~Chap 4

PDV Lila :

Je m'approche de Sébastien, il est plus grand que moi ma tête lui arrive au torse. Je le regarde de haut en bas.

Sébastien : Vous avez faim ?

Lila : Oui je pourrais vous dévoré !

Sébastien : Et par quelle moyen ?

A ses mot je deviens rouge comme une tomate, mon esprit est si mal placé.

Je me décale et m'assois sur le plan de travaille.

Lila : Fait moi un gâteau.

Sébastien : En quoi devrais-je exécuté vos ordre.

Lila : Tu préfère que je te mange.

Sébastien s'approche de moi, a cette hauteur on est quasiment de la même taille. Il approche sa bouche de mon oreille et me susurre.

Sébastien : Vraiment ?

J'ai envie de l'humilié comme il me la fait hier, alors je commence mon plan.

Je passe mes bras autours de sa nuque et l'embrasse tendrement, je demande la passage pour inséré ma langue dans sa bouche et il accepte. Nous engageons une baiser langoureux, une de ses mains passe sous ma chemise venant me touché avec délicatesse. Je défait sa cravate et déboutonne sa chemise, me mains se balade sur son torse, il colle nos bassin.

J'enroule mes jambes autours de sa taille, sa main qui était sous sa chemise vient se placé sur mon fessier, je commence a défaire sa ceinture.

Ciel : Je vous dérange pas j'espère ?

Sébastien et moi nous arrêtons, je me rend compte aussi que je n'ai pas su m'arrêté j'ai honte qu'un enfant m'ai vue, Sébastien recule et remet ses vêtements.

Lila : Si un peu.

Ciel : Vous n'aviez car faire sa autre part ! Bref Sébastien j'ai faim, fait moi un gâteau.

Lila : Un gros j'ai toujours faim, sur ceux je vais commencé a faire mes valise mon bateau part se soir !

Je descend du plan de travaille et part dans ma chambre.

PDV Julien :

Je m'avance vers la demeure Phantomive je tape deux fois a la porte et un majordome, habiller de noir viens m'ouvris, un sourire s'affiche sur nos deux visage, mais mon sourire s'en vas aussi tôt quand je remarque qu'il est imprégniez de son odeur.

Julien : Je viens pour Mll Moreau.

Sébastien : Entré je vais vous la chercher.

J'attend dans le séjours quand ma tendre maîtresse arrive dans une robe des plus belle.

Lila : Julien qu'es ce que tu fou la ?!

Julien : C'est votre manoir mademoiselle.

Lila : Mon manoir !

Julien : Une pièce c'est effondré, j'ai pris la responsabilité d'envoyer les domestique chez eux. Je suis navré.

Je mets un genoux au sol prend sa main et lui fait un baise main mais elle la retire aussi tôt et me met une claque.

Lila : Abruti ! Pour qui te prend tu ? Tu viens me faire honte, dans un manoir qui n'ai pas le mien et tu viens m'annoncé comme si de rien n'était ! Mes affaires mes médaille ou sont elles ?!

Julien : La pièce qui c'est effondré ne servais a rien donc vos affaire n'ont rien.

Elle s'apprête a me remettre une claque quand le majordome l'arrête.

Sébastien : Calmez-vous Mll Moreau, aller voir mon maître pour réglé l'affaire.

Lila : Ne me touché pas, occupé vous de lui mettez le avec les domestiques.

Elle monte, elle est aussi imprégner de son odeur, elle n'aurais rien fait avec lui, jamais dans la maison ou elle est hébergé, il n'a pas abuser d'elle.

Je me relève, prend ma valise le majordome me regarde dans les yeux d'un air amusé.

Sébastien : Elle est au courante ?

Julien : Non et pour vous ?

Sébastien : Oui, et son âme sens délicieusement bon.

Julien : Elle est a moi, ne vous aviser pas de la touché.

Sébastien : Trop tard...

Il me le dit en se léchant les doigt, et son sourire sale me donne la gerbe.

PDV Sébastien :

Lila arrive au même moment et vient se positionné a mes côté.

Lila : Tu aura une chambre avec les domestiques, tu as intérêt a être reconnaissant avec le comte ! Sébastien je dois te parlé donc rejoins moi dans ma chambre quand tu lui aura montré sa chambre.

J'accepte, je lui montre sa chambre puis m'en vais. J'arrive dans sa chambre elle était assise sur la rem-bars du balcon. Je m'avance vers elle et la prend par la taille.

Lila : Ha ! Sébastien tu ma fais peur, bref si tu es la c'est pour/...

Je la coupe en l'embrassant mais elle me repousse violemment.

Lila : C'est pas le moment, et puis tu me soûle avec sa. Bref si je t'ai appeler c'est pour te dire de ménager mon pauvre majordome.

Sébastien : Ne t'en fait pas pour lui il n'est pas si pauvre que sa, et fait attention a être assise comme sa vous risqué de tombée.

Sur mes mots je sors de cette chambre plein de frustration.




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