Blue Ocean [One Shot]

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Toujours réveillé à la même heure au petit matin, pour être sûr que personne ne l'apperçoive aller nager au lac. Rejeté depuis quasiment sa naissance par les autres, un jeune homme au courage inouï n'avait pas encore su prendre sa place dans ce monde trop imparfait. Dans un monde où l'ignorance reignait, où chacun vivait pour soi, rempli d'injustices et de méfiance. C'était de cette manière que Niall percevait l'endroit dans lequel il vivait. Personne ne l'appréciait réellement, mais il s'en foutait. Il aimait plus rester seul avec ses pensées que d'être entouré de gens malveillants. De nationalité irlandaise, ses racines encrées en lui paraissaient dans chacun de ses mouvements. D'abord dans son accent, puis dans ses traits qui ne passaient pas inaperçus. Ses cheveux bruns teints maladroitement en un blond blé attrayant lui donnait un petit grain de rebellitude, souvent ignoré par certains. Ses yeux, uniques et absolument irréprochables. Ceux-ci étaient d'une couleur tellement spéciale qu'ils en faisaient jalouser plusieurs. Ils étaient bleus, certes, comme un grand nombre d'irlandais, mais un éclat additionnel leur donnaient un petit quelque chose de plus. Ils semblaient surnaturels, mais ils étaient bien réels. Oui, réels. Et majestueusement purs. Solitaire et courageux, Niall bravait la tempête d'insultes qui le fusillaient chaque jour, sortant de la bouche de ses compagnons d'école... et même de vacances. Ses parents l'obligeaient à chaque été de partir dans un camp. "Les vacances ne sont pas faites pour ne rien faire.", lui disait son père, médecin à l'hôpital de Londres. Parce que oui, malgré qu'il était irlandais, Niall habitait sagement en Angleterre depuis sa tendre enfance. Déménagés, ses parents voulaient changer d'air et se déplacer en ville dans l'espoir de donner une meilleure vie à leur fils aîné, maintenant âgé de 17 ans.

Niall avait toujours été différent des autres enfants. Lorsque ses compagnons s'amusaient à jouer au soccer après l'école, il s'isolait derrière un buisson pour lire ses bandes dessinées. Son statut de "anti-social" s'était multiplié dans tout le quartier et rapidement, la haine avait fait surface sur le petit garçon, seulement âgé de 8 ans à l'époque. Toute son enfance, il avait été seul. Jamais un ami n'était venu le voir chez lui, ni même ne lui avait adressé la parole. Parce que tout ce que les autres lui disaient étaient des atrocités. Aucune pitié ne faisait le poids contre ces rudes et méchantes moqueries, toutefois insuffisantes à décourager complètement l'irlandais. Il était bel et bien victime d'intimidation, mais c'était comme si, à quelque part, il croyait qu'il méritait tout ce que les autres lui faisaient subir. Chaque jour, les mêmes paroles surgissaient à ses oreilles ainsi que les mêmes actions lui étaient imposées, mais pas une fois ses parents ne s'étaient doutés de quelque chose. Ils étaient bien trop occupés à travailler que de s'assurer du bien-être de leur fils.

Alors que le soleil commença à peine à se lever, Niall sauta sur ses pieds rapidement et en silence avant d'enfiler un chandail. Ne voulant réveiller aucun de ses compagnons de petite chambre, il se glissa hors du petit bâtiment en bois afin d'être submergé par la délicieuse odeur de nature. La forêt était calme à cette heure, seul les jolis chants d'oiseaux remplissant l'air frais. Sans réfléchir à quoi que ce soit, il se mit à marcher vers le lac afin d'y faire sa scéance de baignade, comme à chaque matin lorsqu'il venait passer ses vacances estivales ici. Le matin très tôt était le seul moment de la journée où il avait la paix, car tout le monde était endormi. C'était son moment de sereineté et de relaxation extrême.

Une fois arrivé au fameux lac rempli d'eau douce, le blondinet n'hésita pas une seconde avant de retirer son t-shirt. Son corps décuplé à cause de son entraînement régulier se démontra alors. Ses abdos fins tapissaient son abdomen et se voyaient seulement si l'on y portait réellement attention. Son teint pâle, presque blanc brillait aux légers rayons de soleil qui faisaient surface au loin. En voyant ce paysage se dessiner dans son champ de vision, Niall sourit. Ceci n'était pas un faux sourire, mais bien un sourire sincère, tanspirant le bien-être exceptionnel, comme rare il n'en avait eu durant ses années d'existence. Ensuite, après avoir inspiré un bon coup, il s'avança vers le bord lentement avant de tremper ses pieds dans l'eau. Celle-ci était fraîche, comme toujours, mais c'était ce qui plaisait à Niall. Rapidement, l'eau envahit rapidement son corps assez maigrichon, laissant juste l'opportunité à sa tête de rester en hauteur pour respirer. Le liquide transparent n'était pas vraimeny fraîche, mais froide. Niall savait que s'il restait trop longtemps, il allait tomber malade, donc il se promit mentalement de ne pas faire durer sa baignade trop longtemps pour sa santé. Elle qui était quand même fragile.

Soudainement, une voix aiguë retentit dans les environs:

-Hey, c'est mon lac!

Le coeur de Niall rata un battement et par réflexe, il se mit à paniquer. Une jeune fiile aux cheveux roux se tenait là, sur la rive, les bras croisés. L'adolescent ne se fit pas supplier qu'il revint en nageant lui aussi vers le bord, là où il s'y assit pour remettre ses vêtements.

-Je plaisantais!, s'exclama la fille.

Le ton de sa voix transperçait un léger amusement face à la situation. Niall ne put s'empêcher de se retourner vers elle, incrédule. Elle ne l'avait pas insulté. La seule personne qui ne l'avait jamais fait à part ses parents.

-Continues à te baigner, fais simplement comme si je n'étais pas là, continua-t-elle en retirant son chandail. Je viens toujours plus de bonne heure que ça d'habitude et je ne tombe jamais sur personne. Je suis surprise qu'une autre personne ait la même habitude que moi!

La rousse parlait au blondinet comme si elle le connaissait depuis des années. Elle était nouvelle au camp, ça paraissait. Elle ne connaissait personne, car si elle avait connu Niall, elle l'aurait sûrement détesté aussi, comme tous les autres, pensait l'irlandais. Pas du tout présent mentalement, Niall enfila ensuite ses souliers avec rudesse.

-Hey, tu écoutes ce que je te dis?

Entendant des bras se rapprocher, le blondinet se releva brusquement et la jeune fille le regarda avec interrogation. Elle possédait un accent anglais magnifique.

-Es-tu muet?

Niall secoua la tête. Il n'aimait pas parler, car il trouvait son accent trop prononcé. Un atout dont les autres aimaient bien se moquer et il se disait que la jeune fille allait faire de même.

-Dans ce cas, tu peux me répondre, tu sais? Ne sois pas gêné, je ne mords pas.

Le blond déglutit difficilement et au lieu de déclarer une réponse sensée, il marcha rapidement pour quitter les alentours du lac, laissant la fille en plan à lui crier de revenir. Il n'allait pas laisser son statut ruiner sa vie, pensait-il.

*****

Quelques jours passèrent sans rien de nouveau ne se produise. À part les insultes qui sortaient de la bouche de nombreuses personnes, non, absoument rien de nouveau. Niall avait appris par erreur que la rousse qu'il avait aperçu plutôt au lac se nommait en fait Maëlle. Celle-ci le regardait chaque fois qu'ils étaient dans la même pièce tous les deux, mais pas une seule fois Niall ne s'était laissé approcher. Il avait peur. Peur qu'on lui tende un piège. Personne n'avait déjà osé l'approcher de cette manière à part pour se moquer de lui par la suite et il se disait que cette fois-ci, il n'allait pas se laisser prendre. Par contre, malgré son doute qu'il l'empêchait de voir au-delà des actions de la jeune fille, il la trouvait assez jolie. Ses cheveux roux reflétaient quelques mèches plus rouges que les autres et ses petits yeux verts en amande surmontés de lunettes noires rectangulaires lui donnaient un petit style intello que Niall appréciait particulièrement. Elle était différente des autres, il le sentait. Elle dégageait une énergie qui n'était pas familière avec lui-même et il trouvait cela rassurant.

Un soir, alors que les adolescents discutaient autour d'un feu de camp, Niall y vit Maëlle assise dans un coin et lorsque celle-ci le vit, elle lui lança un petit sourire. Le blond ne lui remit pas immédiatement, mais se rapprocha lentement d'elle pour s'assoir à ses côtés. À moitié chemin, quelqu'un l'interpella:

-Hey, le blondinet! Qui a dit que tu pouvais venir? Ce feu de camps n'est pas pour les anti-socials, tu devrais le savoir!

Quelque peu vexé par les paroles de James, le "chef" du camp, celui qui menait tous les autres par le bout du nez, Niall ne pus que s'arrêter, sentant ses pires cauchemards refaire surface. Comme la fois de l'année dernière où ce gars l'avait carrément attaché à un arbre pendant quatre heures pour ensuite le filmer en l'humiliant devant tous ses amis qui riaient à gorge déployée. Ou bien comme la fois où il avait été enfermé dans le placard durant toute une soirée, car il avait osé dire une phrase à la fille dont James aimait. Toutes des horreurs aussi pires les unes que les autres défilèrent dans sa tête et pour la première fois, Niall était appeuré. Voir complètement pétrifié. Habituellement, il s'en foutait, mais ce soir, la situation était différente. Maëlle était là, regardant les autres avec du feu dans les yeux. Il se dit alors qu'il ferait mieux de partir avant que les autres le fasse souffrir... devant elle. Ceci étant la pire honte qu'il puisse imaginer. Le blondinet recula lentement et sortit finalement du rond du feu de camp pour partir. Par contre, la même voix que quelques jours plus tôt retentit en prononçant d'un accent très anglais son nom.

-Non. Reste, tu as le droit, toi aussi.

Maëlle lui parlait du coin de sa place et ses yeux verts le détaillaient sans gêne.

-C'mon, non!, s'écria James. Tu ne veux pas vraiment avoir cette tapette avec nous!?

À ces mots, Niall frémit de terreur.

-Premièrement, il n'en est pas une, loin de là. Et deuxièmement, qu'as-tu de si terrible contre lui!?, lui cracha la rousse qui s'était maintenant redessée.

Cette fille avait un grand sens du tact et n'avait pas la langue dans sa poche. Ces aspects, Niall les avait remarqué il y avait longtemps. C'était en fait ce qui la qualifiait si bien, celle qui la distinguait des autres filles.

-Oui, il est une tapette! Parce que ce gars aime mieux lire au lieu de se mêler à la foule. Il est tellement silencieux, on dirait une fille.

-James? Je vais t'expliquer quelque chose, d'accord? Je suis une fille, non?

-Euh... ouais?

-Et je suis une véritable pie. Je suis loin d'être silencieuse.

Les petits rires des autres résonnèrent faiblement autour du feu de camp.

-Donc, ne place pas des étiquettes sur les gens sans les connaître, finit Maëlle et commença à marcher.

James se leva et lui empoigna le bras.

-Hey, tu as du chien, toi, ma jolie! Personne n'avait jamais osé me défier avant toi...

Il ne put même pas finir sa phrase qu'un SLAP retentit et la tête de James se retrouva sur le côté.

-Je ne suis pas ta jolie et hôte ta sale patte de moi immédiatement.

James hésita un peu, un léger sourire aux lèvres et les rires suffirent à initier le "chef" à retirer sa poigne de la jeune fille maintenant contrariée. Ce gars la dégoûtait au plus haut point. Elle se mit ensuite à marcher rapidement vers l'endroit où Niall était, mais à sa grande surprise, il n'y était plus désormais. Le garçon timide lui avait échappé... une fois de plus. Mais cette fois, Maëlle ne se laisserait pas faire. Elle allait parler à ce blondinet une bonne fois pour toute. Elle voulait désespérément savoir ce à quoi il pensait chaque jour, pourquoi il était aussi réservé et surtout, les raisons qui le poussaient à agir ainsi avec elle. Alors, d'un pas bien décidé, elle se dirigea vers l'endroit où qu'elle avait eu la chance d'appercevoir le blond pour la première fois: le lac. Celui-ci devait sûrement se cacher derrière un arbre ou un truc du genre, se disait la rousse. Tel que pensé, Niall se trouvait bel et bien là. Assis. Adossé à un arbre. Seul... encore. La jeune fille soupira un bon coup et marcha vers lui, la tête froide. Tant qu'à l'irlandais, habitué à ce calme constant, lorsqu'il vit Maëlle se diriger vers lui, il sursauta. Il s'apprêta à se relever rapidement, mais la jeune fille fonceuse prit les devants.

-Non! Là, le garçon mystérieux dont je ne sais pas le nom, tu restes là. Je ne veux pas te manger, je suis simplement venue te parler. Crois-moi...

Maintenant, la rousse n'était qu'à quelques centimètres du blond, elle, debout et lui, toujours assis.

-Je peux?, lui demanda gentiment Maëlle pour s'assoir.

Niall ne répondit pas à nouveau, mais désigna tout de même son approbation d'un petit signe de tête. La jeune fille murmura un faible merci avant de se mettre à ses côtés, essayant de ne pas l'effrayer ou quoi que ce soit. C'est à ce moment que ses yeux se plantèrent profondément dans les siens et Maëlle resta surprise quelques secondes tellement elle était éblouie par ce qu'elle voyait.

-Bon sang... Tes yeux sont magnifiques.

C'était la première fois que Maëlle appercevait ses perles bleu d'aussi près. Malgré la noirceur, la faible lumière de la lune les faisaient briller de manière exceptionnelle et indescriptible. À quoi devraient-ils ressembler au soleil? Juste à y penser, elle en eut des picotements dans le coeur. Ce gars était d'une beauté pure et intouchable. Niall ne fit que sourire timidement à la rousse, sentant ses joues virer au rouge graduellement.

-Quel est ton nom?

Le blond frémit à l'entente de la question, car il savait qu'il allait devoir parler et que la jeune fille allait entendre son "horrible" accent, pensait-il. Mais malgré tout, il plongea.

-Ni-Niall... Niall Horan.

-Wow..., déclara-t-elle, charmée. C'est un nom aussi beau que tes yeux.

Elle sourit et le jeune homme fit de même.

-Moi, c'est Maëlle.

-J-je sais...

-Dis-moi, Niall, pourquoi ne me parles-tu pas et surtout, pourquoi m'évites-tu à ce point?

Niall prit quelques temps pour réfléchir, mais savait déjà au fond de lui quelle était la réponse.

-Parce que je sais que tu vas me détester comme les autres, donc à quoi ça sert de faire des efforts...?

La rousse distingua l'accent charmant de son compagnon. Elle le trouva irrésistiblement craquant. Le fait que le blond aux yeux bleu océan pense de telles choses lui fit mal au coeur. Comment les autres pouvaient le détester? Il avait une incroyable bouille d'ange!

-Premièrement, je veux te faire remarquer que ton accent est absolument charmant. Deuxièmement, je ne comprends pas comment les autres peuvent te détester, étant donné que tu as l'air d'un garçon adorable. Et troisièmement, je ne suis pas comme les autres, Niall. Parce que je sais que je peux t'apprécier... même si je le fais déjà.

-Maëlle, je... je suis différent.

-Oui, mais tu sais quoi? C'est ce qui me plaît chez toi. Tu es différent, certes, mais avant tout, unique. Et si les autres sont trop stupides pour remarquer à quel point tu es un être exceptionnel, c'est leur problème.

-Tu ne me connais même pas...

-Et puis? J'aimerais apprendre à le faire.

-Lorsque tu m'auras connu suffisament, tu vas certainement agir comme tout le monde. C'est-à-dire me trouver tellement bizarre que tu vas me laisser tomber ou peut-être même m'humilier...

La rousse fut bouche bée par de telles révelations de sa part.

-Quoi? Tu... Tu sauras, Niall, que je ne suis pas comme ça. Je suis désolée, mais j'ai un coeur et jamais je n'oserais faire une telle chose à quelqu'un. Surtout pas toi.

*****

Depuis cette soirée, Maëlle et Niall devinrent immensément proches. Aucun jour ne venait sans qu'ils ne passaient du temps ensemble. Niall avait appris à s'ouvrir ainsi qu'à laisser sa joie de vivre prendre possession de lui. Au fond, l'irlandais était un être au coeur léger et heureux. Malgré toutes les insultes qui ne fusillaient plus seulement Niall, mais bien aussi Maëlle, les deux étaient inséparables. Ils s'étaient découvert chez l'autre quelque chose de nouveau, une nouvelle vie à connaître, un coeur à aimer. Rapidement, les deux jeunes adultes passèrent l'étape de l'amitié... à l'amour. Avec simplement la distance d'un baiser. Pour les autres du camp qui se finissait très bientôt, ils étaient considérés comme bizarres et rejets, alors qu'en fait, ils étaient deux humains gentils qui ne désiraient que trouver leur place, comme tout le monde. Niall était différent, Maëlle était également différente et nous disons que ce qui se ressemble, s'assemble, pas vrai? Et Niall était docile, Maëlle était fonceuse et nous disons également que les contraires s'attirent, non? Les deux lois s'appliquaient à ces tourtereaux absolument extraordinaires. Pas seulement par leur passé riche en émotions, mais bien aussi leur présent incroyable qui faisait d'eux des êtres heureux et paisibles. L'été tirait à sa fin dans moins d'une semaine, mais ils avaient tout prévu. Le hasard avait été gentil avec eux et avait fait en sorte qu'ils habitent assez proche loin de l'autre, à seulement quelques kilomètres de distance.

Leur destin n'avait pas très bien joué en leur faveur auparavant, mais il se trouve que nous trouvons toujours le bonheur un jour, d'une manière ou d'une autre. Voilà la règle de la vie qui les avait guidés l'un à l'autre. Voici la preuve que même en étant différent, nous pouvons tout de même trouver la bonne personne. Celle qui nous aimera pour qui nous sommes et non pour ce que les autres pensent de nous. Celle qui nous rendra heureux et en paix avec nous-mêmes. Celle qui nous fera découvrir qu'il n'y a aucun mal à être qui nous sommes réellement. Et ce, sans limite.

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Un tout petit one shot qui dénonce la différence, justement. Je tenais à faire passer un message en écrivant cette minie histoire: nous sommes tous et toutes différents, mais c'est ce qui fait la beauté du monde. Même si nous avons un handicap, si nous sommes plus timide que la normale, si nous venons pas du même pays, si nous avons quoi que ce soit de différent, nous pouvons être aimé pour qui nous sommes. Nous sommes tous et toutes uniques et magnifiques à notre façon, donc soyons fiers d'être comme on est et foutons-nous de l'opinion des autres. C'était la morale de l'histoire...

Comment l'avez-vous trouvé sincèrement?

Honnêtement, je trouve que ce n'est pas mon meilleur one shot, mais j'avais quand même de l'inspiration et j'avais le goût de vous faire partager ceci. Il a été assez long à écrire, mais ça en a valu la peine... Du moins, je crois.

Merci pour tous, mes namours et on se retrouve dans mes autres travaux! :p

Bisous, Xox