Pdv Ronald :

Enfin ! C'est mon weekend de repos bien mérité ! Je rend alors visite a mon ami Alexander pour passer la journée avec lui, je sais qu'il est de repos lui aussi aujourd'hui. Mais quand j'arrive chez lui, il est avec sa copine et n'a pas envie d'être dérangé. Dommage, une prochaine fois ! Je passe alors chez tout mes amis disponibles. Mais, a chaque fois, je me fait rejeter. La plus part se sont trouvé des copines et profitent de leur congé avec elles, tendis que d'autre trouvaient des excuses a deux balles. Au début, je ne comprenais pas pourquoi tant de rejet, mais j'ai fini par comprendre en allant aux bureaux : les gens me regardent de travers, surtout les filles, et semblent parler dans mon dot. Quand je m'en suis rendue compte, cela m'a fait l'effet d'un poignard dans le cœur. Au début, j'avais une réputation de tombeur cool, mais a force, on dirais bien qu'elle a dérivé sur celle de pervers... Mes amis ne veulent plus trainer avec moi pour ne pas avoir de mauvaise réputation eux non plus, tendis que les autres se concentre sur leurs copines fixe. Je me sent seul et mis a l'écart. Dans se genre de situation, je n'ai qu'une envie : me bourrer la gueule. Mais non ! Je ne le ferrais pas. Je ne veux pas avoir la réputation d'alcoolique en plus ! Une autre solution pour oublier, la méthode William : travailler, encore et encore. Dire que j'ai fait ce parie pour rien... T'en pis. Déprimé, je part retrouver William. Il fait des yeux ronds en me voyant.

- Que faite vous ici, Knox ? ...

- Je viens travailler...

- Mais je croyais que...

- J'ai pas envie de prendre de pose aujourd'hui...

- ... Bien.

Il ne cesse de me dévisager avec son aire étonné. Habituellement, je suis bien le dernier a vouloir travailler... Il sais que quelque chose ne tourne pas rond chez moi, mais il se tue. Ça l'arrange, même.

- Dans se cas, prenez, dit-il en me tendant une liste.

Je la prend en silence.

- Au faite, pour quand serra notre prochaine attaque de Michaelis?

- Ce n'est pas encore planifier, nous attendons d'avoir un bon plan cette fois si.

- Je vois...

- Au faite, j'ai quelque chose dont je dois vous parlez.

- Hum?... Dis-je en relevant la tête vers lui, moi qui me suis déjà plongé dans la lecture de la liste.

- Je suis a la recherche d'un faucheur pour une mission spéciale, pour un changement de zone d'activité temporaire. Cette zone va contenir bien plus d'âme a faucher que d'habitude, c'est pourquoi je cherche un volontaire pour s'en occuper pendant quelque temps. Mais il y a un deuxième enjeu: cette zone se situe dans la banlieue de Londres, plus précisément autour du manoir Phantomhive, c'est pourquoi cette personnes pourras également aller enquêter sur la cible pour pouvoir mettre au point un meilleur plan pour éliminer Michaelis. Qu'en dite vous? Si vous refusez, j'y enverrais Sutcliff, il s'en ferra une joie et moi aussi, mais je doute de la qualité de son travaille.

- Et bien...

Je ne m'attendais pas du tout a ça. Une petite flamme se remet a brûler dans mon cœur. C'est une occasion a ne pas rater! Je serrais tranquille, je n'aurais pas le temps de chaumé et en plus de ça, je vais pouvoir chercher un moyen pour éradiquer se satané démon! A la campagne, en plus!

- J'accepte!

- J'en suis ravie. Vous commencerez dès demain a l'aube. En attendant, aller faucher ses âmes.

- Bien reçus!

Je commence alors mon fauchage. Je suis tellement excité! De plus, grâce a ça, je vais peut être pouvoir revoir May-Linn, avec un peut de chance! Je me sent beaucoup mieux. Je n'ai pas besoin de l'attention de tout ses hypocrites! Enfin, je retrouve le sourire.

Le lendemain, a l'aube, j'arrive a l'heure et entame mon fauchage. Que ça fait du bien, l'aire de la campagne! La rosé sur les plantes le matin, sauter d'arbres en arbres au lieu de toit en toit, que c'est bon! Je revis. Mais se serrais encore mieux si ce n'était pas pour fauché des gens touché par une épidémie qui les fond pourrir  vivant! Vive le métier de faucheur... Mais bon, je commence a avoir l'habitude... Mes débuts dans la zone commencent bien, mais c'est vrai qu'il y a pas mal de boulot. Enfin, quand j'ai un peut de temps libre, je me rend au manoir Phatomhive et j'observe. Les domestiques ne peuvent pas me voir, mais Sebastian et son maitre oui. Il va falloir que je me fasse discret... Pour le moment, tous se que j'ai pu observer, c'est le quotidien visiblement normal des domestiques. Bard, le cuisinier foireux, j'ai trouvé pire que moi... Finian, le jeune jardinier gentil et innocent et... May-Linn, la bonne maladroite. Je l'ai vue plusieurs fois se tromper et faire des bourdes, elle ne m'avais pas menti se jour là sur je sujet! Bien que ça a l'aire d'agacé le majordome, moi, je trouve que ça la rend mignonne. Sans déconné, il reste de marbres devant une fille aussi mignonne, c'est pas sensé faire tout l'inverse, les démons? Pire que William, qui aurait crus que ça existe?... Ça saute aux yeux qu'il est pas humain... Il me dégoute a mener la belle vie comme ça, il ne le mérite pas... Et en plus de ça, il me donne du travaille en plus! Il y a pas mal d'ennemis du comte qui attaque le manoir la nuit, et il les butes tous!... Merci les heures sup'...

Aujourd'hui, je fauche des âmes dans mon secteur. Il pleut abondamment. Complètement trempé et grognons, je ne cesse marmonner:

- Y'aime pas la pluie...

Que voulez-vous, j'aime pas la pluie, c'est comme ça, elle me met de mauvaise humeur. Puis, ayant fini mon fauchage et n'ayant pas envie de retourner chez moi, je me rend donc au manoir Phantomhive pour continuer mon observation, et c'est alors que je vois May-Linn sortir en courant du manoir, le visage dans ses mains et en larmes. Elle cour dans la boue, sans une veste ou même un parapluie, puis elle réfugie dans un coin du jardin, s'asseyant contre un arbre, le front sur ses genoux, continuant de pleurer. Cela me fait de la peine de la voir ainsi... Qu'a t-il bien pu se passé?... Je le me met alors dans l'arbre au dessus d'elle et l'écoute marmonner.

- Je ne suis qu'une raté... Dit-elle entre quelque reniflement. Je foire toujours tout... Je ne suis qu'une bonne a rien, je ne fait que de leur faire du tord... Il me déteste, j'en suis sur...

J'ai mal au cœur de la voir ainsi, si seul et misérable. Je ne peux alors retenir mon instinct de gentleman et descend donc de l'arbre, cachant ma faux, je retire ma veste, toujours mouillé et la lui dépose sur ses épaules et m'assois a côté d'elle. Sentant la veste sur ses épaules, elle se redresse, surprise et me regarde, troublé.

Je vous propose, si vous le souhaitez, pour agrémenter votre lecture, une musique que vous pouvez trouver tout en bas du chapitre. Je trouve juste qu'elle va bien avec la scène! Bonne continuation!

- R-Ronald?...

- Bonjour, my lady, dis-je en souriant.

- Q-Que faite vous ici?...

- Je travaille dans le coin en se moment, mais pour le moment, le plus important, c'est vous alors dites moi se qui vous tracasse.

- E-Et bien, comme d'habitude, j'ai encore fait une bourdes...

- Dans se cas, pas la peine de vous mettre dans cet état pour ça!

- Le problème c'est que j'en fait trop, tout les jours! Sebastian et monsieur doivent en avoir mare de moi...

- Ne dite pas ça, ça arrive a tout le monde de faire des bourdes, peut être que vous en faite plus que la moyen mais ce n'est pas grave!

- C'est faux!... Sebastian n'en fait jamais, lui!

La mauvaise référence...

- Peut être, et alors? Ça ne fait que de vous rendre plus humaine que de vous tromper, vous savez, personnes n'est parfait!

- Je sais mais... Sebastian, il est tellement parfait, il ne s'intéressera jamais a moi si je ne suis pas a sa hauteur...

J'ai eu un pincement au cœur, non seulement a cause du fait qu'elle cherche a impressionner Sebastian, mais aussi car elle n'y arrivera jamais, il n'est pas humain!...

- Et alors? Si il faut vraiment que vous soyez aussi parfaite que lui pour qu'il s'intéresse a vous, c'est qu'il ne vous mérite pas! Vous êtes maladroite, sa fait partie de vous, vous ne pouvez pas le refouler, et si même si vous y parveniez et qu'il se met a vous apprécier plus, alors ce n'est pas la vrai vous qu'il apprécie! Si il n'est pas capable de vous apprécié a votre juste valeur, t'en pis pour lui!

Durant tout mon petit discours, elle m'a regardé, étonné et les joues légèrement tinté de rouge, puis c'est détourné de moi a la fin en silence.

- Hum...

Elle semble pensive, désormais, toujours un peut triste. Je reprend alors la parole:

- Vous devriez renter, vous aller attraper froid, de plus que ma veste est déjà mouillé. Vous verrez, ça iras mieux après être rentré.

- ... Vous avez raison...

Je me lève en premier et lui tend la main pour l'aider a son tour:

- Souriez, ça vous va beaucoup mieux!

Elle me regarde, silencieuse avant de prendre ma main, et je l'aide alors a se relever.

- Je vous raccompagne a l'entrée, lui dis-je.

- Merci, c'est très gentil...

Nous avançons, toujours sous la pluie. Pfff... Mes lunettes sont couverte de gouttes...

- Ah, soupire-je, je haie la pluie... Dis-je en essuyant mes lunettes en marchant.

- Au contraire, j'aime beaucoup la pluie, elle m'apaise, c'est pour ça que je suis sortie dans le jardin au lieu de m'enfermer dans ma chambre comme je le fait généralement dans se genre de situation.

- Je vois...

C'était obligé, de toute manière que je déteste la pluie, je travaille toujours en extérieur, et il y a de quoi haire la pluie lors de jour comme celui ci et que tu rentre trempé chez toi...

- Et puis, la nature et si belle est silencieuse quand il pleut...

- Hum...

Sans m'en rendre compte, quand elle a dit cette phrase, c'est elle que je regardais au lieu de regarder les plantes qui nous entoure. Elle a les cheveux trempé et des gouttes d'eau sur ses lunettes, l'aire apaisé. Je n'arrive pas détourné mon regard de son visage, elle est si belle... Quand je me rend compte que je la fixe, je détourne le regard aussi tôt, gêné, regardant partout autour de moi. Heureusement, elle ne s'en ai pas rendue compte. Ouf... Je me mais alors a regarder les plantes, d'un regard différent. C'est vrai qu'elle est belle, la nature sous la pluie, mais May-Linn l'es encore plus... Je me surprend moi même a avoir se genre de pensé. Puis, nous arrivons a la porte de service du manoir.

- Merci beaucoup, Ronald...

- Ce n'est rien, voyons!

- Du coup, que faite vous dans le coin?

- Et bien... Je travaille dans le coin pendant quelque temps, on pourras peut être se revoir!

- Vraiment? Super!

- Je suis passé déjà plusieurs fois dans le manoir et je ne m'en lasse pas, il est magnifique, vous avez de la chance de travailler ici!

- C'est vrai, oui, dit-elle en regardant l'édifice.

Puis, elle se retourne vers moi et me tend ma veste.

- Tenez, vous aussi vous devriez vite rentrer chez vous.

- Je vous remercie! Dis-je ne prenant ma veste. Vous avez raison, a une prochaine fois, peut être!

- Oui, au revoir! Dit-elle en s'en allant, de bien meilleurs humeur et souriante.

Je la regarde disparaitre derrière la porte. Ça m'a refait ma journée!  J'ai l'impression qu'a chaque fois que je la revois, au si court sois t-il, je la trouve encore un peut plus belle et attirante. Aujourd'hui, la pluie, tombe autant que tu veux, tu m'auras pas! Désormais, je regarde beaucoup plus les plantes sous la pluie. C'est vrai que c'est beau... Mais a chaque fois, je ne peut m'empêcher de revoir son visage mouillé et calme. Mais, malgré tout, je ne peut m'empêcher d'être inquiet pour elle: elle semble tenir Sebastian un peut trop haut dans son estime, cela m'inquiète... Serrais-ce possible... Qu'elle l'aime?... Ah ah, qu'est ce que je raconte! N'importe quoi!...

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La musique en question~

https://youtu.be/dePqGlt_gqc