Prologue
Cette partie sera retravaillée et republiée plus tard, j'ai bien conscience qu'elle n'est pas très agréable à lire. Je vous rassure tout de suite, le reste de la fanfic n'est pas comme ça😊.
Le Hanahaki est une maladie « apparue » récemment dans la société. Elle touche moins de 0.001 % de la population mondiale. Sa cause et ses conséquences posent de grands problème aux scientifiques. En effet, TOUTES les personnes atteintes de cette maladie affirment avoir eu les premiers symptômes peu de temps après avoir réalisé que leur amour envers une personne était à sens unique. Étonnamment, toutes les personnes ayant guéri de cette maladie sans avoir eu recours à la chirurgie affirment n'avoir plus ressenti aucun des symptômes de la maladie une fois leur amour retourné. L'autre moyen de guérir de la maladie étant l'opération chirurgicale. En premier réalisé sur un patient en pensant pouvoir guérir la maladie sans conséquence grave, mais contrairement à leurs espérances, les personnes guéries semblaient pratiquement toutes ne plus pouvoir ressentir quoi que se soit et finissaient généralement par préférer le suicide, ne supportant pas de ne ressentir ni joie, ni colère, ni empathie...
Comment la maladie procède pour se développer ou encore faire disparaître les sentiments lors de l'opération est encore un mystère pour les plus grands scientifiques ayant décidé de s'atteler à la tâche de comprendre comment la maladie fonctionne. La dernière issue de la maladie si l'opération n'est pas choisie et que les sentiments ne sont pas retournés n'est autre que la mort. Les malades de cette maladie son si rares qu'il préfère pour la majorité garder le silence, ne voulant pas se ridiculiser devant une nation complète. En effet, qui ne paraîtrait pas fou, en annonçant sur un blog internet ou dans une interview que vous avez failli mourir parce qu'un jardin poussait dans vos poumons ? En effet, la maladie du Hanahaki n'était au départ qu'une légende urbaine reprise dans différents contes et mangas au Japon. Les scientifiques pensent que les premiers cas de la maladie sont apparus au Japon, donnant naissance à toutes ces histoire très popularisés de nos jours au près des lecteurs de mangas de type Shojo et de fanfictions.
La maladie a différentes phases (4) et symptômes. Quelques jours avant de ressentir les réels symptômes, les patients ont rapporté avoir eu une fièvre supérieure à 39° C qui a disparu le jour suivant. Les scientifiques suppose que c'est une des réponses immunitaires possible à l'intrusion du parasite venant se loger dans les poumons. Malheureusement, celle-ci n'étant pas assez efficace, elle laisse passer le parasite qui vient de suite s'installer dans l'un ou l'autre des poumons pour commencer sa croissance, empêchant désormais toute défense correcte de l'organisme contre lui en passant comme invisible, comme ayant toujours fait parti de l'organisme du malade. Environ deux à trois jours après la fièvre vient les premiers réels symptômes. Le sujet se met occasionnellement à tousser d'une toux rauque, comme essayant de se dégager les voies respiratoire, lorsqu'il pense trop à la personne aimée ou que celle-ci a des interactions avec lui ou d'autres personnes. C'est la première phase. Le patient ne fait que tousser comme ayant une toux assez tenace qui dure environ deux à trois semaines. Durant ce temps là, le parasite continue à se développer. Lors des radiographies réalisées sur des patients assez rapidement détectés ont révélé la naissance de racine et de petits bourgeons dans l'un des poumons des patients. La toux commence alors à s'enhardir au fur et à mesure des jours. Le symptôme le plus emblématique de la maladie apparaît lors de la deuxième phase. Le patient commence alors à tousser des feuilles et des pétales de fleurs d'une taille approchant le centimètre sans le dépasser. La fréquence des crises peut alors varier, allant d'une fois par semaine à une fois par jours ou bien encore une fois par heure. Ce dernier cas est extrême et rare, seule une personne sur cinq cents ressent des symptômes en deuxième phase aussi violent. Les radios nous montre un début d'éclosion de fleurs dans l'un des poumons. Aussi peut-on noter chez certains patient une baisse d'énergie et un développement d'asthme. Vers la fin de cette deuxième phase, certains patients ont commencé a avoir des symptômes correspondants à la troisième phase, ils se mettaient à tousser du sang et lors de leurs crises où le pétale était rejeté, celui-ci était lui-même recouvert de sang. La toux se transforme alors petit à petite en toux grasse. S'ensuit la troisième phase où les choses commencent à réellement se compliquer. En effet, sur les radios nous pouvons constater que les racines du parasite ont commencé à s'étendre dans l'organisme de la personne. Parfois il s'étend jusqu'au deuxième poumon, d'autre fois dans le réseau sanguin, perturbant le bon fonctionnement des organes et parfois il arrive même que les racines s'enroulent autour du cœur, provoquant des baisses fortes de tensions et une augmentation des risques de crises cardiaques, alors tout effort physique pour entretenir son corps est formellement proscris. Aussi arrive-t-il qu'aucun de ses scénario n'arrivent et alors on peut constater un fort développement de la plante, obstruant pratiquement tout le poumons occupé et réduisant l'endurance au moins de moitié ; l'énergie sensée être consacrée au développement des racines dans l'organisme est alors consacrée à celui de la plante. Lors de la troisième phase, toute activité sportive en générale est à limiter voir stopper. Il est conseillé d'écouter ce que lui dit son corps et de s'arrêter immédiatement si une légère douleur se fait ressentir pour éviter des crises trop violentes pouvant se terminer à l'hôpital à cause d'une perte de conscience due au manque d'air. Le patient ressent alors aussi un besoin en eau bien supérieur à la normale (environ plus de trois litre à la journée), une fatigue aiguë et une perte de poids significative ; le parasite demandant de plus en plus d'énergie pour survivre. Tous les patients ayant atteint cette phase ont désormais une toux grasse accompagnée de sang. Cette phase peut durer entre trois et quatre semaines en fonction de l'état physique du malade et de l'évolution de la maladie. Enfin vient la quatrième phase, appelée phase finale. Celle-ci ne dure qu'une journée voire un instant. La plante se développe tant, que la fleur principale éclot, forçant le patient à tousser pour libérer ses voies pulmonaires. Il tousse jusqu'à ce que la « fleur » parasite ressorte, toujours liée aux racines par la tige. Cette tige nécessite d'être coupée au ciseaux, son élasticité et sa résistance l'empêchant d'être arrachée. Le malade s'étouffe alors, la tige empêchant toute pénétration alors que la base du parasite produit une toxine mortelle dans son organisme, tuant le malade avant même qu'il ne meurt du manque d'air.
Lorsque l'amour est retourné, le parasite met seulement quelques jours avant de définitivement disparaître. Il semblerait qu'il s'autodétruise en se dégradant à une vitesse variant en fonction des individus. Les restes de la « plante » sont utilisé par l'organisme pour soigner les plaies pulmonaires et autres blessures internes. En effet, la toxine produite par les racines est mortelle en grande quantité mais en petite dose elle a des propriétés curatives inégalées. La neurotoxine est naturellement présente dans les racines en petite quantité et la hausse de production de celle-ci n'apparaît que lors de la quatrième phase, pour ne pas tuer l'hôte avant d'avoir pu arriver à maturation.
Le parasite comme vous aurez pu le remarquer se développe en fleur dont les pétales sont uniques. Certains botanistes se sont penchés sur le sujet de cette plante - avant de la répertorier dans leur tableau de classification -, essayant de découvrir de quelle plante elle dérive en comparant à la fois ses caractéristiques physiques et de lieu de vie et son ADN. Les caractéristiques majeurs de la fleur sont sa petite taille ( entre trois millimètres et un centimètre sauf pour la dernière fleur qui mesure entre cinq et sept centimètres ), leur couleur ( bleu nuit avec une fine couche protectrice aux reflets mosaïques bleu cyan ), leurs pétales ( ils se séparent en plein de petits filaments à leur extrémité, se courbant sur eux-même ), leurs arabesques (de gracieuses et microscopiques formes noirs se dessinant sur les fleurs, le motif dépendant de l'individu ), leur tige et feuilles rouges sang, leurs filaments (forment un fin jupon sous la fleur( et enfin leur cœur ( environ un cinquième de la taille de la plante et d'un rouge sang, s'approchant d'un couleur terre ).
(Pour se donner une meilleure image des arabesques. Ces dessins sont de moi et ils sont à libre disposition.)
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