7 : Maudis-moi si tu le peux
Fask back de Léonie:
Le temps était jovial en te voyant porter une balle sur la main. "C'est le mec avec qui je tomberai à mon tours amoureuse?", pensais-je dans ma tête.
Je pensai qu'à une seule chose. M'enfuir de lui.
_ Ne t'inquiètes pas. Je ne vais pas te manger. La preuve je suis comme toi. Un coeur, un nez. Enfin bref on est constitué pareil. A part que toi tu es une fille et moi un garçon.
_ Tu ne devrais pas t'approcher de moi, me dis-je avec méfiance.
_ Pourquoi?
_ On te l'as pas dit mais... je suis maudite.
_ Ah bon? Pourquoi tu es maudite.
_ Les personnes qui sont approchés de moi ont eu une mort atroce.
_ Tu as trop regarder "Maudis-moi si tu le peu" ou quoi?
_ Quoi?
_ Tu dis pareil que l'héroïne du film d'horreur. Elle fait peur. Je te vois bien jouer ce rôle.
_ Quoi??? Excuse moi mais ici on est dans la réalité et non pas dans un film.
_ J'en suis conscient. Dis moi pourquoi je ne pourrais pas devenir ton ami?
_ Parce que... tu vas me kiffer. tu vas tomber amoureux de moi.
Il me regarda d'un air sérieux puis...
_ Puahahahahhahahahah, éclata-t-il de rire que la morve de son nez sorti. Tu es trop marrante!! Je tomberai amoureux de toi. C'est ça ton excuse. Il y a même pas une minute tu disais que les personnes qui t'approches de toi vont mourir. Là tu as raison. Je suis mort.
_ Quoi?
_ Oui mort de rire. Je n'ai pas autant rit de ma vie. Mais maintenant je comprends pourquoi les gens sont morts. Tu sors des trucs qui nous fait marrer. Au bon sang je ne peux plus m'arrêter de rire. Je vais avoir une crise cardiaque.
_ Désolé, paniquai-je. Je ne voulais pas.
_ HAHAHAHA, continua-t-il de rire. Arrête de me faire rire, qu'il se mit par terre comme si sa force l'abandonner.
Après quelques bonnes minutes de fous rire il reprend ses esprits assez épuisé.
_ C'est bon, tu es toujours vivant? lui demandai-je timidement.
_ PUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH!!!
Mais d'un autre côté cela m'a fait rire aussi. Oui. trop rire même. En général les gens me regardent comme une menace pour la terre entière en me disant si les lois de maintenant n'existaient pas, on m'aurait brûlé vif. Et là avec ce garçon rien qu'il me voit au lieu d'avoir peur il rigole. Personne à part lui m'avait affiché un sourire aussi tendre même si c'était un éclat de rire. J'avais l'impression qu'il n'y avait que moi qui pouvait le faire rire autant.
Soudain un sentiment soudain vient de naître au fond de moi. Identique à la peur mais agréable. Cette sensation où on a envie de chérir pour la personne qu'on aime. Oui, vous avez tous devinez. Ce sentiment est l'amour. Le plus merveilleux sentiment au monde. J'avais peur de ce sentiment. Parce que je ne comprenais pas pourquoi c'est ainsi. Mais... mon cour avait changé d'allure au rythme du regret et du désespoir lorsque des personnes de mon âge partirent l'alerter.
_ Ne t'approche pas elle est maudite.
_ Je sais, répondit-il.
_ Tu vas mourir si tu l'as regarde.
_ Trop tard j'étais mort.
_ Quoi???
_ Elle est trop forte. Elle m'a achevé.
_ Ça va? s'inquiétèrent-ils.
_ Ça va j'ai un peu les côtes cassés. Mais je l'aime bien cette fille.
_ Quoi??? Mais elle a failli te tuer.
_ Si je meurs en souriant ça serait bien.
_ Venez les gars. ce mec est fous.
J'avais fait un soupir de soulagement parce que... je ne voulais pas qu'il s'éloigne de moi. Et pourtant tout le monde le sait que si on est proche, il pourrait mourir. Entre les deux cas je me sentais affreusement male. La première personne que j'aime sera la personne que je dois protéger avant que la mort le rattrape.
Soudain il prit ma main et il me dit:
_ Viens on va jouer!!!
Que tout à coup, lorsque le soleil était au zénith, le temps se changea en pluie, je vis William me lâchait la main en me disant:
_ Je dois t'oublier pour continuer de vivre. Sinon... je vais mourir...
_ Hé oh!!! Je ne connais pas ton nom, me dit-il lorsque j'ai repris les esprit et que le soleil est resté au zénith et lui qui continua de me tenir la main.
_ Je... je m'appelle... Léonie.
_ Tu es une fille formidable je dois dire. aller viens jouer avec moi!!
_ Euh... oui, lui souris-je tristement.
Part cette vision, je savais quoi qu'il arrivera, il finira par m'oublier.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top