Le manoir des mystères
Bonjour a tous et bienvenue pour ce nouveaux chapitre d'Halloween! Je tien a vous prévenir tout de suite: prenez votre temps! Ce chapitre est un énorme pavé! Plus de 9500 mot! Alors installez vous et prenez votre pop-corne! Oui, je suis une folle, et j'en suis fière! X) Si vous relisez mon chapitre de l'année précédente, vous verrez que je me suis beaucoup améliorer en orthographe, au point que mes anciennes fautes me pique les yeux! Mais je ne les corrigerais pas, en témoin de l'évolution de mon orthographe et par ce que j'ai pas que ça a foutre de ma vie, je préfère largement écrire de nouvelle histoire plutôt que de corriger les anciennes! Contrairement au dernier chapitre, je ne vous met pas de musique (pas d'inspi) mais trouvez en vous même, musique qui fait peur bien sur. Bonne lecture!
Pdv Ciel :
- Ouahhh...
Je viens de me réveiller en m'étirant. J'ai bien dormis ! Mais bizarrement, je suis seul dans ma chambre. Sebastian ne m'a pas réveillé ? Il fait drôlement sombre... Est-ce que... C'est encore la nuit ? Étrange... Pourtant, je ne suis nullement fatigué. Je décidé de me lever et d'ouvrir les rideaux de ma chambre : c'est bien la nuit, la pleine lune même. La lune est légèrement voilé. Que faire pour m'occuper ? ... Alors que je me pose cette question, j'entends, venant du couloir, des bruits de pas. Des pas qui se rapprochent. Je reconnais ses pas rien qu'à l'écoute : ce sont ceux de Sebastian. Il approche, toujours au même rythme, puis arrivé au niveaux de la porte, il s'arrête. Je peut voit l'ombre de ses deux pieds sous la porte. Soudain, ses deux ombres disparaissent.
- Hein ? ...
C'est alors qu'une main se pose sur mon épaule, je sursaute sur le coup et reconnaît le gants de Sebastian, et soupire, soulagé.
- Ah... Sebastian, cela n'a rien de drôle ! Dit-je en me retournant vers lui.
Mais a ma plus grande horreur, je reconnais se Sebastian horrifique, se visage sans yeux ni bouche, ses tentacules noirs qui gesticulent derrières son dot, se silence pesant qu'il installe.
Par réflexe, je recule, mais me heurte a quelque chose. Je me retourne : c'est encore Sebastian, qui m'entour de ses tentacules et me retiens prisonnier, son corps toujours immobile. Je pousse un cris de peur en fermant les yeux :
- Aaaaah !!
Je me relève de moi lit et regarde autour de moi. Encore un cauchemar ? ... Cela faisait longtemps que je n'en n'avais plus fait. Je me lève et ouvre les rideaux : la même lune, les mêmes nuages, le même ciel. Je recule, horrifié.
- Non, impossibles, pas encore...
Je me souviens encore de cette nuit et de se cauchemar, où toute les personnes que je connais venez me hanter dans un labyrinthe sans fin. Cela ne va pas recommencer, si ? ... Je me souviens de chaque horrible visage qui me traquaient, tous mort en déformé. Que faire ? Je suis encore dans un cauchemar ? Alors que je réfléchi, un bruit venant me glacer le sang retentit: des bruits de pas, ceux de Sebastian. Que faire?... Il est trop tard pour m'enfuir. Où me cacher? Paniqué, sous pression de devoir trouver une cachette au plus vite, je me cache sous le lit. Tout mon mon corps tremble a en entendant les pas se rapprocher, a une vitesse régulière et lente. Je suis littéralement mort de peur, terrifier, cette créature me glace le sang, me donne la chaire de poule, me fait trembler comme une feuille juste en entendant ses pas. Il est derrière la porte. Je retiens ma respiration en me mordant la lèvres en entendant le grincement de la porte. J'entends ses pas approcher du lit, mélangé aux battements frénétique de mon cœur terrorisé. Ses chaussures son juste en face de mon visage. Je suis coincé, que faire? Attendre semble être la meilleur solution, et la seul sensé. C'est alors que je ressent comme une caresse sur ma cheville gauche. Je tourne la tête lentement, terrifier de voir de voir de quoi il s'agit, tremblant. J'ai a peine le temps de noir la tentacule noir finir de s'enrouler autour de ma cheville que je suis tiré de dessous du lit, criant de peur, fermant a nouveaux les yeux.
- Aaaaah!!
Une nouvelle fois, je me lève du lit, en sueur. Toujours la même nuit, toujours la même heure. Pas une minute a perdre : cette fois ci, je sort en courant de là chambre, n'attendent pas d'entendre les sinistres pas de Sebastian pour réagir. Je court aussi vite et loin que je le peux, avant de m'arrêter, essouffler avant de me rendre compte qu'en réalité, le couloir que je prend est sans fin, parsemé de porte fermé au contenue inconnue. Je me croyais sortit du labyrinthe, mais me voici dans un nouveaux, particulièrement dérangeant du a sa ressemblance a mon manoir. Comment me sortir de là, encore une fois?... Lors du précédent rêve, je me suis véritablement réveillé après avoir été encerclé par tout les "monstres" que j'ai rencontré. Était-ce une coïncidence ou la clé pour en sortir?... Je n'en sais rien pour le moment. Je n'ose ouvrir aucune porte pour le moment, de peur que de terrifiant monstre en sortent. A moins que ce ne sois la clé pour m'en sortir?... Je décide de continuer d'avancer et de voir, si rien ne se passe, je vais être obligé d'ouvrir quelque porte. Alors que j'étais prêt en ouvrir une, j'entends des cris, des cris de douleur. Je tourne la tête et vois au loin une des portes entre-ouverte c'est de la bas qu'ils viennent. Que faire?... Aller voir?... M'enfuir?... Et si quelqu'un se fessait attaquer?... Je décide alors de faire preuve de curiosité, qui je pense est la clé de se labyrinthe. Je m'approche sans bruit de la porte en question, l'ouvre un peut plus et regarde dans la légère ouverture qui pousse ses cris: c'est le shinigami Ronald, les mains sur la tête, poussant des cris de douleur, bougeant dans tout les sens, se prenant le mur, parfois se tapant la tête contre se dernier, apparemment en souffrance extrêmement, respirant bruyamment entre deux cris. La tête contre le mur, en sueur, rouvrant ses yeux, il dit:
- Jamais... Jamais tu ne m'auras!... Argh!!...
Il me parait... Normal. Il lutte contre quelque chose, on dirais, c'est psychologique. Devient-il fou?... Car il ne semble pas seul dans sa tête. Dois-je me montrer, essayer de communiquer avec lui, de l'aider?... Je peut ressuscite alors autant tenter!... J'ouvre alors en grand la porte, ravalant ma salive. Je vois alors ses yeux fermé se rouvrir vers moi, me regardant, la tête contre le mur, luttant contre la souffrance.
- Va... Va t'en... C'est toi qu'il veux!... Je ne sais pas... Si je vais pouvoir tenir longtemps... Dit-il avant de pousser un nouveaux cris de douleur.
- Qu'est-ce qu'il t'arrive?... Qui est-il?... Explique moi!... Dis-je déboussoler.
- Peux pas... Gnn... Pas le temps... C-Court... A-Ah...
- Je t'en pris, tu es le seul a pouvoir m'aider!...
- ARGH!!... Cris t-il de douleur. V-Vite... Va... T'en...
Il souffre trop, je ne pense pas qu'il pourras m'expliquer quoi que se sois. J'espère juste, qu'au même titre que William lors du rêve précédent, il n'est pas l'unique personne sensé ici... Je me recule, suivant son conseille, et me met a courir, entendant une dernière fois ses cri de douleurs horriblement forts. Bien que je ne sois aucunement attaché a lui, le voir et l'entendre souffrir ainsi me fait mal au cœur... C'est alors que je me rend compte que l'environnement a changer, passant de couloir infinie remplis de porte a des couloirs vide, mais sinueux et nombreux, un véritable labyrinthe. Ils ne sont éclairés que par des lampes, accrochées en haut des murs, les laissant très sombre. C'est bien un coup a tomber sur ses "monstres". Alors que j'avance, un coup de feu soudainement retentit, je me reçois une balle dans le bras. J'ai le temps de jeter un coup en arrière pour voir May-Linn, ou du moins se qu'il en reste, elle n'a pas changer par rapport au dernier rêve: ses lunettes son fissurer, elle est transpercé un peut partout de balle, dont une au plein milieux du front, son sang dégoulinant sur son visage. Elle a un aire sérieux, mais ses yeux son caché par ses lunettes, me cachant sa vrai expression. Mais pas le temps pour plus de réflexion, je me met a courir, prenant le plus de virage possible pour espéré qu'elle ne m'atteint, la main sur mon bras touché qui me fait extrêmement souffrir. Mais si j'avais eu un minimum de réflexion en plus, j'aurais pu prédire que les autres domestiques ne sont jamais bien loin. Au détour d'un virage, je me suis retrouver face a Bard, qui se retourne vers moi, lance flamme en main, mais j'arrive a temps a prendre un virage pour évité ses flammes. Je ne sais pas si j'ai semé May, mais Bard est toujours a mes trousses, brûlant tout sur son passage, malgré ses habits qui s'enflamment a leur tour. Mon cœur, a cause de la peur et du stresse, bat tellement qu'il en menace de sortir de ma poitrine, ma respiration est si forte que je ne n'entend qu'elle. Hélas, ma blessure au bras me trahis, l'hémorragie est de plus en plus intense et laisse des traces de sang derrière moi, permettant a mon poursuivant de me suivre a la trace. Je n'ai qu'une option: courir. C'est dans ses moments que je regrette de n'être gère plus sportif. Mais je ne peux pas m'en sortir ainsi! Je vais finir par m'essouffler pour de bon et comme il m'auras suivie a la trace, je serrais fichu! J'essaye, en ralentissant ma course, de me faire un bandage sur ma blessure, en déchirant quelque partie de mon pyjama. Je le serre au maximum, malgré la douleur, se qui arrive a empêché assez l'hémorragie de continuer pour ne plus laisser de trace. J'ai courue, longtemps courue. Aucune trace de May ni de Bard, mais par contre, celle de mon asthme s'impose... J'ai courue trop longtemps trop vite, j'ai perdue tout mon souffle et n'arrive plus a le récupéré, toussant, m'étouffant presque. Après tous ça, ne me dite pas que je vais mourir de mon asthme! Je tente de récupéré du mieux que je peux mon souffle, les oreilles qui siffle, ma vue se troublant, plié en deux, la main sur mes poumons, mais dans se chaos, je jure entendre une voix familière me dire "Que tu es faible...". Je regarde autour de moi, personnes. Alors que je commence a me sentir mieux, je remarque une ombre au dessus de moi. Je lève la tête et me fait attraper par le coup, puis soulevé comme un vulgaire petit animal. Je met mes mains sur celles qui me tienne, m'empêchant de respirer pour tenter de les desserrer de mon coup. Je regarde alors la tête de mon agresseur: j'aurais du m'en douter. Une tel force et après tout se qu'il viens de se passer, cela ne pouvais être que Finny. Ses yeux son plat, vide, sans aucune lueur de vie, et son sourire et figé, le rendant très effrayant. Le souffle me manque, accentué par mon asthme, je me rappel alors de Ronald, qui était en train de se faire possédés peut être, manipulé ou quelque chose dans le genre, peut être est-ce le cas pour tout le monde ici?... Peut être puis-je les raisonner? J'entend des pas derrière moi, se sont certainement Bard et May. Je dois tenter le dialogue, c'est la seul idée qui me viens! J'utilise le peux de souffle qu'il me reste pour dire:
- Finny... C'est moi..... Ciel... Ton maître!...
Hélas, aucune réaction, mis a par qu'il ressert sa prise, me brisant les os, me fessant pousser un cris de douleur, vite étouffer par mon manque de souffle, perdant connaissance lentement, dans une douleur prolongé, entre les mains de mon jardinier.
Je me relève une nouvelle fois dans mon lit, prenant une grande bouffé d'aire, la main sur ma gorge. Sans étonnement, je respire a nouveaux parfaitement bien et ma blessure au bras a disparue. Pas une minute a perdre de plus ici! Je sort vite de la chambre, marchant a nouveaux dans se couloir infinie parsemé de porte. Je m'avance avec prudence, je ne sais pas quoi ou qui peut me sauter dessus a tout moment, sortant de l'une de ses portes. Alors que j'avance, des mains se pose sur mes épaules et crient:
- Bhou!!!
Terrorisé, je fait un bon, deviens blanc comme un linge, fait une mini crise cardiaque, par en courant et me ramasse par terre, avant de voir le visage de mon agresseur, mort de rire.
- Ah ah! Ah! Ah... Si t'avais vue ta tête! C'était épique! Dit cet personne en se tenant le ventre tellement il ri.
Étrangement, son visage m'es inconnue. Il n'as pas l'aire hostile non plus. On dirais juste une blague de mauvais gout. Tien?... Des lunettes, des yeux verts, un shinigami?...
- Pardon, te voir aussi stresser était trop tentant... Dit-il en finissant enfin de rire.
- Qui êtes vous?... Lui dis-je sur mes gardes, toujours le cul par terre.
- C'est vrai, on ne se connais pas encore! Je suis Othello, dieux de la mort!
Comment peut-il être dans mon rêve alors que je ne le connais même pas?... Existe t-il, au moins?...
- Vous n'êtes pas... Un monstre?...
- Non pourquoi?... Je suis un dieux de la mort, pas un humain, nous sommes beaucoup plus difficile a manipulé!
- Vraiment?...
- De plus, n'étant pas très fort physiquement, je ne dois pas l'intéresse non plus...
- Qui est t-"il"?...
- Hum?... C'est cet homme qui prend possession de tout le monde pour les rendre fou et les manipuler! Moi il me laisse tranquille car je ne lui servirais a rien...
- Quels est son nom?...
- Et bien... Dit-il avant de se faire interrompre par un bruit de moteur, un bruit familier qui me glace le sang.
Nous nous tournons vers l'origine de se vacarme, qui est sans surprise Grell Sutcliff, comme dans le précédent rêve, le sourire agrandit au couteaux, les paupière brûlée, ses dents pointue et sa tronçonneuse a la main.
- Tien, voilà Sutcliff, je ne vais pas rester ici plus longtemps!
- C'est pas vous qui avez dit que les shinigamis était beaucoup plus difficile a manipulé?!...
- C'est vrai, mais Sutcliff est une exception, quand c'est pour tuer quelqu'un gratuit, forcément qu'il c'est laissé faire!...
Il n'as pas tort...
- Il arrive, bonne chance! Dit-il en commençant a s'en aller, les mains dans les poches.
- Mais!...
J'y crois pas, il m'abandonne avec l'autre taré se lâche?!...
- A-Attend!! Aide moi, s'il te plaît! Ne me laisse pas seul avec lui! Dis-je en me relevant et le rattrapant.
- Désolé, je peux rien pour toi, je suis nul en combat, je te dit! Toi, tu peux ressusciter, pas moi!
J'aurais préféré quelqu'un d'autre comme personne normal!... William avait très bien fait l'affaire, lors du dernier rêve, malgré tout... Va t-il revenir dans celui là, du coup?... Pas le temps de réfléchir, il faut courir, Grell arrive. Je passe a côté d'Othello, a la limite d'être en train de siffloter, et il me dit:
- Au faite, minus, prend ça!
Je rêve ou il m'a appeler minus?... J'attrape tout de même une petite fiole qu'il viens de me balancer.
- Qu'est-ce que c'est?...
- C'est un mélange que j'ai confectionné, je ne peux pas te le garantir, mais il devrait te sortir de se rêve.
- Comment puis-je te faire confiance?... Qui me dit que c'est pas empoisonné?...
- C'est vrai, mais une mort de plus ou de moins pour toi, sa change vraiment beaucoup?... Essaye! Si sa marche pas, je pourrais en essayer un autre!
- Tu peux pas me sauver de l'autre psychopathe plutôt?...
- Désolé, je suis nul en combat, je tien pas trente seconde face a lui!
- Trente seconde où je peux fuir!
- Non merci, je vais pas me sacrifier pour un gamin capricieux qui me dit même pas merci pour toute les infos que je lui est donné! A plus! Dit-il avant de disparaître en me fessant un clin d'œil en souriant.
- Mais...
Comment a t-il osé?!... Le bruit de la tronçonneuse de l'autre taré me ramène a ma triste réalité, courant aussi vite que possible pour lui échapper. Oui! J'arrive dans la partie labyrinthe, j'ai peut être une chance de le semé! En espérant ne pas tomber sur les domestiques, bien sur. Par chance, je fini par le semé, reprenant mon souffle pour évité la même erreur que la dernière fois, quand soudain, j'entend un sinistre rire, un "Hi hi hi hi!..." très reconnaissable, celui d'Undertaker, je regarde autour mais ne vois personnes. C'est alors que j'entend des bruits de grognement, beaucoup de grognement, ses bruits me rappelle la sombre nuit du Campania. Je vois alors débarquer derrière moi une horde de Bizar Doll, arrivant droit sur moi. Il ne me fallu pas longtemps pour comprendre que c'est mon âme qu'ils voulaient et pris mes jambes a mon coups. Ses saletés son peut être lente, mais guidé par mon âme, ne se perde jamais. Un seul cul de sac et je suis mort... Je commence a fatigué et ils sont a mes talons... Je ne vais pas tenir très longtemps... Alors que, par miracle, je commençais a le semé, alors que je regardais en arrière, je me cogne contre quelque chose, ou plutôt quelqu'un: c'est Grell!... Il allume sa tronçonneuse et alors que je recule pour lui échapper, une Bizar Doll m'attrape l'épaule, une autre le mollet, une autre un bras. Je les avais presque oublier!... De partout, des mains m'attrape, me tienne et m'attire vers eux, me fessant prisonnier de cette horde, avant de sentir un morsure sur l'épaule, sur la jambe, sur le bras. Je pousse des cris de douleurs, piégé, me fessant dévorer crus et vivant sous les yeux fou du shinigami au cheveux de sang.
Je me réveille de nouveaux, inlassablement dans se lit. Je me suis encore fait avoir... Et si l'autre shinigami là, Othello je crois, m'avais aider, je m'en serrais peut être sortie!... Alors que je soupir, m'apprêtant a sortir, j'entend derrière moi un petit rire:
- Tu es vraiment pathétique...
Je reconnais cette voix, cette voix qui me glaça le sang, cette voix si similaire a la mienne. Je me retourne: il est là assis sur le bord du lit, me regardant en souriant, un sourire a la fois angélique et démoniaque, les yeux rieurs, ses cheveux semblable au miens, ses yeux bleu profonds. Surpris, m'attendant a tout sauf a ça, je recule, le cœur qui bat la chamade.
- T-Toi!...
- Je t'ai manquer?... Me dit-il en souriant.
Je reste pétrifier. Même en rêve, cela ne peux pas être réelle!...
- Tu es encore mort, n'est-ce pas?... Je monde est injuste, n'est-ce pas, les meilleurs personnes meurt en première et les pires crevure meurt en dernière. Moi, je n'ai pas eu de deuxième chance.
Je recule tellement que j'en tombe du lit, avant de partir en courant. Mais celui-ci me réa-parait juste a côté:
- Fuir tes problèmes, c'est tout se que tu sais faire, n'est-ce pas?...
Il réa-parait un peut plus loin, encore a côté de moi, ne me lâchant pas du regard, l'aire amusé:
- Tu es un incapable, tu ne sais rien faire de toi même.
Et il continue ainsi, réa-paraissant a côté de moi sans fin alors que je cours pour le fuir.
- Ton majordome, tes domestiques, tes pions, ils sont la pour faire se dont toi tu es incapable de faire. Tu profite de cette vie qui aurais du être mienne. Je suis toi en mieux, avec tout tes défauts en moins. Alors, pourquoi c'est toi qui a eu le droit a une deuxième chance?... C'est toi qui aurais du mourir se jour là. Toi aussi, n'est-ce pas, tu aurais préféré mourir se jour là a ma place, "Ciel"?...
- Tait toi!!...
Sa voix infernale me hante et retenti comme un écho dans ma tête, me donnant un terrible mal de crâne en plus d'entendre ses paroles qui ont l'effet d'un couteaux dans mon cœur, les mains sur ma tête.
- Tu ne peux pas me fuir et tu le sais, je suis comme un problème, tu auras beau me fuir mais si tu ne fait rien, tu ne pourras jamais vraiment te débarrasser de moi. Tu ne peux pas nier l'évidence, tu es une partie de moi et moi une partie de toi. Nous sommes lié pour l'éternité, que tu le veuille ou non. Au début, nous étions comme une feuille de papier, et quand on déchire une feuille de papier en vitesse, il y a toujours une partie plus grosse que l'autre, moi je suis le grosse partie, toi le reste. Nous sommes a la fois identique et différent, deux être différent et une seul personnes.
Je n'en peux plus. J'ai l'impression que ma tête va exploser. Il dois disparaître, maintenant, retourner dans le néant du quelle il viens! Je n'écoute même plus se qu'il me dit, poussant des cris de douleurs incessants. Il faut que ça cesse! L'idéale serrais qu'un monstre me tue, mais je suis seul avec lui, ne me lâchant pas d'un millimètre. Soudain, une idée me viens. Sans attendre, je sort la fiole donner par Othello, toujours dans ma poche, enlève le bouchon et la bois. Aucun effet.
- Quelle lâcheté! Le fuite, toujours la fuite, c'est la seul option que tu as, c'est la seul option qu'on les faibles!
- La ferme!!! Cris-je, a bout de nerf.
Othello!! Je vais te tuer!!
- Tu as raison. Je ne vois pas pourquoi je continue de parler avec quelqu'un d'aussi faible et obstiné que toi. Tu es condamné a brûler dans les flammes de l'enfer, de toute manière, ton âme est déjà possédé par les ténèbres. Je crois que, finalement, je préfère la mort qu'à une vie comme la tienne. A dieux, "Ciel", je te laisse face a tes actes! Dit-il avant de disparaître pour de bon, soulageant enfin un peut mon malle de crâne, la vue trouble et les oreilles qui siffle.
Face a tes actes?... C'est alors que j'entend des grognement et relève la tête. Des Bizar Dolls. Mais je constate avec effrois qu'il s'agis de mon père, ma mère, ma tante et les membres du cirques, avançant vers moi, la mâchoire tombante, la peau blanche, leur regards inexpressifs. Je recule lentement, terrorisé avant de me retourner et de partir en courant.
- Ses personnes te rappel quelque chose, n'est-ce pas?... Me dit une voix familière, celle d'Undertaker. Je les ai fait spécialement pour toi, jeune compte! Ne sont-il pas plus beau ainsi? Hi hi hi hi!
Je cours le aussi vite que je peux, m'engageant dans le labyrinthe pour tenter de les semer. Revoir leur visage me rappelle de terrible souvenir, tantôt triste, tantôt douloureux. Des souvenirs que j'aurais préféré enterrer dans les abysse de ma mémoire. C'est alors que, en plein milieux de ma route, une ombre se dresse. Son visage est caché par l'obscurité, mais je le reconnais: c'est Snake.
- Tu m'as... Mentit!... Dit-il avant de tendre le bras dans ma direction, ses nombreux serpent fonçant vers moi.
Se qui me surprend le plus, c'est le fait que c'est lui qui parle, pas Emilie ou un autre de ses serpents comme il le fait a son habitude. Mais je n'ai pas le temps de réagir que ses serpents s'enroule autour de moi, de mon bras, ma jambe avant de me mordre avidement, m'injectant leur venin mortel. Je pousse un cris de douleurs a leurs nombreuses morsures, sentant ma vue se troubler, mes forces m'abandonné, quand soudain, quelqu'un m'attrape le bras. Cette main semble rassurante, avant de voir ma mère commencer a me déchirer le cou de ses dents, puis mon père au mollet et ma tante aux cottes, me fessant pousser des cris de douleurs effroyable.
- Je me demande se que cela fait de se faire dévorer vivant par sa propre famille! Hi hi hi! Dit Undertaker avant que je ne meurt a nouveaux, sous les crocs de mes propres parents.
Cette dernière mort m'a laisser une cicatrice particulièrement douloureuse sur mon cœur. Vous n'imaginez pas se que cela fait de se faire manger vif par ses propres parents, sa propres famille, la douleur physique n'est pas pire que la douleur mentale. Je reste dans mon lit, a me remettre des terribles images de ce dernier essais, le plus douloureux mentalement. Peut-il m'arriver pire?... J'aurais bien voulue continuer et rester tranquille un moment, mais la menace de ce Sebastian sans visage me pèse trop pour rester tranquillement dans mon lit, alors je me lève et repart pour un tour. Sur quoi vais-je tomber cette fois ci?... Je vois une ombre arrivé en face de moi, une ombre qui siffle une sinistre mélodie: celle de My fair lady. A la lueur de la lune d'une fenêtre sur le côté, je vois le visage de celui qui siffle cette chanson, avec un léger soulagement: c'est Othello qui, les mains dans le poches, sifflote gaiement, regardant pas la fenêtre au passage, avant de se tourner vers moi.
- Tien, minus, toujours là?
- Ne m'appelle pas ainsi!...
- Pardon, compte Phantomhive, dit-il en fessant une révérence, d'un ton snobe et moqueur avant de sourire.
Mais ses bêtises me font du bien, après l'enfer que je viens de vivre, me font même esquissé un petit sourire, soupirant, plus détendue.
- Au faite, je vois que tu as bu ma fiole... Ce qui veux dire...
- Oui, ça n'a pas marché, et tu ne peut pas savoir a quel point je t'ai maudit sur le coup.
- Je vois, tu devait vraiment être dans une position inconfortable pour boire se truc... Après, rien ne nous dit que l'effet est immédiat, ça viendra peut être plus tard!...
- Par ce que tu ne sais même pas toi même ce que tu concocte?...
- Si, enfin bref, si ça marche pas, j'essayerais d'en faire un autre, mais ça prend du temps...
Je soupire:
- D'accord. Au faite, c'est pas toi qui disait que les shinigami était difficiles a manipulé?... Je me suis fait attaquer par une horde de Bizar Dolls d'Undertaker!...
- Au même titre que Grell, le pense que cela ne le dérange pas de te charrier, le connaissant!
- Pas faux...
- Bon bas je te laisse!
- Hein?... Me laisse pas seul! Reste un peut avec moi, il n'y a pas de monstre!
- Hum?... Notre chère contre Phantomhive s'abaisse a demander de l'aide a un simple shinigami?... Dit-il d'un ton moqueur en se penchant vers moi.
- Rah, ça va...
C'est pas comme si c'était la première fois que je le fessais...
- J'ai pas entendue le mot magique!
- Hein?!... Mais je suis plus un gamin!...
- Teuh teuh teuh, pour moi, t'es un gosse, alors mot magique!
- ...
Ses dernière années, j'ai fait la connaissance de tout les pires cas de l'humanité...
- J'entend rien!
J'ai envie de dire "abracadabra" juste pour me venger...
- S'il te plaît...
- Bah voilà quand tu veux! Non.
- Hein?!...
- Ça va, c'est une blague, j'reste avec toi!
- Ça ne me fait pas du tout rire...
- Roh, ça va! T'as vraiment pas d'humour...
- C'est toi qui a un humour pourrie, entre ton "Bhou!" de la dernière fois et ça!
- Que veut tu, c'est un humour de shinigami!
- Votre humour est nul, dans se cas.
- Peut être, mais est-ce que tu n'as pas oublier un instant que tu était dans un rêve où tout tes pires cauchemars se réalisent?... Me dit-il d'un aire fière.
Il n'a pas tort... Je me sent beaucoup moins stresser et déprimer avec son humour a deux balles...
- C'est vrai...
- Tu vois! J'ai toujours raison!
- T'as de la chance de pas avoir peur toi, de pouvoir rigoler dans un endroit comme ça!...
- Ah ah! Rie t-il avant de rapprocher son visage du mien, l'aire sérieux. Est-ce que j'ai vraiment l'aire d'être un type courageux?...
- Euh...
- Non! Dit-il en reculant. Je suis un vrai mauviette! C'est juste que quand je suis stressé, je fait un peut n'importe quoi pour me détendre, dont des blagues un peut bof pour évité d'me faire dans le froc!
- C'est explicite...
J'aurais pas pu tomber sur mieux, sérieusement?... Alors que nous marchons encore dans le couloirs au 1000 portes comme je l'ai appelé, il se remet a siffloter cette mélodie infernale.
- D'où tu connais cette chanson?...
- Hum, un mec chelou avec un boite a musique la jouer, tout a l'heure.
C'est Drocell...
- Et toi tu la siffle?... Dis-je outré.
- Bah oui pourquoi, elle est bien, non?...
- Vous êtes bizarre, vous, les dieux de la mort, de chanter des trucs aussi glauque...
- En même temps, quand tu travaille pendant près d'un siècle sur le thème de la mort, se genre de chose deviens notre quotidien!
- Pas faux...
Ils deviennent déranger, quoi... Mais celui-ci continue de siffloter.
- Tu peut arrêté, s'il te plait?... Cette chanson me dérange.
- Même pas en rêve, je vais continuer rien que pour t'emmerder, non mais, d'où tu me vois me faire diriger du bout du doigt par un lilipucien? Je fait s'que j'veux!
Le "lilupucien" n'est pas très bien passer... Du coup, je me vexe et boude, forcé a l'écouter siffloter cette chanson des enfers.
- Hum?...
Soudain, il s'arrête de siffloter. Je me retourne et le vois collé a une porte entre-ouverte, en train d'écouter quelque chose.
- Mais qu'est-ce que... Dis-je intrigué.
Il me prend par le bras, met son doigt sur sa bouche et me disant "Chuuut!...". Il me fait signe d'écouter moi aussi, alors j'ouvre mes oreilles:
- ... Il ne veux toujours pas se laisser faire... Il est coriace, mais si il faux utiliser des méthodes plus "extrêmement", soit. Il ne me manque plus que lui sous mon contrôle et se cauchemars est parfait...
Cette voix!... C'est celle de celui qui tire les ficelles de ses rêves, celui qui fait de mes connaissance des monstres!... Et je reconnais cette voix!... C'est celle de Bravat!... Pourquoi fait-il tout cela et comment?... Et puis, quand il dit "il", il parle de Ronald, le dernier a lui résister?... Et que veux t-il dire par "méthode extrême"?...
- Je suis fière de se rêve, il est bien mieux que le premier... Jamais il n'en sortira... J'ai éliminé l'élément perturbateur de la dernière fois, d'ailleurs, pourquoi pas ne pas l'utilisé lui aussi?...
C'est bien lui qui crée ses rêves, dans se cas, et quand il dit "Jamais il n'en sortira", il parle de moi?... Il veux me tenir prisonnier dans ses rêves? Et qui est "l'élément perturbateur"? Toute ses paroles sont très énigmatiques...
- Bien, il est temps de s'occuper de se "résistant".
Puis plus rien. Othello regarde dans l'ouverture et la porte et l'ouvre en grand: il est partie, laissant uniquement derrière lui une boule de cristal poser sur la table.
- Tu vois?... C'est lui qui les manipules tous. Il est vraiment bizarre, se type...
- Il veux me laisser prisonnier ici?... Dis-je avec effrois.
- On dirais bien, c'est pour ça que j'ai fait se remède, car moi aussi, je suis bloqué ici et j'ai pas envie de rester dans cet endroit glauque!... Si tu es libéré, nous le sommes tous aussi! Ce n'est pas ton premier rêve, n'est-ce pas?
- Non, c'est mon deuxième.
- Je vois... Comment t'en es-tu sortie la dernière fois?... Il suffis de refaire la même chose!
- Et bien... Je ne sais pas...
- Ah? Je vois, tu ne nous facilite pas la tâche!... Bien, qu'avez ce dernier essais de spéciale?...
- Et bien... Un peut comme toi, William était le seul a être normal, et il m'a protégé et guidé a travers le labyrinthe. Mais... Il a fini par être tuer par des monstres, se sacrifiant pour moi. Alors que j'était entourer de tout les monstres que j'ai croisé, je me suis réveiller.
- Je vois... Étonnant...
- C'est pour ça, protège moi!
- Je ne te serrais pas plus utile qu'un brindille, de tout manière! Il vaux mieux que j'essaye de nouveaux mélange au lieux de me sacrifier pour rien, non?...
- C'est vrai, dis-je en soupirant.
- Donc c'est William qui t'as protégé?... Surprenant, de sa part... Mais il devait être au courant, lui aussi, il savais que tu étais la clé pour se sortir de se cauchemars... Mais au faite, qui l'as tué? Normalement, les "monstres" ne s'attaquent pas entre eux, j'en suis la preuve vivante!
- Ce sont des anges qui lui on tiré dessus, puis c'est Seb... Mon majordome qui l'a tué. Dans la vrai vie, les deux se haïsse, cela dois être pour ça...
- Je vois, c'est compréhensible... Pauvre William...
- D'ailleurs, l'as-tu vus?
- Hélas, non... J'ai aussi croisé ton majordome, il est apparue devant moi, comme ça, puis est repartis, ce que j'ai flippé!... Il fait vraiment peur!... Il est immense, en plus!... Maintenant que tu me dit ça, j'en encore moins envie de me faire zigouiller!...
- Poule mouillé!...
- Et alors?... T'es plus courageux que moi, peut être?...
- Pas vraiment...
- Tu vois, on est dans le même sac, mon p'tit gas!
- Au faite, comment ça ce fait que tu es dans MON rêve alors que je ne te connais même pas?...
- J'en sais rien, on va p'être bientôt se rencontrer dans le vrai vie?...
- Peut être...
Notre conversation est soudainement interrompue par une macabre mélodie, cette mélodie que, il y a encore peux, Othello chantait gaiement. Un frisson me parcoure le dot. Je me retourne et vois Drocell, tournant la petite manivelle de la boite a musique, chantant:
- Fessons-le d'or et d'argent, fessons-le, fessons-le, fessons-le d'or et d'argent, my fair lady.
Mais se qui me choqua le plus, c'est l'unique poupée qui le suit, et cette poupée, c'est Elizabeth. Son regard et vide, elle habillé d'une robe blanche, ses joues luise a la lumière et elle tien... Deux épées dans ses mains. Othello la regarde et siffle avant de dire:
- Je crois qu'il est l'heure de partir... Dit-il en essayent de m'abandonné comme un voleur.
- Et mais!... Othello, reviens!...
- Elle est vénère, ta fiancée, je vous laisse réglé vos dispute de couple entre vous! Dit-il en s'en allant définitivement.
- Mais...
Quel lâche!... J'aurais du m'y attendre... Bon bah, il y a pas trente six mille solution... Sur ses pensées, je prend mes jambes a mon coup. Par chance, ils sont particulièrement lent, certainement car Lizzy est faite d'acier et je ne sais quelles autres matériaux, la rendant lourde et lente. Mais je suis dans le couloir au mille porte, donc je ne dois pas m'arrêter. J'entend toujours la lointaine écho de la boite de musique qui tourne sans cesse. Comment y échapper?... Alors que je me pose cette question, je vois une des portes entre-ouverte. Mais oui!... Je n'ai qu'à me cacher la dedans! Vite, la musique se rapproche, il ne faut pas qu'ils me voient rentrer! Sans réfléchir plus que cela, j'entre dans la pièce et ferme la porte. Soudain, je pousse en grand "Atchoum!!!...". Ah... Qu'est-ce que cela peut être?
- Miaou!
Hein?... Un chat?... Attend, je viens de rendre compte que je n'ai même pas vérifier se qu'il y a dans cette pièce!... Je me retourne: le spectacle devant moi et des plus horrifique. Je pose ma sur ma bouche, horrifié.
- Mon dieux!... Dit-je avant d'éternué a nouveaux.
Cette pièce, je la connais, c'est la chambre que j'ai attitré a Sebastian!... Une chambre simple, une armoire, un lit, il ne lui en faux pas plus. J'éternue a nouveaux. La pièce est remplis de chat. Il y a des poiles partout. Mais... Juste a côté de son lit demeure... Le cadavre de William, sur lequel plusieurs chats sont penchés dessus, entrain de le manger. Une odeur de vieux cadavre envahis la pièce. Je me bouche le nez, mais ne peux me retenir d'éternué sans cesse, collé a la porte. Mais j'entend Derocell et sa musique se rapprocher dangereusement derrière la porte. Il ne faut surtout pas que j'éternue quand ils passe!... Ou que je vomisse tout simplement, il y a des boyaux partout, c'est répugnant!... Son visage est totalement pâle, et ses yeux semble me regarder, ses yeux vert avec encore moins de vie qu'il n'y en avait déjà dedans. Je ne préfère pas regarder plus longtemps, au risque de vomir a mon tour mes tripes!... Ils arrivent derrière moi!... Je ferme les yeux, me bouche le nez et arrête de respirer. Je ne peux m'empêché de trembler en l'entendant passer juste derrière la porte. Heureusement, ils passent sans que je n'éternue. Je reprend mon souffle et éternue tout se que je n'ai pas pus éternuer, reprenant mon souffle. J'attend de ne plus l'entendre du tout pour enfin sortir de cet enfer. De l'aire frais!... Je met ma main sur mon ventre, m'empêchant de vomir. Je dois être blanc comme un linge... Je ne me sent pas du tout bien... Les images de se cadavres me hante, me donnant la nausée. Je me remet en marche, pas trop vite non plus, je ne tien pas a les rattraper. Je fini par me sentir un peut mieux. Soudain, j'entend des cris effroyable de douleur. Attendez... Il me rappel quelque chose... Mais oui, Ronald! Se sont les cris de Ronald! Mais en encore plus pire que tout a l'heure... Je vois, encore une fois, une porte entre ouverte, d'où proviennent les cris. Encore une fois, je regarde dans la mince ouverture se qu'il s'y passe: je vois Ronald, attaché avec des chaines de fer, torse nu, en train de se faire torturé par un ange, poussant les pires cris de douleurs que je n'ai jamais entendue. Il y a Bravat aussi, qui regarde la scène, un sourire en coin.
- Tu souffre, n'est-ce pas?... Pourquoi lutter encore, alors que toute tes souffrances pourrais se stopper d'un coup?... Laisse toi aller!... Lui dit-il.
Ronald crache du sang vers lui.
- ... Jamais...
Brava fait signe a l'ange de continuer, non, de faire pire encore. Je ne pensais pas qu'il y avait pire comme cris de douleur, et bien si, il s'empire a chaque fois un peut plus. Quand je pense qu'il fait tous cela pour s'empêché de me tuer, pour me laisser un chance... Hélas, je ne peux rien pour lui, mis a par vivre. C'est en serrant le poing que je m'éloigne, déterminé a sortir d'ici, déterminer a mettre fin a cet enfer, mettre fin a ses souffrances. Mais ses cris, même quelque temps après, retentisse dans ma tête en écho infernale, avec des fois des images du cadavre de William. Trop de chose se bouscule dans ma tête, j'ai entendue et vue trop d'horreur, qui me hante et me préoccupe. Il faut que je sorte d'ici, il faut que je sorte de se rêve! J'entre dans le labyrinthe, mais bizarrement, heureusement, je ne croise personnes. Étrangement, j'en ressort, j'arrive sur un long couloir parsemé de vitre sur ma droite. Il est éclairer par la lumière de la pleine lune. Ça fait bizarre de voir autant autant de lumière d'un coup, mais cela me rassure. Qu'y a t-il au bout de se long couloir? La sortie?... Hélas, cela me parait bien trop simple. Mais j'avance. Soudain, une ombre se dresse au loin, je m'en approche prudemment. Cette ombre est immense, qui cela peut-il être?... Poussé par ma curiosité, j'avance, jusqu'au moment où la bête se tourne vers moi: c'est Wolf! Mais évidemment, ce n'est pas le même, il est immense, couvert de poile, avec un long museau, une queue et des oreilles. Un... Loup-garou?!...
J'ai a peine le temps de le regarder qu'il se jette sur moi, me plaquant a terre, avant de commencer a me dévorer vivant, je vie assez longtemps pour le voir sortir mes propres boyaux de mon ventre.
Je me réveille encore une fois dans se lit, se lit semblable au miens. Je me lève. J'aurais du y penser, les loups-garou se transforme a la lumière de la lune, j'aurais du rentrer dans le labyrinthe, et peut être aurais-je été sauvé!... Je n'ai même pas eu le temps de réfléchir, mais j'apprend de mes erreurs!... Je me lève a nouveaux. Je vous passe les détailles, mais le long du couloir, il ne se passe rien, pas avant de voir une ombre familière au loin. C'est Ronald! Je m'avance vers lui.
- Ronald! Je suis heureux que tu te sois échapper!
J'ai parlé trop vite. Il se tourne vers moi, les yeux livide, le visage figé, couvert de coupure, les vêtements ensanglanter et en lambeaux. Il tien sa faux. Oh non... Brava l'as eu... Il met en marche sa faux. Je n'ai plus rien a perdre, il me bloque le passage.
- R-Ronald!... Je sais que tu es là! Je t'en supplie, ne te laisse pas faire!... Pardon, pardon de t'en demander autant, je sais que tu as souffert, mais si tu te laisse aller maintenant que je suis là, tout ce que tu as fait n'auras servie a rien!... Bat toi!!
Je vois, comment dire, un dé-clique dans son regard et soudain, les mains sur la tête, il se met a crier.
- Va.... T'en...
Sa a marcher! Il est revenue a lui! Sans perdre une minute, je passe en courant a côté de lui et en disant:
- Merci!...
Alors que je cours, d'un seul coup, j'entend un fort vrombissement. J'ai a peine le temps de me retourner que je le vois, juste derrière moi, avec sa faux qui tourne a plein régime, me regardant, les yeux vide. Surpris, je tombe en avant et celui-ci me coupe les pieds en remontant, lentement. Je suis pris dans sa faux, me fessant broyer le corps petit a petit, poussant un long cris de douleur. Je perd mes forces, dans la flaque de mon propre sang, les regardant me consumer a petit feu, il ne reste plus rien du bas de mon corps quand je meurt enfin.
Je me réveille encore et toujours dans se lit. Zut, il n'as pas tenue assez longtemps... Je soupire. Quand vais-je pouvoir sortir?... Ça commence a en faire trop pour moi. Je me lève et part a nouveaux. Je marche longuement, sans personne sur mon chemin. Puis, le vois quelque chose avancer vers moi au loin. Quelque chose de petit, on dirais, quelque chose de lent. Je le vois s'approcher de moi. Qu'est-ce que cela peut bien être?... Cette chose fait un drôle de bruit, un peut comme, je sais pas moi, comme "Tak-Tch". Je constate ensuite avec effrois qu'il s'agis... De William, où du moins de se qu'il en reste. Il se hisse vers moi, son seul moyen de déplacement encore fonctionnelle étant ses deux bras, son bas du corps désormais inexistant, manger par les chats, avec quelque boyau qui traîne. Ça tête est horrible, digne des pires cauchemars, les lunettes tombante, la peau pâle d'un mort qui a déjà commencer a se décomposer, des éclaboussures des sang partout et même encore un peut de sang qui coule de sa bouche, ses yeux qui semble transpercer mon âme, suppliant, douloureux. Vraiment, est-il vraiment dangereux?... Je ne pense pas, il me suffis de passer a côté de lui, il est assez lent, mais voir celui qui ma sauvé dans le précédent rêve, celui qui c'est sacrifier pour moi dans cet état m'est douloureux.
- Tu vois, "Ciel", tel est le destin de tout ceux qui t'aide, ils serrons tous maudit a leur tour. Tu n'apporte jamais rien de bon.
Je me retourne dans tout les sens, mais personnes. Pas question de rester a côté de lui, je ne peut rien pour lui, de toute manière. Je passe en courant a côté de lui, sans qu'il ne puisse m'attraper.
- Pardon... Dis-je a en le regardant, avant de courir sans me retourner.
Je peut voir par où il est passer, il y a une traînée de sang derrière lui. Je suis la trace et vois la porte entre-ouverte de la porte de Sebastian, mais quelqu'un est accoudé a côté. Il s'agis d'Othello. Je suis soulagé de le voir.
- Othello!...
Étrangement, celui-ci ne me répond pas et reste immobile. Son visage est caché par l'obscurité, je ne vois pas son expression faciale.
- Othello?... Dis-je ne m'approchant prudemment.
Je suis désormais assez près pour voir son visage: il fixe le sole, visiblement profondément choqué, le regard figé.
- C'est lui... Le monstre... Dit-il sans bouger d'un centimètre.
Il relève ensuite la tête vers moi.
- Ciel... Il faut qu'on sorte d'ici...
Il me regarde dans les yeux, avec un regard apeuré que je ne lui connaissait pas encore.
- Désolé de t'avoir abandonné... Je ne suis qu'une mauviette... Mais en voyant l'état de William, j'ai compris qui était le véritable monstre ici: c'est cet homme qui les manipules! Je ne veux plus le laisser faire! Plus on le laisse faire, moins on a de chance de pouvoir sortir d'ici! Je te promet que je ne t'abandonnerais plus, Ciel!... Même si je dois finir comme William! A nous deux, on va faire bougé les choses!
Je suis surpris par cet soudaine prise de conscience d'Othello, mais désormais, je ne vois plus que de la peur dans son regard, mais de la détermination. Je lui sourie, content de le voir ainsi.
- Tu as raison, a nous deux, on peux y arrivé!
Il se redresse en souriant.
- Tu va voir! Y en a un qui s'approche, je lui fait une prise de karaté, il va rien comprendre! Dit-il en fessant des geste imitant des prise de karaté, très mal imité.
- Othello, mon sauveur! Dis-je sur un ton ironique.
- Tu dit ça mais tu va voir, on va s'en sortir! Aller, pas une minute a perdre! Me dit-il en me prenant par la main, m'entraînant a le suivre.
- Je suis heureux que tu daigne enfin m'aider, c'est pas trop tôt!
- Oui c'est bon ça va!...
De son autre main, il sort une petite faucille abîmé.
- C'est peut être pas grand chose, mais c'est tout se que j'ai!...
- Cela nous suffiras!
- Au faite, si jamais je crève, prend là, tu pourras au moins te défendre un peut!
- D'accord!... Au faite, tu as pris le temps de faire une autre fiole?...
- Oui, j'ai tout essayer, et la meilleures que j'ai fait, c'est celle que je t'ai donné, je ne comprend pas que cela ne fonctionne pas...
- Je vois... Dis-je en soupirant.
- Mais je garde toujours un espoir que les effets ne sont pas immédiats!...
- Si tu y tien... A se stade là, je doute que cela marche un jour...
- Mais si!... Aller!
Il m'entraîne alors dans le labyrinthe des couloirs, où nous croisons plusieurs monstre: pour commencer, les domestiques. J'ai découvert a Othello un pouvoir que je ne lui soupçonnais pas: en voyant les serpents de Snake, il a crié "Serpeeeeennts!!!!" avant de me prendre par le bras, blanc comme un linge, et courir aussi vite que je ne l'ai jamais vue, sans se prendre un cul de sac, nous échappant des domestiques enragés, me traînant a sa suite. Sa phobie noir des serpents a réveillé en lui un incroyable instinct de survie. Bon a savoir... Puis, au détour d'un couloir, il a croisé Grell, mais celui-ci ne m'avait pas encore vue, alors Othello m'a dit de se mettre derrière lui et de me mettre sous sa blouse. Cela ne parait pas crédible, mais ça a marché! Il est passé en lui disant.
- Hey Grell, comment ça va!... Tu chercherais pas Ciel, par hasard, par se que je l'ai vu là bas, pas loin!...
Grell se dirige vers l'endroit indiqué, Othello se tournant dans sa direction a son passage pour ne pas qu'il remarque la grosse bosse derrière lui. Une fois Grell partie, je sort de dessous sa blouse et dit:
- J'y croyais pas! Bravo!
- Pour être franc, moi non plus!... Dit-il en se grattant l'arrière du crâne un peut gêné.
- Hein?!... Dis-je estomaqué.
- L'important c'est que ça a marché, non?...
- Tu es désespérant...
Nous avons repris notre chemin, puis plus loin nous avons entendue la mélodie de Drocell. Othello a dus commencer a se battre, seulement munie de sa faux, contre les deux épée de Lizzy. Mais étant faite de matière lourde, elle était plutôt lente, mais Othello a eu du mal et me dit:
- Va t'en, je te rejoins!...
Je lui est obéis, la boule en ventre. Je ne veux pas le perdre, pas maintenant! J'espère sincèrement qu'il va s'en sortir, n'étant pas un grand combattant, mais il a l'aire d'avoir tout de même quelque base.
J'arrive a la sortie du labyrinthe, où je décide de l'attendre, angoissant pour lui, n'osant pas aller plus loin sans lui, de peur de me faire dévorer par Wolf qui rôde toujours dans se couloir. Je décide de me donner un certain temps, un temps au bout du quelle je continuerais sans lui si il ne se montre pas, considérant qu'il est mort. J'ai prié pour qu'il revienne avant la fin de ce temps. Puis une ombre sort du labyrinthe avance vers moi: c'est lui! Il a quelque égratignure par si par là, dont une petite coupure sur le visage, mais rien de méchant. Je suis si heureux de le revoir que je faillis presque lui sauter dans les bras.
- Tu en a mis du temps! Dis-je ironique.
- Ta fiancé, même pour une poupée, elle est plus forte que moi, c'est un peut humiliant...
- Ah ah c'est vrai qu'elle est coriace!
- Aller, allons-y! Dit-il en prenant le bras, levant le deuxième comme un aventurier.
- Non attend!... N'y va pas!...
- Bah quoi?...
- Là bas, il y a Wolf, c'est un loup-garou, il m'a dévorer cru la dernière fois!...
- Hein?... Comment tu veux battre un truc comme ça?!...
- J'ai peut être une idée... Dans les légendes, les loups-garous se transforme a la lueur de la pleine lune, il faudrait trouver un moyen de le faire partir d'ici, qu'il ne sois plus exposé a la lumière de la lune... Dis-je en réfléchissant.
- Pas bête... J'ai une idée!
Il me prend par le bras et avance a pas de loup dans le couloir, enlevant sa blouse.
- Mais qu'est-ce que tu fait?!... Dis-je ne chuchotant.
- Chuuute!... I
Il avance doucement vers lui, se dernier retourner, et dès qu'il est assez près de lui, il lui jette la blouse sur le visage, le cachant ainsi de la lueur de la lune, le transformant petit a petit en humain. Il me prend par la main et cours. Mais il est bête!! Il va nous rattraper, une fois qu'il auras enlevé la blouse!! A moins que...
- Serpents!!!... Cris-je.
- Putaiiiin!!... Dit-il en mettant le turbo, battant des records de vitesse, me traînant encore une fois derrière lui.
Nous arrivons a nouveaux dans des couloirs normaux, sans fenêtre. Il s'arrête et reprend son souffle.
- Pourquoi t'as fait ça?!!... Me dit-il a bout de souffle, transpirant comme un porc, visiblement sur les nerfs.
- Pour nous sauver, tu cours bien plus vite quand tu as peur!
- C'est pas sympa... Dit-il déprimer.
Une fois que nous avons tout les deux bien repris notre souffle, nous continuons d'avancer. Sur quoi allons nous tomber?... Je vois de la lumière au bout du couloir, la sortie?... Cela m'étonnerait... Nous atteignons enfin le bout du couloir, qui donne... Sur l'entrée du manoir, la pièce principale. J'ai vécue tant de chose en se lieux!... Je peux voir, dresser au milieux de la pièce, notre ennemis qui sourie: Bravat.
- Tu es donc parvenue jusqu'ici, chère compte?... Bravo, dit-il. Hum?... Toi?... Dit-il en regardant Othello avec étonnement.
- Vous... Dit Othello en le regardant avec haine, serrant la rampes, au dessus du voyant.
- J'ai été naïf de te laisser libre, j'aurais dus te faire mien plus tôt...
- C'est bête, hein?...
- Je te croyait bien plus lâche et faible que cela...
Othello est visiblement énervé.
- Pas besoins d'être fort quand on a des neurones!
C'est vrai que c'est grâce a son intelligence et sa malice, principalement, que l'on s'en est sortie.
- Assez joué!... Dit Brava, le regard sérieux. Venez a moi, mes grands!
Soudain, d'un peut toute les portes sorte des monstres que nous avons croisé, a part Undertaker, qui rigole doucement.
- Merde!... Fait Othello, ne savant plus où donner de la tête.
- Tuez les, fis Brava.
Tout les monstres se précipites sur nous, je ne peut pas dire si ils sont tous là où non. C'est une véritable anarchie, je peux voir une goûte couler du front d'Othello, visiblement lui aussi dépassé, devant moi, se fessant mon bouclier contre ses monstres. Mais par chance, quelque monstre nous fiche la paix, comme Sebastian, trop occupé par Grell qui tente de le tuer. Deux de moins... Othello se reçois alors une balle de May dans l'épaule, tendis que Ronald nous saute dessus avec sa faux. Il serre les dents et me prend par la main, m'entraînant a sa suite, évitant les différentes attaques des monstres, le plus dangereux étant Ronald qui nous talonne de près. Bizarrement, Othello se rapproche du combat de Sebastian et Grell. Soudain, ma vision se brouille, pourtant, je ne suis pas blessé, qu'est-ce qu'il m'arrive?... Alors que Grell brandis sa faux vers Sebastian, Othello se glisse derrière, la lui prend, et alors que Ronald nous saute dessus avec sa faux, il coince la faux de Grell dans celle de Ronald, le mettant tout les deux hs. Pas bête!... La seul chose qui résiste a une faux de la mort, c'est une autre faux de la mort, mais au lieux de sacrifier la sienne, il a pris celle de Grell!... Mais May-Linn n'arrête pas de nous tirer dessus, elle a déjà toucher Othello, du coup, celui-ci, toujours en me tenant la main, fonce vers elle et d'un coup de faux la décapite, son sang me giclant au visage. Un de moins! Mais je vois de plus en plus floue, me sent de plus en plus bizarre. Je me laisse guider par Othello qui détruit d'un coup le lance flamme ravageur de Bardroy. Je regarde ses yeux: je peux voir comme une étincelle de rouge, il est déchaîné comme jamais, une expression féroce sur son visage. Depuis le début du combat, il ne dit rien, concentrer comme jamais. Sa meilleurs armes? Ce n'est pas sa faux, c'est son intelligence, il est véritablement ingénieux et stratégique. Bravat regarde les combats, toujours son sourire nié sur le visage. Tendis que Wolf, sans lumière de la lune, est humain, caché dans un coin, Othello dois géré Lizzy et Finny en même temps.
- Fait attention a Finian, il a une force sur humaine!... Lui dis-je.
Grâce a ça, il esquive tout les coups du jeune jardinier, quitte a se faire couper a quelque endroit par Lizzy. Il semble a cours d'énergie et d'idée pour les vaincre, comment faire?... J'entend alors le rire d'Undertaker au dessus de ma tête et dis ensuite:
- A vous, mes jolies!
A cet instant, de tout les côtés, arrive des Bizar Dolls, s'en prenant a Lizzy et a Finian. C'est vrai qu'au finale, ils ont une âme!... Bardroy et Wolf aussi n'y échappe pas.
- Que fait-tu, Undertaker?!... S'exclame Bravat.
- Je m'amuse! Dit-il en souriant et riant.
Désormais, c'est contre l'énorme vague de Bizar Doll qu'Othello dois ce battre, visiblement au bout de ses forces. Je suis derrière lui, sain et sauf, mais ma vue se trouble, et je fini même par tomber en arrière.
- Ciel!!! Me cris Othello.
Je le vois floue, épuiser, son regard inquiet poser sur moi, couvert de sang, toujours cette rage dans le regards. Mais étrangement, je me sent partir.
- Non!! Cris Bravat. Tu ne dois pas partir!
- Ça à marche!... Dit Othello souriant, visiblement apaiser, malgré la horde de Bizar Dolls derrière lui.
Quoi?... Son stupide mélange a fini par marcher?... Quel ironie... Je vois a peine son visage, me sentant partir lentement, entendant le cris de rage de Brava, les grognement des Bizar Dolls, les rire d'Undertaker.
- ... Merci!... Dis-je en lui souriant, utilisant les dernières forces qu'il me reste, avant d'être éblouie par une éclatante lumière blanche.
Je rouvre les yeux, je vois Sebastian, May-Linn, Finnian et Bardroy tous penché au dessus de moi, tous comme avant.
- Dieux sois loué!... Dis May visiblement soulagé.
- Vous vous réveiller enfin!... Dit Sebastian visiblement inquiet.
- J'ai eu si peur pour vous!... Dit Finny émue, en larme.
- Ça fait deux jours que vous dormiez, monsieur, impossible de vous réveillez, on était tous mort d'inquiétude! Dit Bard.
Je suis heureux... Si heureux... Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas été aussi heureux!... On l'as fait!... Je suis réveillé!... Ils m'ont tous tellement manquer!... Des larmes coulent sur mes joues, ils me regardent tous, surpris.
- Monsieur?... Fis Sebastian très surpris.
Je les prend tout les quatre dans mes bras en pleurant.
- Vous m'avez tellement manqué...
A leur tour, ils me serrent dans leurs bras. Je suis tellement soulagé!... Je l'ai fait, on l'a fait! Une fois le câlin fini, j'entend un aiguë "Ciel!!!!" avant que Lizzy ne me saute dans les bras.
- Elizabeth!... Dis-je en la serrant dans mes bras.
- J'ai eu si peur pour toi, Ciel!...
- Je peux plus... Respirer...
- Oh, pardon!... Dit-elle gêné.
Depuis se jour, depuis ce rêve, je ne suis plus le même: toute ces horreurs mon rendue plus fort, et ça, même Frances fus étonner de le constater, et même fière de moi. Je suis encore bien plus fort qu'avant, mais il n'y a pas que cela qui a changer chez moi, ma mentalité aussi a changer: je ne vois plus ni les chats, ni les dieux de la mort de la même manière. J'ai remarqué que seul Sebastian, sans même que je ne lui en parle, semble être au courant pour mon rêve. Je le surprend même des fois a ravalé sa salive en me regardant, un sourire en coin: serrais-je devenue encore plus appétissant?... Je me demande si, au même titres que Sebastian, les shinigamis vont en conservé des souvenirs. J'attend avec impatience, secrètement, ma rencontre avec Othello.
Mais Bravat est-il vraiment vaincue?... Suis-je vraiment sortie d'affaire pour autant?... Il m'arrive des fois d'avoirs de courts cauchemars, où je revois les pires moment du dernier rêve, passant par mes parents me dévorant, les cris de douleurs de Ronald, le cadavre de William, me réveillant en sueur.
Fin?...
C'est enfin terminé! J'espère que cela vous auras plus! Dite moi vos avis en commentaire, je les attends avec impatiente! A l'année prochaine, peut être!...
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