FLACHBACK
DV Taylor
( avant que vous ne commenciez a lire je tiens a vous préciser que se chapitre contient une scène de viol détailler alors si vous n'êtes pas à l'aise a la lire passer se chapitre sa n'empêche pas de lire la suite de l'histoire )
Je venais de sortir des cours Carter devais normalement me raccompagner, mais il s'est pris 1h de colle. Du coup, je rentre seul, ça va, j'habite a seulement 20 minutes du lycée.
- Taylor attend.
Je me suis arrêté puis tourné vers Léandro qui me courait après. En quelques secondes, il se place à côté de moi.
- Je te raccompagne ?
- Si tu veux, mais je croyais que tu avais un entraînement de foot.
- Le coach et malade du coup pas d'entraînement aujourd'hui.
- Ok.
Je me suis remise a marché avec cette fois-ci Léandro à mes côtés.
- Sinon ça te dit de venir réviser chez moi ?
- Je ne sais pas, tu sais en ce moment, c'est un peu compliquer avec mes alors je ne suis pas sûr qu'il soit d'accord.
- Mais si aller, on en a juste pour une ou deux heures.
- Ok, mais si j'ai des problèmes, je t'envoie mes parents.
Il s'est mis à rire tout en me répondant.
- Arrête ton père me fou la frousse à chaque fois que je le vois, j'ai l'impression qu'il va me tuer.
Sa réflexion me fis rigoler alors que je niais en bloque.
- Mon père ne fais pas si peur que ça, il a juste peur pour sa fille, c'est tout.
- Ouais bah quand même. Allez vient on ferait mieux de ce dépêché avant qu'ils ne pleuvent.
Léandro attrape ma main avant de me tirer a sa suite jusque chez lui. Une fois devant a maison j'ai remarqué que la voiture de ces parents n'était là chose qui est très rare puisqu'il travail tous les deux de chez eux. J'en fais donc la remarque a Léandro, qui se tend dès le début de ma question.
- Tes parents ne sont pas là ?
- Oh ... Heu non, ils sont partis en voyage.
Il me laisse rapidement rentrer avant de rentrée à son tour, une fois la porte fermé, j'ai posé mon sac par terre le temps d'enlevé ma veste, mais à peine ai-je posé mon sac que Léandro m'a plaqué contre le mur présent derrière moi.
- Qu'est-ce que tu fais Léandro.
- Ce que j'ai envie de faire depuis longtemps.
- Léandro arrête, tu me fais mal.
- Ce n'est que le début croit moi.
Léandro ne m'a pas laissé le temps de répondre qu'il m'a attrapé par le bras avant de me traîner de force jusqu'à une porte un peu plus loin, il l'a ouverte et ma forcé à descendre les escaliers jusqu'au sous-sol. J'ai beau me débattre du mieux que je le peux, il refuse de me lâcher et me force a avancer jusqu'à une autre pièce.
- Léandro arrête, qu'est ce que tu fais. Es-tu devenu fou ?
Il m'a forcé a rentré dans la pièce avant de me plaquer contre l'un des murs avant de me répondre :
- Mais je ne suis que fou de toi ma belle.
- Arrête de dire des conneries Léandro et laisse moi partir, je te promets de ne rien dire à personnes.
- C'est absolument hors de question, tu m'as fait tomber amoureux de toi et maintenant, tu me rejetais, tu vas payer pour ça.
Sans avoir eu le temps de le voir venir, il m'envoya un coup-de-poing dans le visage et un autre dans le ventre me faisant par la même occasion me plier en deux sous la douleur de c'est coup. Léandro m'attrape par les cheveux et me traîne jusqu'au lit présent dans la pièce, il m'a balancé dessus avant de m'attacher a celui-ci.
- Arrête Léandro, je t'en supplie arrête.
- Crois-moi, tu risques de me supplier encore plus quand tu vas voir la suite.
Je ne compris que trop vite de quoi il voulait parler quand il commença à se déshabiller, avant de monter au-dessus de moi et de m'arracher mon débardeur. J'ai beau le supplier de ne pas faire ça, il s'en foutait et continuer tout en souriant. Après m'avoir arraché mon débardeur, il commença à détacher mon pantalon, pantalon qui vola rapidement plus loin dans la pièce très vie suivis de mes sous-vêtements.
- Tu es tellement belle.
Léandro commença par m'embrasser dans le cou avant de descendre jusqu'à mes seins qu'il lécha tout en passant ces mains contre mes cuisses pour remonter jusqu'à mon intimité. Je me mis à pleurer en sentant sait doigts s'introduire en moi. Lui, il rigolait en me doigtant. De sa deuxième main, il attrapa mon visage et m'embrassa de force. J'avais beau essayer de me débattre ça ne servais à rien, j'étais prise au piège entre ses mains. Il finit par retirer c'est doigt de moi après de longue minutes mais alors que je priait pour qu'il arrête enfin il s'assit sur moi au niveau de ma tête mettant son membres gonflé de désirs juste sous mes yeux meurtri par les larmes. Je tourna la tête mes Léandro ne l'entendit pas de cette oreille et me força à le regarder avant de me dire :
- Ouvre la bouche.
J'ai tout de suite compris ce qu'il voulait faire et je refusais de lui obéir ce qui lui déplu puisqu'il me força à ouvrir la bouche avant d'introduire son membre à l'intérieur et de m'obliger a le sucer. Je pleurais de plus en plus alors que lui prenait son pied, il est heureux de me voir dans cette position.
- Tu as vraiment l'air d'une chienne comme ça ma belle.
Il m'a caressé les cheveux tout en accélérant la cadence de ses coups de reins. C'est seulement après de longues minutes et surtout après avoir éjaculé au fond de ma gorge qu'il a enfin retiré sa bite de ma bouche, et alors que je voulus tout recracher, il me força à avaler tout son sperme.
- Voilà, tu vois quand tu veux, tu obéis.
Je pleurais de plus en plus et lui se fit un plaisir fou à se remettre sur mon, mais cette fois ci il n'enfonça pas son membre dans ma bouche, mais dans mon vagin. Je pleurais de douleur et de haine. J'avais mal parce qu'il me faisait mal, il était brutal et faisait tout pour que ce soit douloureux pour moi. J'avais la haine parce qu'il était en train de me prendre ma virginité.
- Putain ce que tu es séré sérieux, tes tellement sexy comme ça.
Il a passé sa main dans mes cheveux avant de me dire :
- Ca ne sers a rien de pleuré, je ne compte pas te laisser partir avant un long moment alors profite.
Et il a continuer jusqu'à éjaculer à l'intérieur de moi une fois qu'il eu finit il sait retiré à récupérer ses affaires avant de sortir de la pièce en me disant qu'il reviendrait me voir tout à l'heure pour continuer ce qu'on venait de faire. Ce son saie mot. Je n'arrivais plus à bouger suite à ce qu'il venait de se passer, comment a-t-on pu en arrivée là. Avec Léandro on a toujours était très proche mais depuis quelques semaines on se tourné plus ou moins autour bien que je l'aimé seulement comme un ami lui m'a avouer il y a quelques jours être amoureux de moi. Je lui ai avouer ne pas l'aimé dans ce sens la et je penser du fond du coeur que notre relation ne changerai pas mais lui en a décidé autrement. On a toujours été très proche, mais depuis quelques semaines on se tournait plus ou moins autour bien que je l'aimais seulement comme un ami lui m'a avouer il y a quelques jours être amoureux de moi. Je lui ai avoué ne pas l'aimer dans ce sens-là et je pensais du fond du cœur que notre relation ne changerai pas, mais lui en a décidé autrement.
Pendant les 3 jours qui on suivit le calvaire à continuer de la même façon, il venait me voir me violer, me donner à manger, à boire et repartait aussitôt. Il ne me parlait pas sauf pour me dire des trucs salaces.
En ce quatrième jour, je me retrouvais les mains et les pieds toujours attaché, j'avais tellement chaud que je sentais des gouttes de sueur me tomber le long de mes bras se mélangeant avec le sang dû au plaid de mes poignets suite à mes nombreuses tentatives pour réussir à me détacher. Malgré que la pièce soit sombre je voyais très bien le visage de Léandro au moment où il rentra dans la pièce.
- Tu veux que je te dise, je suis étonné que tu aies réussi à continuer à vivre ta vie en sachant le mal que tu m'avais fait.
Il venait de me cracher ça à la gueule comme si j'étais responsable de tous ses malheurs.
- Après tout le mal que je t'ai fait ? Jusqu'à preuve du contraire, tu m'as enlevé et attacher avant de me violer alors franchement, il faudrait que tu revoies le sens des mot me faire du mal.
- Espèce de salope.
Tout en me disant ça, il m'a envoyé un coup-de-poing en pleine face.
- Va te faire foutre connard.
Je mentirais sur ce coup la si je disais que je n'avais pas peur de lui, mon ancien meilleur ami m'a kidnappé et violé. Je sais très bien qu'il n'hésitera pas à me faire encore plus de mal. Léandro est en colère, il commence à s'approcher de moi suite a ce que je venais de lui dire. Il m'empoigna violemment par les cheveux avant de me frapper a plusieurs reprise en plein visage. Il plaça ensuite son visage a seulement quelques centimètres du mien et me dit :
- Je ne suis pas sûr que tu puisses encore te défendre vue ta situation, mais si tu aimes te mettre encore plus dans la merde et te faire frapper ça ne me gène absolument pas, il te suffit seulement de me le dire. Et je me ferais un plaisir de t'exploser chacune de tes cotes.
Il me lâcha enfin et je me laisse tomber contre l'oreiller présent derrière moi. À peine ai-je eu le temps de reprendre mon souffle que je reçus un coup-de-poing au niveau de l'abdomen qui me fit crié de douleur.
Léandro explosa de rire en me voyant dans cet état, il recule et prit sur une chaise qu'il avait ramené la veille dans la pièce. Moi, je me trouve toujours sur ce maudit lit, je tremble de tous mes membres, que ce soit dû à la douleur, à la peur. Je commence en plus à avoir froid puisque contrairement à lui qui est bien couvert moi, je suis seulement vêtu d'un débardeur et d'une culotte. Le lit ne comportant aucune couverture n'aide pas.
- Tu aurais pu éviter tout ceci, tu sais ? Tu n'avais qu'un seul truc à dire un simple, je t'aime, mes nons madame et trop bien pour ça.
- Je ne t'aimais pas de la même façon que toi et c'est toujours le cas d'ailleurs alors tu aurais voulu que je fasse quoi hein que je sorte avec toi et que je sois malheureuse et avec un peu de chance, tu l'aurais été aussi. C'est ça que tu voulais ?
- Oui, c'est exactement ce que je voulais.
- Tes parents ton élevé comment ma parole, tu es vraiment taré.
J'ai peur de ce qu'il pourrait me faire, mais ce n'est pas pour autant que je ne vais rien dire, je ne suis pas comme ça, je préfère encore me faire frapper que de ne pas lui répondre.
- C'est ce que j'aime le plus chez toi.
- Quoi donc ?
- Ta grande gueule.
Il me parlait tout en souriant, il m'avait déjà fait cette remarque par le passé le contexte était différent, mais la remarque que je lui fis elle ne l'était pas.
- Parce que tu aimes des trucs toi ?
- Étonnant pas vrai. Je t'ai toujours aimé et toi, tu ma rejeter comme ci je ne valait rien, toutes ces taquineries, c'est petites disputes qu'on a pu avoir tout ce qu'on a vécu ensemble ne voulais rien dire pour toi ?
- Après ce que tu viens de me faire, je peux te confirmer que non ça ne veux absolument plus rien dire pour moi.
Je lui ai violement craché ses mots a la figure, il pouvait à travers ses mots ressentir toute la haine que je ressentais pour lui. Il ne me répondit pas et se leva avant de sortir de la pièce et de me laisser seul avec pour seule compagnie l'espoir qu'on me retrouve rapidement.
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