Sonntag, 17. Oktober
Aujourd'hui, je me lève, le soleil brille. Il fait frais mais bon, le ciel est dégagé, un peu de vent. J'en profite pour sortir tant qu'il fait encore beau.
Départ, je prends le bus. Il y a pas mal de circulation, mais les transports publics sont à l'heure, c'est impressionnant de voir que malgré le nombre de voitures les bus ne sont pas en retard.
Donc, je prends le bus, direction le Döbliger Friedhof, le cimetière Döbling. Alors que je regarde par la vitre, une voiture aux jantes d'un turquoise intense passe en sens inverse. Un peu plus loin, on passe devant une grande et jolie église, des gens sont devant. À Wien, les lieux emplis d'histoire continuent de vivre.
J'arrive au bon arrêt, je descends. En marchant le long du Friedhof, je passe à côté d'un corbeau perché sur une barrière, et quand je dis à côté, c'est-à-dire qu'il se trouvait à moins d'un mètre de moi et qu'il n'a pas bougé.
Me voilà ensuite dans le Friedhof, je fais un tour, regardant un peu partout. Les chemins qui le parcourent alternent entre goudron large et bandes de terre étroites. Les tombes sont grandes, souvent familiales. Elles sont vertes ou colorées, recouvertes d'herbes, de fleurs, de plantes en tout genre ou simplement d'une pierre. L'une d'entre elle est recouverte d'une mosaïque rouge et noir. Elles sont souvent collées les unes aux autres, leur taille remplit l'espace et les rapproche.
De nombreuses grandes statues parsèment l'endroit, elles sont réalistes, très bien taillées.
Il y a beaucoup de pierres tombales qui sont cassées ou à terre, peut-être à cause du temps qui passe. Si ce sont des gens qui ont fait ça, je ne les comprends pas. Les Friedhof sont des lieux de repos et de recueil, il faut les respecter.
Voilà, je suis ensuite rentrée tranquillement.
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