par sa faute, ses marrons pétillants, son sourire contagieux, son air sérieuse et pourtant décalée, ses cheveux blonds teintés, son rire lui aussi contagieux et son prénom. Un prénom auquel il n'était pas encore adapté, avec lequel il avait encore un peu de mal. Il n'avait jamais croisé une seule personne dans sa vie qui s'appelait Anémone. La première personne qu'il croise s'appelant ainsi, le met dans tous ces états. Il avait vraiment du mal à rester naturel, surtout avec sa timidité un peu trop grande.
Niall souriait de toutes ces dents, dévoilant une magnifique dentition et des dents bien blanches et bien entretenues. Anémone en devenait jalouse, mais si elle savait que le jeune irlandais avait subit un traitement orthondontique pour avoir cette dentition, elle compatirait avec lui au lieu de l'envie. Elle n'en avait pas eu besoin pour avoir sa belle dentition, et elle devrait en être fière et, ainsi, décoché plus souvent des sourires que notre irlandais qui lui souriait souvent. Peu importe ce que l'on pouvait reprocher à Niall, il souriait, trouvant une pointe d'humour, même minime, dans la situation.
Niall lui sourie et elle lui rendit son sourire, avec toujours ces joues avec une teinte rouge cramoisi. Il en était fou, dans ces belles petites joues rougies, de ces pommettes et de ces fossettes qui se dessinaient quand elle souriait. Il aimerait bien les voir tout le temps, mais elles ne sont visibles, seulement quand elle a un vrai sourire. Pas celui qu'elle fait à tous les clients, ce putain de sourire poli qu'elle aimerait bien ne plus jamais à avoir faire. Ele avait un vrai sourire, qui faisait grandir, encore plus fort, celui de Niall. Bientôt le sourire de l'irlandais li arriverait aux oreilles.
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