IX. Le combat

Soudainement, une alarme sonna et tous commencèrent leur combats. Ils activèrent leur Xenos et c'est à ce moment là qu'on pu distinguer les différentes auras. La plus part, étaient bleu mais il y avait quelques noirs qui combattaient. Ce qui m'étonna le plus, c'est que les combats n'étaient pas en rapport avec le niveau, il y avait plusieurs bleu contre des noirs. 

Moi je décidai de voir un match d'aura noir contre aura noir. Cela me parut bien plus intéressant. En effet, au début ils n'avaient pas encore activé leur Xenos mais après quelques secondes, j'ai vu une fumée noir les entourer. Un peu après, j'ai vu une arme se former au niveau de leurs main mais la fumée ou plutôt la brume était toujours là et les entourait. L'un avait crée avec ça brume un katana très grand et très fin, il était, bien-entendu complétement noir mais sa lame était tellement courbée qu'on aurait dit un sabre. L'autre, avait façonné deux pistolets assez petits encore une fois entièrement noir. Leurs armes n'étaient pas parfaitement nettes, on aurait dis des armes fantômes et il y avait aussi un peu de brume qui sortait de leurs armes. L'heure du combat était enfin venu, ils s'approchèrent, se saluèrent... Ensuite, tout alla très vite, leur aura leur permettait d'aller très vite. Le plus incroyable fût le premier choc d'aura, lorsque les deux auras se touchèrent il y eu une énorme explosion qui les projetèrent tout de suite en arrière. Les prochaines attaques s'enchainèrent très vite mais il n'était pas à chaque fois projetés en arrières car elles n'avaient plus la même intensité. Le combattant en katana était clairement plus fort, il enchainait des coups très puissants sur son adversaires et celui-ci arrivait à peine à se défendre. Il suffit d'un petit instant de relâche pour qu'il soit projeté en dehors de la zone de combat, ce qui signifiait qu'il avait perdu. 

Plusieurs combats s'en suivirent mais aucun n'égala le premier. D'ailleurs sans étonnement ce fût l'aura noir avec le Katana qui gagna le concours. Dès que le concours eu fini, je m'empressai de rejoindre les loges du directeur et du grand maître...

— Où vas-tu ? Me demanda Drenos.

— Ne t'inquiète pas je dois juste parler à quelqu'un.

Ce fût très difficile de trouver leur loge vus la taille de ce stade. Après quelques temps, j'avais enfin réussi à trouver leur loge et par chance ils étaient encore à l'intérieur de celle-ci. Je n'hésitai pas une seule seconde avant de toquer...

— Oui, entrez. Dit le directeur.

— Bonjour, en fait... dis-je sur un ton hésitant.

— Que fait tu ici Clark ? me demanda le directeur.

— Ah je sais déjà ce qu'il veut, Ahah ! Tu veux savoir pourquoi est-ce que j'ai parlé de ton père n'est-ce pas ? Demanda le Grand maître.

— Oui...

— Maître, je vais vous laisser seul à seul avec ce jeune homme, je vous revois plus tard. Déclara le directeur.

— Très bien, merci.

— J'espère que je ne dérange pas ? 

— Non, ne t'inquiète pas j'étais justement en train de parler de toi à ton directeur.  Viens, assieds-toi donc.

— Comment cela se fait que vous vous connaissez, mon père et vous ? 

— Tu sais, cela fait déjà vingt ans que ton père a rejoint l'Alpha et à cette époque nous n'étions que très peu au sein de l'alpha. De plus, il était un gradé tout comme moi donc forcément nous nous connaissions.

— Oui, mais pourquoi cela vous as paru normal que j'ai une aura verte ?

— Ah je n'aurais pas du dire cela... Je suis désolé mais je ne peux pas te le dire maintenant mais ne t'inquiète pas mais un jour le moment viendra où je pourrais tout te dire. 

— Mais pourquoi je n'ai pas le droit de savoir ? C'est pourtant bien d'un secret qui me concerne dont-il s'agit n'est-ce pas ?

— Oui mais pour l'instant ce secret est bien trop lourd pour toi. Tu comprends ? 

— Oui maître.

— Bon maintenant que t'as compris.

Soudain, il s'approcha de la porte et l'ouvrit très rapidement.

— Aïeeee. Cria Kalr qui était tombé par terre.

— Et bien, comme ça vous nous espionniez ? Demanda le maître.

— Veuillez nous excuser mais nous avons suivi Clark jusqu'ici et nous nous demandions ce qu'il avait dire à un grand maître. Expliqua Drenos.

— Vous m'avez vraiment suivi jusqu'ici ? Demandais-je.

— Oui et d'ailleurs pourquoi tu nous a cachés que tu avais une aura verte ? Demanda Kalr.

— Tout simplement parce qu'il avait l'interdiction de vous le révéler pour l'instant par question de sécurité. Repondis le maître avec un ton rude.

— Ah oui, désolé, je comprends. Répondis Kalr d'un ton obéissant.

— Et maintenant que vous tous le savez, vous allez devoir me promettre que vous n'allez le révéler à personne d'autre.

— Vous avez notre parole monsieur. Répondis Drenos en s'avançant vers le maître.

— Si j'ai bien compris vous êtes les membres de son esquade ? 

— Oui, monsieur. Répondis de nouveau Drenos.

— Alors ne pensez pas que puisque votre amis Clark est une aura verte vous aurez plus facile. Bien au contraire, une tel aura est très difficile à contrôler et à de nombreuses reprises il aura besoin de vous. N'oubliez jamais qu'une esquade est composés de personnes qui se complètent, ce n'est pas pour rien que l'on vous as mis ensemble. Alors même avec une tel aura, il ne sera rien sans vous, c'est donc pour cela que vous devez apprendre à être le plus unis possible. Si vous suivez ce conseil vous pourrez aller très loin. En attendant, donnez vous à fond lors des concours et ne baissez jamais les bras.

— Oui, monsieur ! Répondirent-ils tous en choeurs.

Suite à ces mots, le grand maître s'en alla et nous laissa seuls dans cette énorme loge.

— Bon, je pense qu'il est temps. Déclarai-je.

— Temps de quoi ? Demanda Kalr.

— Eh bien de choisir notre chef, c'est le moment parfait. Dis-je.

— Oui, il a raison. Répondit Drenos.

— Mais qui choisir ? Demanda encore Kalr.

— Euh... je pense que Drenos ferait très bien l'affaire. Répondis-je en souriant vers Drenos.

— Ah... Pourquoi moi ?

— Moi je pense que c'est une bonne idée de te choisir. Déclara Nalia.

— Ecoute, à chaque fois que quelqu'un a besoin d'aide, tu es le premier à l'aider. Tu veux tous le temps assumer les conséquences de nos bêtises seul. Pour finir, lorsque quelqu'un nous demande quelque chose, c'est toujours toi qui répond pour le groupe. C'est pour ça que je sais qu'on peut te faire confiance et que tu feras un bon chef. Répondis-je.

— Comme vous insistez, je veux bien accepter d'être votre chef. Mais attention, je serai très dur avec vous. Dit-il avec un léger sourire aux lèvres.

— Oh ne t'inquiète pas on survivra. Répondis-je en lui renvoyant le sourire.

Suite à ces mots, tous retournèrent dans leur appartements...




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