REWIND : Le Carnet (part. 1)
omg je viens de retomber sur un truc MAGIQUE qu'il fallait que je partage avec vous :')
en gros vers 14/15 ans, j'étais très boucoup fan des 5sos et j'écrivais des fanfictions sur eux, dont une qui n'a jamais vu le jour et qui s'appelait "Le Carnet"
elle était axée sur Calum Hood, mon chouchou du groupe
puis je l'ai réécrite en juillet 2015 en remplaçant Calum par un certain Jaime (ça commence bien) d'origine espagnole, et ça a donné ça :
(+ commentaires de la Laureen de seize ans trois quarts en gras)
LE DÉBUT
(là où tout a commencé) >>> merci pour cette précision Laureen
Il m'a abordée à la sortie du premier cours de l'année. Je suivais Poppy et Cassandra, qui voulaient aller discuter avec les garçons percés de partout qu'on trouve au coin fumeur, et leur piquer une cigarette par la même occasion. >>> TELLEMENT PAS CLICHÉ HEIN Il a fait mine de me bousculer, mon livre est tombé et il s'est empressé de le récupérer. Nous savions tous deux que c'était une prise d'otage en bonne et due forme mais visiblement, il avait décidé de me prendre pour une idiote.
« Oh ! Jill, je suis désolé ! » m'a-t-il fait avec un sourire penaud. >>> moi et mon goût pour les prénoms inexistants omg (n'empêche j'aime toujours bien ce prénom, en plus il est mixte huhu)
Je ne connaissais pas vraiment ce type, un grand brun à la peau dorée et aux yeux noirs insondables, mais je savais au moins que c'était un coureur de jupons doublé d'un emmerdeur de première. Une belle gueule mais sans rien dedans, en somme. En tout cas lui estimait me connaître suffisamment pour être familier avec moi. Je haussai un sourcil.
« Je peux avoir mon livre ? » Ma main était tendue vers lui, il n'avait plus qu'à y poser mon bien, et l'histoire aurait été réglée.
Mais évidemment, il n'en fit rien. Il avait une idée derrière la tête, et surtout, il semblait s'amuser comme un petit fou.
« Qu'est-ce que tu me veux, James ? »
Il partit dans un grand rire que Cassie aurait sûrement qualifié d'adorable. J'avais pour ma part une terrible envie de lui faire avaler sa casquette de hipster et de le laisser là, agonisant. J'avais horreur qu'on touche à mes précieux livres, portes grand ouvertes sur un tas de mondes parallèles tous plus fantastiques les uns que les autres, et j'étais presque capable de tuer pour eux. >>> MDRRR J'ARRIVE PAS À SAVOIR MAIS JE CROIS QUE J'ÉTAIS SÉRIEUSE EN ÉCRIVANT CE PASSAGE WTF
« Ah non, poupée, moi c'est Jaime. Mais c'est pas grave, je sais bien que t'es toujours dans ta petite bulle.
- Et ? »
Les sobriquets mysogynes, poupée en tête de file, avaient tendance à me mettre très, très légèrement sur les nerfs. Mais juste un peu. >>> c'est misogynes* bébé, je sais que t'aimes les y mais quand même abuse pas stp. (pis franchement j'sais pas pour qui tu te prends mais tu te la pètes un peu)
« Eh bien, il se trouve que je te lance un défi. »
Du genre, te casser tes dents ? Mais je le relève avec plaisir, mon grand. >>> tg héroïne de merde.
« Accouche ; ai-je répliqué, sur la défensive. >>> J'AI JAMAIS DIT ÇA IRL EN PLUS MAIS WUT
- On va s'évaluer mutuellement quelques jours. Disons, deux semaines. On répertorie tout dans un carnet, et au terme du défi on voit qui a le mieux percé les secrets de l'autre. Le perdant sera l'esclave du gagnant jusqu'à la fin de l'année scolaire. »
Mon second sourcil rejoignit le premier. >>> i feel u fam
« Pourquoi ferais-je une chose pareille ?
- Parce que c'est marrant. » Il avait un sourire de vainqueur, qui m'assura qu'un détail m'échappait.
Il ménageait bien son suspence, le bougre. >>> SUSPENSE* OU SUSPENS OMG CETTE FILLE SAIT-ELLE ÉCRIRE??!
« Pourquoi ferais-je une chose pareille ? répétai-je et son sourire s'élargit.
- Parce que sinon, je balance ça à tous mes contacts, ma belle, et tu te doutes que j'en ai un tas ! » >>> "tu te doutes que j'en ai un tas" mdrrr moi qui croyais que cette histoire avait déjà atteint le paroxysme du cliché
Jaime brandit son portable avec une jubilation non dissimulée ; son sourire devait à présent lui faire trois fois le tour de la figure. >>> j'aimais trop cette expression avant,, ça vient de Tara Duncan jcrois (mais en vrai c'est creepy af, encore plus que le chat d'Alice au Pays des Merveilles) Pour ma part, je n'avais absolument aucune envie de rire, ni de protester. Je me contentai de reculer d'un pas, les yeux rivés sur mon maître chanteur. Je ne savais pas comment, ni quand, mais il ne me laissait pas le choix.
J'aurais voulu pleurer, hurler, me débattre comme une furie, m'enfuir, ou lui sauter à la gorge peut-être. À la place de tout cela je relevai la tête, refoulai mes larmes et acquiescai. >>> mais djdjfkfjdskskl pourquoi tant de drama et de mystère à deux balles je pleure :') + acquiesçai* c'est mieux hein sans la cédille le mot se prononce plus pareil lol
« Je relève le défi » >>> TADAAAAAM (ou pas)
À ces mots il eut un mouvement de ce qui semblait être une approbation, comme si j'avais opté pour la bonne solution. Comme s'il y avait une bonne solution ... Jaime me rendit mon livre en me fixant d'un air tranquille ; au contact de sa peau contre la mienne, je réprimai un frisson de dégoût extrême. >>> mon héroïne est beaucoup trop dans l'abus j'ai envie de la taper,, je peux? svp svp svp :c Puis il s'éloigna avec nonchalance, les mains enfoncées dans les poches de son jogging ample, et j'eus tout le temps d'appréhender l'injustice de la situation. >>> en vrai un "populaire" comme ça porte plus probablement des fringues "classes" genre des jeans troués avec une paire de Stan Smith étou m'enfin c pa grav
Ou, peut-être, l'avais-je bien mérité dans le fond. >>> ui psk t conne (:
« On commence demain », lâcha-t-il avant de disparaître à l'angle du couloir désert.
le début du chapitre 1 (et sensiblement TOUT CE QUE J'AI JAMAIS ÉCRIT DE CETTE FIC EN FAIT) arrive tout de suite ! ~
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